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HEBDO PLUS,

FONTAINE BOURDALOUE A BOURGES

"Inauguration" lundi soir de la réhabilitation de la fontaine Bourdaloue, place de la Préfecture.
Un résultat magnifique réalisé avec des fonds multiples, dont le Patrimoine et le Crédit Agricole.
Ces fontaines remontent au XIX ème siècle. A cette époque, Madame Veuve Bourdaloue, avec l'argent du legs de son mari, qui s'élevait à 8000 francs, et celui des objets vendus demanda que soient érigés deux bustes et une fontaine. C'est cette fontaine qui, bientôt, sera inaugurée Place de L'Arsenal, devenue depuis Place de la Préfecture ou encore Place Marcel Plaisant.

Et puis en 2003, quelques personnes, une nuit de "beuverie" sans doute, ils montèrent sur la vasque supérieur et.... tout s'écroula : la fontaine était détruite. La municipalité cherche depuis cette date, d'une part de l'argent et surtout une firme capable de refondre ces vasques.
http://encyclopedie.bourges.net/bourdaloueing.htm

LA BOUINOTTE SUR BOURGES

La magazine du Berry, La Bouinotte est en vente, avec des articles sur le film tourné à Bourges : "La Princesse de Montpensier", mais aussi sur les souterrains de Bourges et encore sur les Prés Fichaux de Bourges.

LE FIFE DE BOURGES EN QUELQUES PHRASES

Sur la plaquette, dans "ils font le festival, on note la présence de l'Agence culturelle, de services d ela ville de Bourges et une quinzaine de noms sont ainsi donnés, ... sauf celui du directeur de l'agence Michel Pobeau, qui a la direction d el'agence et du FIFE. Rendons à Michel Pobeau ce qui lui appartient.

Entendu lors de la séance de clôture :
" On a perdu la culture de la bonne nouvelle" par Laurent Bignolas.

lors d'un entretien : "il faut garder le pétrole pour des usages indispensables, et ne plus le gaspiller pour l'énergie"

Nous consommons du mouton néo-zélandais moins cher que le mouton français sans prendre en compte le carbone utilisé pour le transporter depuis l'autre bout du monde", fit Jean François Notebaert, lors d'un débat sur Pub et écologie. C'est la même chose pour les pommes de St Martin d'Auxigny.

CYCLISME ET PARIS - GIEN - A BOURGES

Demain jeudi Bourges sera en effervescence, avec la 60e édition de la course cycliste professionnelle Paris-Gien-Bourges.
Ce sont 21 équipes dont 8 pro-teams qui seront au départ de Gien, à midi. L'arrivée sera jugée à Bourges vers 17 h, boulevard Gambetta après un tour de circuit.
L'organisateur est Franck Rouzeau, il a présenté, son épreuve en présence d'Alain Galoppin, avec une grande confiance. Le Directeur sportif de l'équipe appelée Radioschak l'a dit : " une victoire dans Paris-Bourges est importante dans le palmarès d'un coureur ". Une arrivée spectaculaire est prévue.

FIFE A BOURGES (suite)

Lors de l'ouverture du festival, une courte exposition "la table est servie" de Julien Monnier, avec des diptyque montrant ce que nous consommions et ce que nous consommons. (photos)

Séance de clôture très bien faite avec le jury présidé de Laurent Bignolas (France télévision), et présenté par Jacques Legros (TF1), avec Catherine Pottier de France Info, et Bérengère Bonte d'Europe 1.

A BOURGES
POUR CEUX QUI ONT RATE DES EPISODES DE LA SEMAINE DERNIERE

RETOUR DES AVIONS A BOURGES ???

La SMA conçoit, produit, vend et assure le support du SR305-230, un moteur à pistons plus performant et utilisant un carburant 30 à 40% plus économe que les carburants classiques. Pour Serge Lepeltier, "L’implantation d’une telle entreprise à Bourges n’était pas évidente. Mais à force de persévérance, nous y sommes arrivés, et je dois dire que personnellement j’ai largement contribué à cette implantation. ".

Le moteur SR305-230 est un moteur à allumage par compression (Diesel) 4 temps à injection à 4 cylindres, avec turbocompresseur.
La cylindrée de 305 cubic inches (pouces cubiques), soit environ 5000 cm3, donne son nom au moteur. Il développe 230 chevaux à 2200 tours par minute.
Le moteur est doté d'une commande électronique (FADEC) ; la variation du pas d'hélice est reliée avec la commande du moteur pour optimiser la conduite dans les différentes phases de vol.

Il faut désormais espérer que ce moteur sera un nouvel envol,un peu comme en 1928...

LA FRESQUE DE BOURGES

Les Berruyers n'y croyaient plus, cela fait au moins 5 ans que Philippe Gitton avait ce projet dans ses cartons et dans sa tête.
Mais nul n'y pensait, c'était comme la plage du Lac d'Auron .... Et puis subrepticement, sans tambours ni trompettes, elle est arrivées la fresque géante de la rue Jean Jaurès.
C'est l'entrée de Jacques Coeur dans Bourges avec Charles VII. Une belle image qui n'a rien d'historique mais qui rappelle que ces 2 personnages ont été à Bourges très importants au XV ième siècle.

Cette fresque est due à Elodie et Leatitia de Cité Création, des spécialistes lyonnais de ce type de peinture. Comme Lyon ou Roanne, on peut penser que Bourges poursuivra avec des trompes l'oeil sur d'autres secteurs de la ville.

POLITIQUE NATIONALE A BOURGES

C'était lundi dernier et il pleuvait, Dominique Bussereau ministre des transports était à Bourges, mais pas pour parler du TGV, mais d'avions et il est allé chez SMA du groupe SAFRAN à Bourges.Bien entendu, il a évoqué le TGV qui reste le grand projet des élus de Bourges et du Cher.
Et il a redit une fois encore qu'il ne voulait plus être ministre lors du prochain gouvernement.
Une position très rare qui surprend très souvent.
Rechercher dans Bourges-info un sujet donné :

PAGE 3 : LES BLOGS POLITIQUES DE BOURGES
2010
Le Blog de Serge Lepeltier

Le 6ème Festival International du Film Ecologique de Bourges : une vraie réussite !
11 octobre 2010 Le Festival International du Film Ecologique de Bourges s’est à nouveau achevé sur une note encore très largement positive.
Ce festival nous a encore offert plus qu’un espoir face aux grands défis environnementaux à venir. La sensibilisation à l’écologie n’est vraiment plus une mode.
Et l’utilisation de l’image pour faire partager les préoccupations environnementales restera toujours le meilleur moyen pour sensibiliser le grand public.
Les réalisateurs, amateurs ou professionnels, ont su, en effet, nous interpeller grâce à leurs reportages ou leurs documentaires que nous avons pu regarder durant tout le festival.
Le jury, présidé par Laurent BIGNOLAS, journaliste originaire de Bourges, nous a délivré un palmarès remarquable en récompensant des films de très haute qualité.
Au cours de ce festival, j’ai également participé à une conférence débat très intéressante qui abordait le thème des technologies vertes avec Geneviève FERONE, directrice du développement durable chez VEOLIA, technologies qui devront en partie être l’une des solutions pour effectuer la mutation de l’après pétrole.
Il reste donc encore beaucoup de réflexions et d’idées à apporter dans ce domaine et que nous pourrons développer lors du prochain festival.
Je vous donne donc rendez-vous l’année prochaine pour la 7ème édition.
Serge LEPELTIER
la suite :

http://www.sergelepeltier.fr/

Le Blog d'Irène Félix

J'avais envie de partager avec vous ce chaleureux moment qu'est la cuvée de Parassy, un petit festival familial et amical à 20 km de Bourges. Une histoire de copains, d'artistes, de bénévoles, de village qui dit fièrement sa volonté de vivre ensemble. Une histoire aussi, cette année, d'hommage et de fidélité à Gilles Brico, le patron de la Soupe aux Choux à Bourges, à l'origine du festival, et qui est mort l'an dernier.
Samedi soir, j'ai pris plaisir à la soirée des anciens de la chanson française, chanson à textes, engagés ou provocateurs. Duo complice entre Louis Arti et sa fille qui joue bellement de sa voix et de son violon. Chansons engagées et a capella très forts de Christian Paccoud, qui pour beaucoup d'entre nous était une découverte remarquable. Belle voix, belle gueule, et pudeur de Georges Chelon dans son hommage à Gilles. Pascal Mathieu et ses jeux de mots, espèce de dandy décalé et superbe. Sarcloret enfin. Beaucoup d'émotion dans tout cela.
Cet après-midi, j'ai entendu avec bonheur une partie du concert d'un jeune groupe "Courons dans les rues", plein de punch et foncièrement sympathique. Puis le concert tout à fait intéressant d'autres jeunes, "Des fourmis dans les mains", un groupe revendiquant son origine du Beaujolais, avec des textes mettant en scène avec beaucoup de sensibilité, d'originalité et d'engagement les villages ruraux. Musique de qualité, sur fond de cordes et voix très juste du chanteur, de la haute-contre à la basse.
C'est avec bonheur qu'on voit émerger des groupes venus de nos campagnes, et trouvant leur place sur un registre à la fois musicalement intéressant et doublement militant : d'un mode de vie ; et d'une qualité de liens.
Belle cuvée. Et dire que c'est tout cela que Sarkozy veut détruire. Ce n'était pas, hier, sa fête !
la suite :

http://irenefelix.blogspirit.com/

Le Blog de Yann Galut

Annoncé par le 20 mai dernier par Nicolas Sarkozy, le gel des dotations de l'Etat aux collectivités territoriales à partir de 2011 et jusqu’en 2013, a été confirmé le mercredi 30 septembre, par le ministre du budget François Baroin.
Voilà plusieurs jours que je souhaite revenir sur un sujet qui me tient particulièrement à coeur : la lutte contre l'homophobie.
Qu'il s'agisse des récents propos affligeants des rappeurs du groupe Sexion d'assaut ou du suicide d'un jeune américain, Tyler Clementi, l'actualité donne à l'homophobie son pire visage. Ce n'est pas vraiment nouveau. Le rapport de SOS Homophobie en mai dernier dénonçait déjà l'inflation des propos homophobes sur Internet.
la suite :

http://www.yann-galut.com/

Le Blog de Yannick Bedin

J'ai eu peu de temps pour rédiger un billet cette semaine. Entre le soutien que j'ai apporté aux opposants à l'épandage des boues dans le Cher Nord, venus manifester en ouverture du festival du film écologique à Bourges jeudi, quelques virées à Parassy pour assister à la Cuvée menée de main de maître par Régis Brico et Roger Ledoux, le maire de la commune, et les dizaines de bénévoles, plusieurs réunions et le travail, le temps manque pour rédiger un billet digne de ce nom. Je me plie toutefois à l'exercice; ce blog reste un outil précieux pour faire partager réflexions et ressentis.
J'ai occupé une bonne partie de mon temps sur le projet partagé du Front de gauche. A l'heure où la mobilisation grandit contre le projet Woerth-Sarkozy sur les retraites, le Parti de gauche et le PCF travaillent ensemble dans le Cher à sa mise en oeuvre avec les citoyens, les acteurs du mouvement social et associatif. Les rencontres se multiplient entre nos deux formations dans le département. Nous aussi nous voulons apporter notre pierre à ce qui pourrait bien créer la surprise dans l'espace politique national: l'émergence d'un projet et de candidatures communes du Front de gauche à toutes les élections. Il y a encore du chemin mais je crois que nous tenons le bon bout. Demain, je rencontre les responsables départementaux du NPA. C'est dans l'union de toutes les forces de gauche, autour d'un projet qui n'en rabatte pas sur les valeurs qui fondent la gauche, que nous gagnerons durablement.
Je ne délaisse pas pour autant avec mes camarades, le combat contre le projet sur les retraites que veut nous faire avaler la droite; l'heure est à faire retirer ce texte injuste et inefficace. Nous serons dans la rue encore mardi, et en grève, en espérant un mouvement d'une ampleur inégalée pour faire plier le pouvoir. Nous avons l'avantage disais-je dans un précédent billet. Preuve en est que nombre de responsables à droite se défilent. Ce matin au marché, un proche de Serge Lepeltier me glissait que le Maire de Bourges n'était pas sarkozyste... C'est un signe de voir qu'à droite de plus en plus d'élus se taisent, font le dos rond ou se désolidarisent du Président. Au marché toujours, et alors que nous faisions signer avec les militants communistes une carte pétition adressée à l'Elysée, j'ai entendu plusieurs personnes se déchaîner contre le Président de la République. La violence des mots chez certains de nos concitoyens répond à la violence sociale et au mépris qu'ils subissent. Elle est légitime. Celui qui a déshonoré la fonction présidentielle, pour laquelle je n'ai pas de sympathie particulière étant opposé au mode d'élection imposé par la Vème République, paie ses mauvais coups portés à la République: pour beaucoup, il n'est plus digne de la représenter.
Toujours au marché, je rencontre un ami comédien. Celui-ci me cite Arthur Rimbaud, dans Une saison en enfer:
Je devins un opéra fabuleux: je vis que tous les êtres ont une fatalité de bonheur: l'action n'est pas la vie, mais une façon de gâcher quelque force, un énervement.
Nous échangeons sur ce président énervé et sur le sens des contre-réformes menées. Nous sommes en face d'enjeux de civilisation: dire qu'avec les progrès techniques et technologiques, il nous faudrait travailler plus longtemps! me glisse l'ami. Et de faire référence aux anciens que la machine a délesté de tant de tâches pénibles et dont l'existence a été menée par l'espérance d'un mieux être et d'un mieux vivre. La droite remonte le temps en inversant ce qu'il faut bien caractériser de progrès pour les travailleurs: celui de pouvoir consacrer plus de temps à eux et à leurs proches. Le temps libre est une notion moderne que le pouvoir et le medef voudraient bien nous ôter. "Le droit à la paresse", titre de l'ouvrage de Paul Lafargue, est aussi celui de la dernière chanson chantée par les Petites Bourettes hier soir à Parassy. D'actualité. Avec Rimbaud, osons affirmer que tous les êtres ont une fatalité au bonheur!
la suite

ttp://www.yannick-bedin.org/

Le Blog de Roland Narboux

Cette rubrique aurait due se faire sur les grèves et manifestations, et l'entrée des lycéens dans le mouvement, et un seul mot : lamentables, jeunes gens ! Vous êtes lamentables.
Alors je vais parler du feu, et à Bourges, le feu est une constante, depuis la nuit des temps. La cité de Jacques Coeur est placée sous le signe maléfique de l'incendie.
On ne sait quant cela a commencé, sans doute lors du siège d'Avaricum par Jules César et par la suite, durant 2 millénaires ce fut régulièrement une suite de catastrophes dues au feu.
On connaît 588 et un grand incendie rappelé par Grégoire de Tours, puis 1252 et surtout 1487 qui voit partir en fumée les 3/4 de la ville dit-on. Ce dernier feu précipita la chute de la vie économique locale.
Il y eut aussi St Fulgent, le palais des Archevêques en 1871 et entre ces grands incendies, de multiples plus petits....
Récemment, si l'on peut dire, ce fut le Grand Incendie des Nouvelles Galeries en 1928, et le Carrousel place Séraucourt en 1932. Chacun se rappelle aussi le plais du duc jean où ce qui en restait en 1986 et le domaine de Bourbon trois ans plus tard.
En 1986, au mois de janvier, la cathédrale "eut chaud au portail".
Enfin, il y a 3 jours, l'immeuble du restaurant du Grand Argentier, qui a fait une malheureuse victime.
Bourges ville d'incendie, on ne le dira jamais assez.
La suite :

http://spaces.msn.com/rolanddebourges/blog

/

2010
Le Blog de Philippe Bensac

Monsieur le Député,
Siégeant au conseil d'administration du lycée Jean Mermoz de Bourges en qualité de représentant de l'institution municipale, je souhaite, par la présente, attirer votre attention, sur la difficulté, voire l'impossibilité rencontrée par la Direction du lycée, de gérer les postes d'enseignants du Lycée professionnel Jean Mermoz de Bourges en considération de l'augmentation importante des effectifs d'élèves.
D'une part, trois postes équivalents temps plein ont été supprimés par le Rectorat à l'occasion de cette rentrée scolaire, notamment dans des matières d'enseignement général communes à toutes les filières, malgré l'augmentation de 25% du nombre d'élèves passant de 300 à 400, d'autre part, trois autres postes restent à pourvoir par manque d'enseignants.
Au delà, le recours aux vacations contractuelles demeure vain par absence de candidat.
En conséquence, plusieurs classes ont un emploi du temps divisé par deux.
Il semblerait enfin que ce phénomène ne soit pas isolé, à Bourges comme ailleurs.
Au moment précis où l'Etat tente de renforcer la lutte contre le décrochage scolaire, notamment dans l'enseignement professionnel, il devient donc paradoxal de se trouver dans cette situation, loin d'être exemplaire aux yeux des jeunes.
S'il est incontestablement nécessaire d'améliorer la gestion des dépenses publiques, il me paraît important de le faire avec cohérence et discernement. C'est la raison pour laquelle j'en appelle, Monsieur le Député, à votre capacité d'intervention parlementaire qui pourrait peut-être se traduire par une question en séance au Ministre concerné.
Dans l'attente de votre réponse et restant à votre disposition, je vous prie d'agréer, Monsieur le Député, l'expression de ma respectueuse considération.
Philippe BENSAC
Maire-adjoint de la Ville de Bourges
Conseiller communautaire de Bourges Plus
la suite :

http://philippebensac.vox.com

2010
Le Blog de Hassen Chebili

RSA : un R.A.S. pour le Cher !
Les Assises de l'Insertion sont le nouveau gadget du Conseil Général du Cher. Pendant six années de sieste politique, la vice-présidente du département nous a sorti de son sac ses fameuses recettes pour faciliter l'Insertion des Allocataires du RSA. Dans un amphithéâtre transformé en comédie à la fac des sciences, Irène Félix, en charge des "Solidarités" a oublié que le Conseil Général du Cher était géré par les Socialistes Champions du Monde du Social. Et par un miraculeux hasard de calendrier électoral, les solutions nous sont présentées par un travail de fond au travers d'ateliers et de tables rondes : un véritable self-service électoraliste !
Il faut bien avouer que le Cher a pris un retard considérable en matière d'insertion sociale et professionnelle. A titre d'exemple, le Cher n'a pas souhaité être un département pilote et d'expérimentation pour la mise en place du RSA. Une stratégie qui pèse lourd de conséquences sur les techniciens de l'emploi et les travailleurs sociaux, et sans oublier le partenariat passif entre la Caisse d'Allocations Familiales pour le paiement des Allocataires et Pôle Emploi pour le suivi des demandeurs d'emploi relevant de ce nouveau dispositif. Il faut affirmer que la Vice-Présidente du Conseil Général a purement et simplement cassé la dynamique du travail social de notre département. Aucune convention réelle existe entre Pôle Emploi et le Conseil Général pour l'accompagnement des allocataires du RSA. On arrive à s'interroger même sur le travail de terrain et sur les moyens apportés aux assistantes sociales, aux travailleurs sociaux de l'insertion. Le RSA est devenu un RAS (Rien A signaler Socialement) pour le Cher
La suite :

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2010	Le Blog de Serge Lepeltier
Le 6ème Festival International du Film Ecologique de Bourges : une vraie réussite ! 11 octobre 2010 Le Festival International du Film Ecologique de Bourges s’est à nouveau achevé sur une note encore très largement positive. Ce festival nous a encore offert plus qu’un espoir face aux grands défis environnementaux à venir. La sensibilisation à l’écologie n’est vraiment plus une mode. Et l’utilisation de l’image pour faire partager les préoccupations environnementales restera toujours le meilleur moyen pour sensibiliser le grand public. Les réalisateurs, amateurs ou professionnels, ont su, en effet, nous interpeller grâce à leurs reportages ou leurs documentaires que nous avons pu regarder durant tout le festival. Le jury, présidé par Laurent BIGNOLAS, journaliste originaire de Bourges, nous a délivré un palmarès remarquable en récompensant des films de très haute qualité. Au cours de ce festival, j’ai également participé à une conférence débat très intéressante qui abordait le thème des technologies vertes avec Geneviève FERONE, directrice du développement durable chez VEOLIA, technologies qui devront en partie être l’une des solutions pour effectuer la mutation de l’après pétrole. Il reste donc encore beaucoup de réflexions et d’idées à apporter dans ce domaine et que nous pourrons développer lors du prochain festival. Je vous donne donc rendez-vous l’année prochaine pour la 7ème édition. Serge LEPELTIER la suite :
http://www.sergelepeltier.fr/

	Le Blog d'Irène Félix
J'avais envie de partager avec vous ce chaleureux moment qu'est la cuvée de Parassy, un petit festival familial et amical à 20 km de Bourges. Une histoire de copains, d'artistes, de bénévoles, de village qui dit fièrement sa volonté de vivre ensemble. Une histoire aussi, cette année, d'hommage et de fidélité à Gilles Brico, le patron de la Soupe aux Choux à Bourges, à l'origine du festival, et qui est mort l'an dernier. Samedi soir, j'ai pris plaisir à la soirée des anciens de la chanson française, chanson à textes, engagés ou provocateurs. Duo complice entre Louis Arti et sa fille qui joue bellement de sa voix et de son violon. Chansons engagées et a capella très forts de Christian Paccoud, qui pour beaucoup d'entre nous était une découverte remarquable. Belle voix, belle gueule, et pudeur de Georges Chelon dans son hommage à Gilles. Pascal Mathieu et ses jeux de mots, espèce de dandy décalé et superbe. Sarcloret enfin. Beaucoup d'émotion dans tout cela. Cet après-midi, j'ai entendu avec bonheur une partie du concert d'un jeune groupe "Courons dans les rues", plein de punch et foncièrement sympathique. Puis le concert tout à fait intéressant d'autres jeunes, "Des fourmis dans les mains", un groupe revendiquant son origine du Beaujolais, avec des textes mettant en scène avec beaucoup de sensibilité, d'originalité et d'engagement les villages ruraux. Musique de qualité, sur fond de cordes et voix très juste du chanteur, de la haute-contre à la basse. C'est avec bonheur qu'on voit émerger des groupes venus de nos campagnes, et trouvant leur place sur un registre à la fois musicalement intéressant et doublement militant : d'un mode de vie ; et d'une qualité de liens. Belle cuvée. Et dire que c'est tout cela que Sarkozy veut détruire. Ce n'était pas, hier, sa fête ! la suite :
http://irenefelix.blogspirit.com/

	Le Blog de Yann Galut
Annoncé par le 20 mai dernier par Nicolas Sarkozy, le gel des dotations de l'Etat aux collectivités territoriales à partir de 2011 et jusqu’en 2013, a été confirmé le mercredi 30 septembre, par le ministre du budget François Baroin. Voilà plusieurs jours que je souhaite revenir sur un sujet qui me tient particulièrement à coeur : la lutte contre l'homophobie. Qu'il s'agisse des récents propos affligeants des rappeurs du groupe Sexion d'assaut ou du suicide d'un jeune américain, Tyler Clementi, l'actualité donne à l'homophobie son pire visage. Ce n'est pas vraiment nouveau. Le rapport de SOS Homophobie en mai dernier dénonçait déjà l'inflation des propos homophobes sur Internet. la suite :
http://www.yann-galut.com/

	Le Blog de Yannick Bedin
J'ai eu peu de temps pour rédiger un billet cette semaine. Entre le soutien que j'ai apporté aux opposants à l'épandage des boues dans le Cher Nord, venus manifester en ouverture du festival du film écologique à Bourges jeudi, quelques virées à Parassy pour assister à la Cuvée menée de main de maître par Régis Brico et Roger Ledoux, le maire de la commune, et les dizaines de bénévoles, plusieurs réunions et le travail, le temps manque pour rédiger un billet digne de ce nom. Je me plie toutefois à l'exercice; ce blog reste un outil précieux pour faire partager réflexions et ressentis. J'ai occupé une bonne partie de mon temps sur le projet partagé du Front de gauche. A l'heure où la mobilisation grandit contre le projet Woerth-Sarkozy sur les retraites, le Parti de gauche et le PCF travaillent ensemble dans le Cher à sa mise en oeuvre avec les citoyens, les acteurs du mouvement social et associatif. Les rencontres se multiplient entre nos deux formations dans le département. Nous aussi nous voulons apporter notre pierre à ce qui pourrait bien créer la surprise dans l'espace politique national: l'émergence d'un projet et de candidatures communes du Front de gauche à toutes les élections. Il y a encore du chemin mais je crois que nous tenons le bon bout. Demain, je rencontre les responsables départementaux du NPA. C'est dans l'union de toutes les forces de gauche, autour d'un projet qui n'en rabatte pas sur les valeurs qui fondent la gauche, que nous gagnerons durablement. Je ne délaisse pas pour autant avec mes camarades, le combat contre le projet sur les retraites que veut nous faire avaler la droite; l'heure est à faire retirer ce texte injuste et inefficace. Nous serons dans la rue encore mardi, et en grève, en espérant un mouvement d'une ampleur inégalée pour faire plier le pouvoir. Nous avons l'avantage disais-je dans un précédent billet. Preuve en est que nombre de responsables à droite se défilent. Ce matin au marché, un proche de Serge Lepeltier me glissait que le Maire de Bourges n'était pas sarkozyste... C'est un signe de voir qu'à droite de plus en plus d'élus se taisent, font le dos rond ou se désolidarisent du Président. Au marché toujours, et alors que nous faisions signer avec les militants communistes une carte pétition adressée à l'Elysée, j'ai entendu plusieurs personnes se déchaîner contre le Président de la République. La violence des mots chez certains de nos concitoyens répond à la violence sociale et au mépris qu'ils subissent. Elle est légitime. Celui qui a déshonoré la fonction présidentielle, pour laquelle je n'ai pas de sympathie particulière étant opposé au mode d'élection imposé par la Vème République, paie ses mauvais coups portés à la République: pour beaucoup, il n'est plus digne de la représenter. Toujours au marché, je rencontre un ami comédien. Celui-ci me cite Arthur Rimbaud, dans Une saison en enfer: Je devins un opéra fabuleux: je vis que tous les êtres ont une fatalité de bonheur: l'action n'est pas la vie, mais une façon de gâcher quelque force, un énervement. Nous échangeons sur ce président énervé et sur le sens des contre-réformes menées. Nous sommes en face d'enjeux de civilisation: dire qu'avec les progrès techniques et technologiques, il nous faudrait travailler plus longtemps! me glisse l'ami. Et de faire référence aux anciens que la machine a délesté de tant de tâches pénibles et dont l'existence a été menée par l'espérance d'un mieux être et d'un mieux vivre. La droite remonte le temps en inversant ce qu'il faut bien caractériser de progrès pour les travailleurs: celui de pouvoir consacrer plus de temps à eux et à leurs proches. Le temps libre est une notion moderne que le pouvoir et le medef voudraient bien nous ôter. "Le droit à la paresse", titre de l'ouvrage de Paul Lafargue, est aussi celui de la dernière chanson chantée par les Petites Bourettes hier soir à Parassy. D'actualité. Avec Rimbaud, osons affirmer que tous les êtres ont une fatalité au bonheur! la suite
ttp://www.yannick-bedin.org/

	Le Blog de Roland Narboux
Cette rubrique aurait due se faire sur les grèves et manifestations, et l'entrée des lycéens dans le mouvement, et un seul mot : lamentables, jeunes gens ! Vous êtes lamentables. Alors je vais parler du feu, et à Bourges, le feu est une constante, depuis la nuit des temps. La cité de Jacques Coeur est placée sous le signe maléfique de l'incendie. On ne sait quant cela a commencé, sans doute lors du siège d'Avaricum par Jules César et par la suite, durant 2 millénaires ce fut régulièrement une suite de catastrophes dues au feu. On connaît 588 et un grand incendie rappelé par Grégoire de Tours, puis 1252 et surtout 1487 qui voit partir en fumée les 3/4 de la ville dit-on. Ce dernier feu précipita la chute de la vie économique locale. Il y eut aussi St Fulgent, le palais des Archevêques en 1871 et entre ces grands incendies, de multiples plus petits.... Récemment, si l'on peut dire, ce fut le Grand Incendie des Nouvelles Galeries en 1928, et le Carrousel place Séraucourt en 1932. Chacun se rappelle aussi le plais du duc jean où ce qui en restait en 1986 et le domaine de Bourbon trois ans plus tard. En 1986, au mois de janvier, la cathédrale "eut chaud au portail". Enfin, il y a 3 jours, l'immeuble du restaurant du Grand Argentier, qui a fait une malheureuse victime. Bourges ville d'incendie, on ne le dira jamais assez. La suite :
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2010	Le Blog de Philippe Bensac
Monsieur le Député, Siégeant au conseil d'administration du lycée Jean Mermoz de Bourges en qualité de représentant de l'institution municipale, je souhaite, par la présente, attirer votre attention, sur la difficulté, voire l'impossibilité rencontrée par la Direction du lycée, de gérer les postes d'enseignants du Lycée professionnel Jean Mermoz de Bourges en considération de l'augmentation importante des effectifs d'élèves. D'une part, trois postes équivalents temps plein ont été supprimés par le Rectorat à l'occasion de cette rentrée scolaire, notamment dans des matières d'enseignement général communes à toutes les filières, malgré l'augmentation de 25% du nombre d'élèves passant de 300 à 400, d'autre part, trois autres postes restent à pourvoir par manque d'enseignants. Au delà, le recours aux vacations contractuelles demeure vain par absence de candidat. En conséquence, plusieurs classes ont un emploi du temps divisé par deux. Il semblerait enfin que ce phénomène ne soit pas isolé, à Bourges comme ailleurs. Au moment précis où l'Etat tente de renforcer la lutte contre le décrochage scolaire, notamment dans l'enseignement professionnel, il devient donc paradoxal de se trouver dans cette situation, loin d'être exemplaire aux yeux des jeunes. S'il est incontestablement nécessaire d'améliorer la gestion des dépenses publiques, il me paraît important de le faire avec cohérence et discernement. C'est la raison pour laquelle j'en appelle, Monsieur le Député, à votre capacité d'intervention parlementaire qui pourrait peut-être se traduire par une question en séance au Ministre concerné. Dans l'attente de votre réponse et restant à votre disposition, je vous prie d'agréer, Monsieur le Député, l'expression de ma respectueuse considération. Philippe BENSAC Maire-adjoint de la Ville de Bourges Conseiller communautaire de Bourges Plus la suite :
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2010	Le Blog de Hassen Chebili
RSA : un R.A.S. pour le Cher ! Les Assises de l'Insertion sont le nouveau gadget du Conseil Général du Cher. Pendant six années de sieste politique, la vice-présidente du département nous a sorti de son sac ses fameuses recettes pour faciliter l'Insertion des Allocataires du RSA. Dans un amphithéâtre transformé en comédie à la fac des sciences, Irène Félix, en charge des "Solidarités" a oublié que le Conseil Général du Cher était géré par les Socialistes Champions du Monde du Social. Et par un miraculeux hasard de calendrier électoral, les solutions nous sont présentées par un travail de fond au travers d'ateliers et de tables rondes : un véritable self-service électoraliste ! Il faut bien avouer que le Cher a pris un retard considérable en matière d'insertion sociale et professionnelle. A titre d'exemple, le Cher n'a pas souhaité être un département pilote et d'expérimentation pour la mise en place du RSA. Une stratégie qui pèse lourd de conséquences sur les techniciens de l'emploi et les travailleurs sociaux, et sans oublier le partenariat passif entre la Caisse d'Allocations Familiales pour le paiement des Allocataires et Pôle Emploi pour le suivi des demandeurs d'emploi relevant de ce nouveau dispositif. Il faut affirmer que la Vice-Présidente du Conseil Général a purement et simplement cassé la dynamique du travail social de notre département. Aucune convention réelle existe entre Pôle Emploi et le Conseil Général pour l'accompagnement des allocataires du RSA. On arrive à s'interroger même sur le travail de terrain et sur les moyens apportés aux assistantes sociales, aux travailleurs sociaux de l'insertion. Le RSA est devenu un RAS (Rien A signaler Socialement) pour le Cher La suite :
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