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HEBDO PLUS,

FORUM DES ETUDIANTS DE BOURGES

Le forum des étudiants place Etienne Dolet.

C'était Jeudi dernier le 13 septembre, De 14h à 17h
Le Forum Etudiants, un moyen de trouve un job ou un stage, ce qui n'est pas facile par les temps qui courent.
C'était place Étienne Dolet www.bourgesplus.fr

Jean Pierre Armandet et Mme Danièle Monnet au départ du rallye des cathédrales.

SECONDE NAVETTE A BOURGES

seconde navette de Bourges via Anatole France, Avaricum puis la rue Moyenne, c'est parti depuis hier. Très demandée, cette navette est un plus considérable d'autant que les horaires de début et de fin ont été allongés.
Il y a donc désormais 2 lignes de navette, la première ancienne du côté ouest du centre ville, et la seconde, c'est la partie est.
C'est une initiative d'Agglobus.

REMISE PRIX EXPO PHOTOS A BOURGES

Traditionnelle exposition depuis 6 ans sur les grilles du jardin de l'archevêché sur le modèle parisien des grilles du Sénat.
Cette année, le thème était "l'eau vue par les Berruyers", alors que nous étions en pleine sécheresse, et depuis il a beaucoup plus a partir du mois d'avril.
Bourges ville d'eau, avec ses 7 rivières, ses bassins et ses fontaines.
80 photos a voir et chacun peut voter, sur Internet mais aussi en mairie et a l'Office de tourisme.
Ces photos sont restées toute la saison touristique.
Et en fin de semaine, ce sera la remise des prix aux meilleures photos sélectionnées.

POLITIQUE A BOURGES

Cette fois c'est bien la rentrée politique, avec à Bourges plusieurs faits intéressants :

- le député du Cher et d'une partie de Bourges, Yves Fromion qui était aussi maire d'Aubigny sur Nère quitte cette dernière fonction. Il ne sera "que député" ce qui n'est pas rien !

- Irène Félix dévoile ses ambitions : se représenter pour la troisième fois devant les électeurs de Bourges pour les municipales de 2014. Une annonce qui fait grincer des dents à la fois au PS et surtout vers le front de gauche et le parti communiste encore vivace à Bourges.

- Yann Galut sur tous les fronts, avec son nouveau rôle de député, et il veut remettre un poste de police au Val d'Auron, et en prime, il parle d'un spectacle de la Maison de la Culture à Baudens.
-
- Colère du maire Serge Lepeltier sur un article d'un journal local qui est "totalement faux" et il donne des chiffres, 16% du budget de fonctionnement de la ville de Bourges va a la culture.
Quant aux investissements, c'est 15 millions d'euros par an qui vont a la culture.

MAISON DE LA CULTURE DE BOURGES ??????

Haro sur les archéologues "qui ont une fois encore pris Bourges en otage", c'est ce qui ressort actuellement des conversations que chacun peut entendre rue Moyenne ou sur la place Cujas.
Beaucoup ont noté que c'est le troisième projet que l'archéologie fait plus ou moins capoter. Il y a eu le parking souterrain Cujas, puis Avaricum et son centre commercial et aujourd'hui la maison de la culture.Cela fait beaucoup, cela fait trop, et cela signifie qu'une ville historique ne peut plus se développer et ne peut que devenir "une ville musée".
le coup est rude.
D'autant que pour le contribuable, l'archéologie commence à coûter très cher. Il y a eu 2,5 millions d'euros pour les fouilles d'Avaricum, 1,5 pour la rocade Est, et il faudrait 5 millions pour la Maison de la Culture !
Et sans compter plusieurs millions d'Euros sur Esprit 1 et 2.

Devant et Derrière

Tout ceci parce que le préfet de Région demande des fouilles archéologiques et que le ministère a fait les arbitrages : il faut fouiller.... a dit le (la) ministre ) alors que chacun sait depuis des lustres ce qui est sous la célèbre maison, car il y a eu des fouilles autrefois.
Si tout va bien, le délai sera allongé de plus de 2 ans, et le coût qui était déjà considérable, près de 20 millions d'Euros sera augmenté de 5 millions.
Une situation ubuesque et totalement inacceptable pour les Berruyers.
Parmi les recherches de solutions, pourquoi ne pas faire la Maison de la Culture ailleurs, sur un terrain, de plein pied, sans creuser le moindre centimètre ... et avec un concept assez proche de ce qui a été fait pour l'Ecole de musique et de danse.
POUR CEUX QUI ONT RATE DES EPISODES DE LA SEMAINE DERNIERE

LES BERRUYERES DES JO DE LONDRES FETEES

Les JO à Londres ce fut une belle fête et vendredi dernier, il y avait foule à la mairie de Bourges afin de voir et de complimenter les trois Berruyères qui avaient une médaille d'argent.
Il y a une ovation pour Céline Dumerc (photo) , Emeline N'Dongue et Endy Miyem.
Valérie Garnier, la coach était présente et Jennifer Digbeu quant à elle, médaille d'argent aussi étaient déjà sous un autre maillot.
Des discours et la présence de monsieur le Préfet et d'une foule aussi importante que pour les voeux.
Il a été rappelé que les "filles de Bourges" en basket ont fait un parcours exceptionnel avec des victoires jusqu'à la la difficile finale face aux USA pour une médaille d'or, perdue, mais quel parcours ! En particulier, le maire a mis l'accent sur la performance de Céline Dumerc.

A noter enfin, assez discret, le président Pierre Fosset et quelques filles de l'équipe qui a repris l'entraînement avant les prochains matchs.

SECHERESSE A BOURGES

Restriction pour les agriculteurs, mais les récoltes sont faites, et pour les jardiniers du dimanche à Bourges, ne plus arroser entre 8 heures et 20 heures, donc arroser la nuit.

Il ne pleut toujours pas .... Peut être aujourd'hui ou demain, et bonne nouvelle car lYèvre, selon les spécialistes est au plus bas en aval de la ville de Bourges, Dans les alertes,on est au niveau du seuil de crise, ce qui signifie que l'on n'a jamais vu si peu d'eau dans lYèvre a cette saison.

BILAN D'UNE SAISON

La nuit de samedi avec les Nuits Lumière costumées ont eu le succès habituel et la saison se termine fin septembre à Bourges.
Il y avait en plus les gargouilles vivantes de Francis.
Les Amis de Jacques Coeur ont rassemblé sur les 3 Nuits Lumière de la saison et les 1001 lucioles aux Prés Fichaux, il y a eu environ 6000 personnes ce qui est encourageant pour la saison prochaine.

BOURGES DE A à Z

Bourges de A a Z : le retour
Il est a nouveau dans certaines librairies de la ville, et a L'Office de Tourisme l'ouvrage de Roland Narboux aux éditions Sutton.
Un ouvrage qui va de A comme Avaricum a Z comme Zizi, en passant par les souterrains, Jean de Berry ou les filles du basket... Un livre qui montre le Bourges d'hier et d'aujourd'hui.

SAMEDI : NUITS LUMIERE COSTUMEES

Comme chaque année, à la fin août et en septembre, les Amis de Jacques Coeur ont proposé un parcours spectacle des Nuits lumière costumées sur le circuit des petites lampes bleues avec des scénographies originales dans les sites par des personnages en costumes du XV ième siècle et de la musique de l'époque.
Succès de ces Nuits Lumière costumées du samedi 8 septembre avec comme le 2' août, la grande foule : prés de 2000 personnes qui était sur le parcours ou qui ont suivi le cortège des Amis de Jacques Coeur.
Il y avait un temps très agréable, et encore beaucoup de touristes dans Bourges.
Et puis la fin du concert d'Un Eté à Bourges place E. Dolet, et ce furent plusieurs centaines de personnes qui ont suivi les beaux costumes et les scénographies dans les différents sites.

La présence des gargouilles impressionnantes firent la joie ou la peur les petits et les grands,

Prochain parcours spectacle l'année prochaine.

Et c'était gratuit.
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PAGE 3 : LES BLOGS POLITIQUES DE BOURGES
2012
Le Blog de Serge Lepeltier

TGV Paris Orléans Clermont-Ferrand Lyon : une année d'études décisive.
17 septembre 2012
En juin dernier, je vous informais que Réseau Ferré de France (RFF) avait validé le projet de ligne à grande vitesse Paris Orléans Clermont-Ferrand Lyon, appelé désormais ''projet Cœur de France'' par RFF.
Vendredi dernier, avait lieu à Vierzon l'assemblée générale de l'association TGV Grand Centre Auvergne, présidée par le sénateur Rémy POINTEREAU.
Au cours de cette assemblée générale, Monsieur Thomas ALLARY, directeur du projet, a présenté la décision de RFF et les études qui vont être menées au cours de l'année à venir.
La poursuite des études du projet Cœur de France a donc été décidée par RFF. Ainsi, les quatre objectifs du projet sont confirmés. En outre, la liaison Clermont-Lyon est ajoutée aux objectifs du projet, les scénarios Est et Ouest Sud, et la variante Mâcon sont abandonnés.
Une phase intermédiaire avant les études techniques, d'environ 1 an est engagée pour définir le scénario final.
Pour ce scénario final, RFF a donc décidé de retenir les scénarios Ouest et Médian associés à la variante Roanne comme scénarios de base de cette phase.
Cette phase intermédiaire permettra d'approfondir de nombreux sujets dont notamment les conditions de la faisabilité financière et l'évaluation socio-économique, l'évaluation environnementale et les conséquences en termes de risques et de coûts, et enfin l'articulation du projet avec la modernisation du réseau existant.
Ces études seront menées sous l'égide d'un comité de pilotage qui déploiera un dispositif d'information et de concertation. Ainsi, tous les habitants des cinq régions concernées auront un accès à l'information sur le projet et la possibilité de s'impliquer et de participer à la concertation.
Cette concertation aura essentiellement pour thème l'aménagement du territoire, les différentes dessertes entre Paris et Lyon, l'environnement, l'agriculture et la viticulture en région Centre.
Cette phase intermédiaire est donc très importante car elle fera émerger un seul scénario qui, une fois validé, permettra le démarrage des études préalables à l'enquête d'utilité publique.
A nous de mobiliser encore et toujours pour que ce projet aboutisse le plus rapidement possible.
La suite :

http://www.sergelepeltier.fr/

Le Blog d'Irène Félix

Pas grand chose dans ce Conseil, si ce n'est un échange sur le dossier de la Maison de la Culture.
Comme d'habitude, Lepeltier devant une difficulté affirme qu'il n'y est pour rien, qu'on l'a, d'une certaine façon, trahit, et qu'il découvre le problème. Cette attitude, déjà vue pour Avaricum, pour le rond-point du Lautier, pour le Prado, pour l'avenue Haegelen (bientôt), pour le stade Jean Brivot (dernier avatar du genre) et maintenant pour la Maison de la Culture finit par agacer. Et surtout par fragiliser les projets et coûter cher aux Berruyers. Faut-il, par complaisance ou au nom de la cohésion locale, ne pas le dénoncer ? Je ne le crois pas. Il ne s'agit pas de remettre en cause un projet. Mais bien d'interroger la gestion d'un projet.
De quoi s'agit-il ?
La Maison de la Culture est une vieille institution, emblématique de la culture à Bourges et même, emblématique d'une forme de "décentralisation culturelle" en France, voulue par André Malraux après guerre. Elle donne à Bourges une offre culturelle de qualité, qu'il faut évidemment défendre.
Fallait-il rénover la Maison de la Culture ? Bien sûr. Nous, la gauche, avons même il y a quelques années considéré qu'il en était bien temps : des morceaux de plafond menaçaient de tomber sur les fauteuils du grand théâtre.
Fallait-il oser reconstruire sur place ? Le pari était incontestablement risqué et difficile. Mais oui, je crois qu'il méritait d'être tenté, à la fois pour des raisons d'histoire et de patrimoine mais aussi pour des raisons d'urbanisme, sous réserve d'une évaluation précise des risques : garder la Maison de la Culture au coeur de la ville, oui, cela a du sens.
La gauche a-t-elle soutenu ce projet ? Bien sûr : à la Région comme au Conseil Général, nous avons pris des engagements de co-financement. Plus, une perspective de révision du montant de ces subventions n'a pas été écartée au niveau départemental quand le coût du projet a commencé à grimper. J'ai personnellement plaidé dans le sens de cette ouverture.
Les contraintes, incontestablement, sont multiples. On semble les découvrir jour après jour, année après année plutôt. Il faut plus de hauteur (était-ce la seule solution ?) pour conserver les deux salles de spectacle dans des conditions d'isolation phonique acceptable pour un fonctionnement conjoint, condition du maintien des aides de l'Etat au titre de "Scène Nationale" ; mais en-dessous, il y a des thermes ; et au-dessus, il y a la cathédrale, ou plus précisément la vue sur et de la cathédrale. Et enfin, la Maison n'a pas de fondations et ne doit pas être chatouillée de trop près !
L'évaluation a-t-elle été bien faite ? Le projet bien piloté ? Le doute s'installe.
Depuis le lancement de la réflexion, des ajustements successifs ont été nécessaires, décrits d'ailleurs par le Maire lui-même ce soir : les deux salles en fonctionnement conjoint ? Pas prévu au départ. + plusieurs mois pour refaire les études, négocier dans un dialogue à l'époque très tendu ce qu'il fallait ou non conserver et + 4 millions d'euros. Puis le Maire a découvert qu'il était nécessaire de réviser le Plan Local d'Urbanisme pour gagner les quelques mètres nécessaires en toiture. + quelques mois. Nous, à gauche, solidaires sinon complaisants, avons partagé la très grande discrétion du Maire à cette époque pour éviter d'éventuels recours et fragiliser le projet. Puis on prend en compte l'absence de fondations de la Maison et les problèmes techniques que cela pose ; + 3 millions d'euros : ceux-là, prévisibles sans doute plus tôt, auraient peut-être dû alerter sérieusement sur la suite du projet. Puis on s'étonne que des fouilles supplémentaires soient prescrites alors que des vestiges de thermes sont présents. + de nouveaux délais et de nouveaux coûts, d'autant plus élevés que des engagements ont été pris en aveugle vis-à-vis des entreprises et qu'il faut donc se dédire, au moins sur le calendrier. Ce soir, Lepeltier présentait une facture de 4,6 millions d'euros (pour les 5 millions annoncés au Berruyers ...).
Le Conseil Municipal a glissé vers un procès contre la loi sur les fouilles. Avec la droite, je veux bien en débattre ! La loi a été définie par la droite (qui a choisit de faire payer les "maîtres d'ouvrage" c'est à dire ceux qui portent les projets, souvent les communes ou départements) puis à nouveau durcie par la droite. Les élus de la majorité de droite municipale auraient pu s'en émouvoir avant ! On n'était pas loin d'une forme de populisme peu ragoûtant, consistant à dénigrer par avance toute fouille, au prétexte que l'on "fouillerait les anciennes salles de bains". On peut voir ça comme ça. Je ne me prononcerai pas à la place des spécialistes sur l'intérêt de telle ou telle fouille. En revanche, en ce qui me concerne, je crois normal que l'on respecte la loi même si j'entends bien que l'application de la loi appelle toujours un certain "discernement".
Et la suite : bien sûr, il faut espérer le bon aboutissement final du projet. Bourges a absolument besoin de sa Maison de la Culture. Un bon aboutissement, c'est pas trop de mosaïques sous la Maison ou qu'on renonce à les conserver. Pas "d'extrémisme" sur les fouilles, d'accord. Un nouveau pari.
Que reprochez-vous, en somme, à la Mairie, me demandait-on en fin de Conseil ? Un pilotage à vue sur ce projet comme sur d'autres, une certaine arrogance dont l'auteur pense qu'elle lui permettrait toutes les approximations, des risques d'engagements financiers considérables et de fragilisation à terme des équipements culturels sur Bourges. Presque rien, finalement ...

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http://irenefelix.blogspirit.com/

Le Blog de Pascal Blanc

Faisant partie de ce qu'on appelle couramment " la classe moyenne ", le projet de réforme sur l'impôt sur les revenus me fait penser que l'idée que je me faisais jusqu'à présent de ces prélèvements sur les revenus du travail est en train de changer. Je vais même finir par culpabiliser de gagner " autant " d'argent !
Tel que le système existait depuis de très nombreuses années, le montant de l'impôt était proportionnel au niveau de vie. En fait, sans démagogie, je me réjouissais de payer autant d'impôts. C'était la traduction d'un confort de vie très acceptable et obtenu honnêtement.
S'il est bien naturel que, dans ces périodes difficiles, les efforts collectifs sont indispensables et qu'il faille faire preuve de solidarité, j'ai beaucoup de mal à admettre une augmentation des taxes sur le travail. J'estime que les revenus sont très souvent le fruit d'un investissement personnel important, commencé dès le plus jeune âge. La réussite professionnelle est due au travail accompli et à la reconnaissance de celui-ci par les employeurs. Mais doit-on avoir honte de ce que l'on gagne ? Doit-on être pénalisé pour son goût du travail et pour sa persévérance?
Dans ces conditions, l'impôt sur les revenus devient injuste. " Travaille bien à l'école mon fils. Tu auras un bon métier ". Cet argument tient-il encore ?
Sur environ 35 millions de foyers fiscaux, seuls 19 millions sont imposables. Les 30 %, les plus démunis, composent les catégories "modestes". Les 20 %, les plus riches, composent les catégories "aisées".
Les classes moyennes, elles, forment 50 % de la population. C'est donc mécaniquement sur elles que doit augmenter la charge fiscale. La conséquence immédiate est que la " classe moyenne " consommera moins, la " classe modeste "ne consommera pas plus. Quant à " la classe aisée ", elle ne consommera ni plus ni moins. Donc globalement, la consommation sera moindres ce qui pénalisera le commerce et les industries françaises.
En termes de justice fiscale, je suis d'une part pour la taxation sur le capital tout en plafonnant celle-ci afin de maintenir de l'actionnariat privé dans les sociétés françaises. D'autre part, je suis pour une hausse de la T.V.A. sur certains produits et pour une baisse de celle-ci pour d'autres. Une hausse de la T.V.A. pour les produits de luxe et pour les voitures puissantes par exemple. Une baisse de la T.V.A. voire même une T.V.A. nulle pour les produits de première nécessité : le pain, le lait, les œufs, l'eau, etc.
En termes de fiscalité, il n'y a pas les " bons " d'un côté et " les méchants " de l'autre. Les plus aisés ne sont pas forcément tous malhonnêtes. L'impôt doit être juste. Il n'y a pas de justice sociale sans justice fiscale

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http://pascalblanc.wordpress.com/

Le Blog de Yann Galut

Communiqué de presse - Pour une école en phase avec son territoire
J'ai obtenu de Mme le Recteur le lancement d'un observatoire de l'Éducation nationale dans le Cher dès la rentrée 2012. Au même titre que de nombreux parents d'élèves et des professionnels de l'éducation, j'ai depuis longtemps dénoncé les suppressions de classes pratiquées de manière aveugle par le gouvernement UMP ces dernières années. Cette politique purement comptable a fragilisé bien des zones du département du Cher en niant les particularités locales. C'est cette idée qui m'a conduit à solliciter le Recteur le 9 juillet dernier pour dresser l'état des lieux de l'École dans le Cher. Vous trouverez ci-après les termes de mon communiqué de presse.
C'est dans le cadre d'une rencontre-débat que j'ai dialogué vendredi soir une vingtaine de représentants du Centre des Jeunes Dirigeants (CJD) d'entreprises du Cher. Le CJD Bourges est un mouvement de jeunes dirigeants, représentatifs du tissu économique : ensemble ils contribuent à réfléchir au développement de l'économie locale. Après une présentation de la fonction de député - son rôle, ses liens avec le pouvoir économique - nous avons échangé pendant plus de 2 heures sur des thèmes qu'ils avaient choisi : le problème de l'attractivité et de désenclavement du territoire, les forces et faiblesses du territoire, et l'entreprenariat source d'emplois. C'est avec beaucoup d'intérêt que j'ai écouté nos entrepreneurs partager leurs problématiques et leurs aspirations. J'ai pu ainsi exposer les grands principes et les actions qui guidaient le gouvernement dans le redressement de la France et la relance de la compétitivité. A l'évidence l'esprit d'initiative, les idées et les ambitions sont là. Mais ce que j'ai trouvé particulièrement positif c'est leur esprit coopératif. C'est une force sur laquelle il faudra nous appuyer dans les mois qui viennent pour penser le développement de Bourges et du Cher.
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http://www.yann-galut.com/

2012 Le Blog de Yannick Bedin

Municipales 2014
Une élection chasse l'autre. A peine la longue période électorale de 2012 terminée, voilà qu'on voit surgir des interrogations et des positionnements concernant les élections municipales de 2014 à Bourges.
Il est vrai que l'ère Lepeltier semble longue à beaucoup de Berruyers et il est légitime que nombre d'entre eux s'impatientent. La ville s'endort dans un contexte morose, avec aux commandes un maire absent.
Pour ma part, convaincu que la gauche peut gagner en 2014 dans cette ville, je m'en tiendrais à quelques principes :
tirer les enseignements de notre défaite en 2008 et ne pas recommencer les erreurs commises,
faire vivre le rassemblement de tous ceux qui veulent changer dans cette ville, en tenant compte des rapports de forces politiques (je rappelle que le Front de gauche aux législatives est arrivé en troisième position à Bourges) mais aussi en ouvrant en grand les portes de l'union,
travailler à un projet de ville qui donne envie aux Berruyers de changer de maire, d'équipe et de politique ce qui passe aussi par le renouvellement nécessaire,
Nous avons quelques mois pour mettre en place et faire vivre ces principes sans lesquels, il est certain que la gauche perdra encore.

ttp://www.yannick-bedin.org/
2012 Le Blog de Roland Narboux

Retour a Bourges sur le blog après un été a écrire sur le national.
Un Berruyer qui a quitté notre ville fin juin et revient au bout de 3 mois, que constate-t-il ?
- Il a raté le festival Un été a Bourges qui dure tous les soirs de l'été, c'est gratuit et pourtant de grande qualité. Le spectacle "breton" a ravi le très nombreux public samedi dernier.
- Il découvre que le centre commercial Avaricum est toujours au même point, et on lui susurre qu'il faut attendre encore un mois pour savoir si il se fera ou pas....
- Il tombe sur le c.. en apprenant que les travaux de la Maison de la Culture sont stoppés au moins pour deux ans, et que la future maison a du plomb Dans l'aile sur cet emplacement. Et la cause c'est l'archéologie... Et la notre Berruyer n'y comprend plus rien.
- il apprend en lisant le Berry que le TGV est toujours dans l'actualité, mais il ne prend pas d'avance, en juin 2013, on s'en reparle, et si c'est toujours oui, alors deux ou trois ans d'études sur le faisceau de 100 km de large, avant 6 ou 7 ans pour que ce faisceau passe a 1 ou 2 km de large, et le coût du projet reste de 13 milliards d'euros.
- enfin sur le plan politique, il lit le blog de Mme Irene Félix qui se présente aux municipales de 2014 a Bourges... Prenant de vitesse Yann Galut et le front de gauche local.
- et puis circulant dans la ville, il voit des travaux "partout" comme il l'entend dire, Haegelen, Route de Dun, avenue de St Amand, ...... Etc .
- Et il se rappelle avoir beaucoup entendu parler des filles de Bourges aux JO de Londres, qui sont devenues célèbres en quelques beaux matchs.
a suivre

blog de roland narboux

2012
Le Blog de Philippe Bensac

DE LA MONNAIE DE SINGE AU MARCHE DE DUPES
La banque publique d'investissement du Président normal a été érigée hier soir en arme fatale et absolue pour endiguer la crise.
Pourtant, le début du quinquennat s'est caractérisé par une offensive contre l'entreprise et l'investissement privé sans précédent depuis les années noires du Mitterrandisme (1981-1984).
Alors qu'en est-il ?
Qui dit banque publique sous-tend fonds publics. Or, il n'y en a plus à cause de notre dette record.
Il est clair, par conséquent, que ces fonds publics seront constitués de monnaie de singe car puisés dans le déficit budgétaire annuel.
Il sera donc particulièrement intéressant de vérifier comment et combien l'Etat français louera cet argent virtuel aux entrepreneurs et autres créateurs d'entreprises.
Pour ma part, je verrai d'un très mauvais oeil la pratique d'un taux du loyer de l'argent excédent l'inflation. La monnaie de singe en constitue, de fait, le facteur essentiel (hors pénurie bien sûr puisque nous sommes pratiquement en phase de décroissance économique).
Quant aux conditions des prêts de cette monnaie de singe aux entreprises et investisseurs, je considère qu'il serait totalement malvenu de demander des garanties personnelles ou réelles en contrepartie du risque de non remboursement.
Au final, je demande à Monsieur HOLLANDE de surveiller de très près son Ministre MOSCOVICI ainsi que son conseiller banquier PIGASSE pour que la monnaie de singe qui va être injectée dans l'entreprise France par cette "banque publique d'investissement - BPI" ne se transforme en marché de dupes, pour ne pas dire en foire aux cons.
la suite :

http://philippebensac.vox.com

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2012	Le Blog de Serge Lepeltier
TGV Paris Orléans Clermont-Ferrand Lyon : une année d'études décisive. 17 septembre 2012 En juin dernier, je vous informais que Réseau Ferré de France (RFF) avait validé le projet de ligne à grande vitesse Paris Orléans Clermont-Ferrand Lyon, appelé désormais ''projet Cœur de France'' par RFF. Vendredi dernier, avait lieu à Vierzon l'assemblée générale de l'association TGV Grand Centre Auvergne, présidée par le sénateur Rémy POINTEREAU. Au cours de cette assemblée générale, Monsieur Thomas ALLARY, directeur du projet, a présenté la décision de RFF et les études qui vont être menées au cours de l'année à venir. La poursuite des études du projet Cœur de France a donc été décidée par RFF. Ainsi, les quatre objectifs du projet sont confirmés. En outre, la liaison Clermont-Lyon est ajoutée aux objectifs du projet, les scénarios Est et Ouest Sud, et la variante Mâcon sont abandonnés. Une phase intermédiaire avant les études techniques, d'environ 1 an est engagée pour définir le scénario final. Pour ce scénario final, RFF a donc décidé de retenir les scénarios Ouest et Médian associés à la variante Roanne comme scénarios de base de cette phase. Cette phase intermédiaire permettra d'approfondir de nombreux sujets dont notamment les conditions de la faisabilité financière et l'évaluation socio-économique, l'évaluation environnementale et les conséquences en termes de risques et de coûts, et enfin l'articulation du projet avec la modernisation du réseau existant. Ces études seront menées sous l'égide d'un comité de pilotage qui déploiera un dispositif d'information et de concertation. Ainsi, tous les habitants des cinq régions concernées auront un accès à l'information sur le projet et la possibilité de s'impliquer et de participer à la concertation. Cette concertation aura essentiellement pour thème l'aménagement du territoire, les différentes dessertes entre Paris et Lyon, l'environnement, l'agriculture et la viticulture en région Centre. Cette phase intermédiaire est donc très importante car elle fera émerger un seul scénario qui, une fois validé, permettra le démarrage des études préalables à l'enquête d'utilité publique. A nous de mobiliser encore et toujours pour que ce projet aboutisse le plus rapidement possible. La suite :
http://www.sergelepeltier.fr/

	Le Blog d'Irène Félix
Pas grand chose dans ce Conseil, si ce n'est un échange sur le dossier de la Maison de la Culture. Comme d'habitude, Lepeltier devant une difficulté affirme qu'il n'y est pour rien, qu'on l'a, d'une certaine façon, trahit, et qu'il découvre le problème. Cette attitude, déjà vue pour Avaricum, pour le rond-point du Lautier, pour le Prado, pour l'avenue Haegelen (bientôt), pour le stade Jean Brivot (dernier avatar du genre) et maintenant pour la Maison de la Culture finit par agacer. Et surtout par fragiliser les projets et coûter cher aux Berruyers. Faut-il, par complaisance ou au nom de la cohésion locale, ne pas le dénoncer ? Je ne le crois pas. Il ne s'agit pas de remettre en cause un projet. Mais bien d'interroger la gestion d'un projet. De quoi s'agit-il ? La Maison de la Culture est une vieille institution, emblématique de la culture à Bourges et même, emblématique d'une forme de "décentralisation culturelle" en France, voulue par André Malraux après guerre. Elle donne à Bourges une offre culturelle de qualité, qu'il faut évidemment défendre. Fallait-il rénover la Maison de la Culture ? Bien sûr. Nous, la gauche, avons même il y a quelques années considéré qu'il en était bien temps : des morceaux de plafond menaçaient de tomber sur les fauteuils du grand théâtre. Fallait-il oser reconstruire sur place ? Le pari était incontestablement risqué et difficile. Mais oui, je crois qu'il méritait d'être tenté, à la fois pour des raisons d'histoire et de patrimoine mais aussi pour des raisons d'urbanisme, sous réserve d'une évaluation précise des risques : garder la Maison de la Culture au coeur de la ville, oui, cela a du sens. La gauche a-t-elle soutenu ce projet ? Bien sûr : à la Région comme au Conseil Général, nous avons pris des engagements de co-financement. Plus, une perspective de révision du montant de ces subventions n'a pas été écartée au niveau départemental quand le coût du projet a commencé à grimper. J'ai personnellement plaidé dans le sens de cette ouverture. Les contraintes, incontestablement, sont multiples. On semble les découvrir jour après jour, année après année plutôt. Il faut plus de hauteur (était-ce la seule solution ?) pour conserver les deux salles de spectacle dans des conditions d'isolation phonique acceptable pour un fonctionnement conjoint, condition du maintien des aides de l'Etat au titre de "Scène Nationale" ; mais en-dessous, il y a des thermes ; et au-dessus, il y a la cathédrale, ou plus précisément la vue sur et de la cathédrale. Et enfin, la Maison n'a pas de fondations et ne doit pas être chatouillée de trop près ! L'évaluation a-t-elle été bien faite ? Le projet bien piloté ? Le doute s'installe. Depuis le lancement de la réflexion, des ajustements successifs ont été nécessaires, décrits d'ailleurs par le Maire lui-même ce soir : les deux salles en fonctionnement conjoint ? Pas prévu au départ. + plusieurs mois pour refaire les études, négocier dans un dialogue à l'époque très tendu ce qu'il fallait ou non conserver et + 4 millions d'euros. Puis le Maire a découvert qu'il était nécessaire de réviser le Plan Local d'Urbanisme pour gagner les quelques mètres nécessaires en toiture. + quelques mois. Nous, à gauche, solidaires sinon complaisants, avons partagé la très grande discrétion du Maire à cette époque pour éviter d'éventuels recours et fragiliser le projet. Puis on prend en compte l'absence de fondations de la Maison et les problèmes techniques que cela pose ; + 3 millions d'euros : ceux-là, prévisibles sans doute plus tôt, auraient peut-être dû alerter sérieusement sur la suite du projet. Puis on s'étonne que des fouilles supplémentaires soient prescrites alors que des vestiges de thermes sont présents. + de nouveaux délais et de nouveaux coûts, d'autant plus élevés que des engagements ont été pris en aveugle vis-à-vis des entreprises et qu'il faut donc se dédire, au moins sur le calendrier. Ce soir, Lepeltier présentait une facture de 4,6 millions d'euros (pour les 5 millions annoncés au Berruyers ...). Le Conseil Municipal a glissé vers un procès contre la loi sur les fouilles. Avec la droite, je veux bien en débattre ! La loi a été définie par la droite (qui a choisit de faire payer les "maîtres d'ouvrage" c'est à dire ceux qui portent les projets, souvent les communes ou départements) puis à nouveau durcie par la droite. Les élus de la majorité de droite municipale auraient pu s'en émouvoir avant ! On n'était pas loin d'une forme de populisme peu ragoûtant, consistant à dénigrer par avance toute fouille, au prétexte que l'on "fouillerait les anciennes salles de bains". On peut voir ça comme ça. Je ne me prononcerai pas à la place des spécialistes sur l'intérêt de telle ou telle fouille. En revanche, en ce qui me concerne, je crois normal que l'on respecte la loi même si j'entends bien que l'application de la loi appelle toujours un certain "discernement". Et la suite : bien sûr, il faut espérer le bon aboutissement final du projet. Bourges a absolument besoin de sa Maison de la Culture. Un bon aboutissement, c'est pas trop de mosaïques sous la Maison ou qu'on renonce à les conserver. Pas "d'extrémisme" sur les fouilles, d'accord. Un nouveau pari. Que reprochez-vous, en somme, à la Mairie, me demandait-on en fin de Conseil ? Un pilotage à vue sur ce projet comme sur d'autres, une certaine arrogance dont l'auteur pense qu'elle lui permettrait toutes les approximations, des risques d'engagements financiers considérables et de fragilisation à terme des équipements culturels sur Bourges. Presque rien, finalement ... La suite
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	Le Blog de Pascal Blanc
Faisant partie de ce qu'on appelle couramment " la classe moyenne ", le projet de réforme sur l'impôt sur les revenus me fait penser que l'idée que je me faisais jusqu'à présent de ces prélèvements sur les revenus du travail est en train de changer. Je vais même finir par culpabiliser de gagner " autant " d'argent ! Tel que le système existait depuis de très nombreuses années, le montant de l'impôt était proportionnel au niveau de vie. En fait, sans démagogie, je me réjouissais de payer autant d'impôts. C'était la traduction d'un confort de vie très acceptable et obtenu honnêtement. S'il est bien naturel que, dans ces périodes difficiles, les efforts collectifs sont indispensables et qu'il faille faire preuve de solidarité, j'ai beaucoup de mal à admettre une augmentation des taxes sur le travail. J'estime que les revenus sont très souvent le fruit d'un investissement personnel important, commencé dès le plus jeune âge. La réussite professionnelle est due au travail accompli et à la reconnaissance de celui-ci par les employeurs. Mais doit-on avoir honte de ce que l'on gagne ? Doit-on être pénalisé pour son goût du travail et pour sa persévérance? Dans ces conditions, l'impôt sur les revenus devient injuste. " Travaille bien à l'école mon fils. Tu auras un bon métier ". Cet argument tient-il encore ? Sur environ 35 millions de foyers fiscaux, seuls 19 millions sont imposables. Les 30 %, les plus démunis, composent les catégories "modestes". Les 20 %, les plus riches, composent les catégories "aisées". Les classes moyennes, elles, forment 50 % de la population. C'est donc mécaniquement sur elles que doit augmenter la charge fiscale. La conséquence immédiate est que la " classe moyenne " consommera moins, la " classe modeste "ne consommera pas plus. Quant à " la classe aisée ", elle ne consommera ni plus ni moins. Donc globalement, la consommation sera moindres ce qui pénalisera le commerce et les industries françaises. En termes de justice fiscale, je suis d'une part pour la taxation sur le capital tout en plafonnant celle-ci afin de maintenir de l'actionnariat privé dans les sociétés françaises. D'autre part, je suis pour une hausse de la T.V.A. sur certains produits et pour une baisse de celle-ci pour d'autres. Une hausse de la T.V.A. pour les produits de luxe et pour les voitures puissantes par exemple. Une baisse de la T.V.A. voire même une T.V.A. nulle pour les produits de première nécessité : le pain, le lait, les œufs, l'eau, etc. En termes de fiscalité, il n'y a pas les " bons " d'un côté et " les méchants " de l'autre. Les plus aisés ne sont pas forcément tous malhonnêtes. L'impôt doit être juste. Il n'y a pas de justice sociale sans justice fiscale La suite
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	Le Blog de Yann Galut
Communiqué de presse - Pour une école en phase avec son territoire J'ai obtenu de Mme le Recteur le lancement d'un observatoire de l'Éducation nationale dans le Cher dès la rentrée 2012. Au même titre que de nombreux parents d'élèves et des professionnels de l'éducation, j'ai depuis longtemps dénoncé les suppressions de classes pratiquées de manière aveugle par le gouvernement UMP ces dernières années. Cette politique purement comptable a fragilisé bien des zones du département du Cher en niant les particularités locales. C'est cette idée qui m'a conduit à solliciter le Recteur le 9 juillet dernier pour dresser l'état des lieux de l'École dans le Cher. Vous trouverez ci-après les termes de mon communiqué de presse. C'est dans le cadre d'une rencontre-débat que j'ai dialogué vendredi soir une vingtaine de représentants du Centre des Jeunes Dirigeants (CJD) d'entreprises du Cher. Le CJD Bourges est un mouvement de jeunes dirigeants, représentatifs du tissu économique : ensemble ils contribuent à réfléchir au développement de l'économie locale. Après une présentation de la fonction de député - son rôle, ses liens avec le pouvoir économique - nous avons échangé pendant plus de 2 heures sur des thèmes qu'ils avaient choisi : le problème de l'attractivité et de désenclavement du territoire, les forces et faiblesses du territoire, et l'entreprenariat source d'emplois. C'est avec beaucoup d'intérêt que j'ai écouté nos entrepreneurs partager leurs problématiques et leurs aspirations. J'ai pu ainsi exposer les grands principes et les actions qui guidaient le gouvernement dans le redressement de la France et la relance de la compétitivité. A l'évidence l'esprit d'initiative, les idées et les ambitions sont là. Mais ce que j'ai trouvé particulièrement positif c'est leur esprit coopératif. C'est une force sur laquelle il faudra nous appuyer dans les mois qui viennent pour penser le développement de Bourges et du Cher. la suite
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2012	Le Blog de Yannick Bedin
Municipales 2014 Une élection chasse l'autre. A peine la longue période électorale de 2012 terminée, voilà qu'on voit surgir des interrogations et des positionnements concernant les élections municipales de 2014 à Bourges. Il est vrai que l'ère Lepeltier semble longue à beaucoup de Berruyers et il est légitime que nombre d'entre eux s'impatientent. La ville s'endort dans un contexte morose, avec aux commandes un maire absent. Pour ma part, convaincu que la gauche peut gagner en 2014 dans cette ville, je m'en tiendrais à quelques principes : tirer les enseignements de notre défaite en 2008 et ne pas recommencer les erreurs commises, faire vivre le rassemblement de tous ceux qui veulent changer dans cette ville, en tenant compte des rapports de forces politiques (je rappelle que le Front de gauche aux législatives est arrivé en troisième position à Bourges) mais aussi en ouvrant en grand les portes de l'union, travailler à un projet de ville qui donne envie aux Berruyers de changer de maire, d'équipe et de politique ce qui passe aussi par le renouvellement nécessaire, Nous avons quelques mois pour mettre en place et faire vivre ces principes sans lesquels, il est certain que la gauche perdra encore.
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2012	Le Blog de Roland Narboux
Retour a Bourges sur le blog après un été a écrire sur le national. Un Berruyer qui a quitté notre ville fin juin et revient au bout de 3 mois, que constate-t-il ? - Il a raté le festival Un été a Bourges qui dure tous les soirs de l'été, c'est gratuit et pourtant de grande qualité. Le spectacle "breton" a ravi le très nombreux public samedi dernier. - Il découvre que le centre commercial Avaricum est toujours au même point, et on lui susurre qu'il faut attendre encore un mois pour savoir si il se fera ou pas.... - Il tombe sur le c.. en apprenant que les travaux de la Maison de la Culture sont stoppés au moins pour deux ans, et que la future maison a du plomb Dans l'aile sur cet emplacement. Et la cause c'est l'archéologie... Et la notre Berruyer n'y comprend plus rien. - il apprend en lisant le Berry que le TGV est toujours dans l'actualité, mais il ne prend pas d'avance, en juin 2013, on s'en reparle, et si c'est toujours oui, alors deux ou trois ans d'études sur le faisceau de 100 km de large, avant 6 ou 7 ans pour que ce faisceau passe a 1 ou 2 km de large, et le coût du projet reste de 13 milliards d'euros. - enfin sur le plan politique, il lit le blog de Mme Irene Félix qui se présente aux municipales de 2014 a Bourges... Prenant de vitesse Yann Galut et le front de gauche local. - et puis circulant dans la ville, il voit des travaux "partout" comme il l'entend dire, Haegelen, Route de Dun, avenue de St Amand, ...... Etc . - Et il se rappelle avoir beaucoup entendu parler des filles de Bourges aux JO de Londres, qui sont devenues célèbres en quelques beaux matchs. a suivre
blog de roland narboux

2012	Le Blog de Philippe Bensac
DE LA MONNAIE DE SINGE AU MARCHE DE DUPES La banque publique d'investissement du Président normal a été érigée hier soir en arme fatale et absolue pour endiguer la crise. Pourtant, le début du quinquennat s'est caractérisé par une offensive contre l'entreprise et l'investissement privé sans précédent depuis les années noires du Mitterrandisme (1981-1984). Alors qu'en est-il ? Qui dit banque publique sous-tend fonds publics. Or, il n'y en a plus à cause de notre dette record. Il est clair, par conséquent, que ces fonds publics seront constitués de monnaie de singe car puisés dans le déficit budgétaire annuel. Il sera donc particulièrement intéressant de vérifier comment et combien l'Etat français louera cet argent virtuel aux entrepreneurs et autres créateurs d'entreprises. Pour ma part, je verrai d'un très mauvais oeil la pratique d'un taux du loyer de l'argent excédent l'inflation. La monnaie de singe en constitue, de fait, le facteur essentiel (hors pénurie bien sûr puisque nous sommes pratiquement en phase de décroissance économique). Quant aux conditions des prêts de cette monnaie de singe aux entreprises et investisseurs, je considère qu'il serait totalement malvenu de demander des garanties personnelles ou réelles en contrepartie du risque de non remboursement. Au final, je demande à Monsieur HOLLANDE de surveiller de très près son Ministre MOSCOVICI ainsi que son conseiller banquier PIGASSE pour que la monnaie de singe qui va être injectée dans l'entreprise France par cette "banque publique d'investissement - BPI" ne se transforme en marché de dupes, pour ne pas dire en foire aux cons. la suite :
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