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HEBDO PLUS,

MANQUE D'EAU A BOURGES

De l'eau ! après un mois d'avril catastrophique à Bourges, il est inévitable que les arrêtés préfectoraux vont tomber.
Les 6 millimètres de pluie de lundi en 8 ne seront pas suffisants, et seul espoir la pluie de mai.
Et cette pluie de mai, même si il y a quelques orages, c'est négligeable.

Pour la station météo de Bourges, pour se remettre au bon niveau, il faudrait plus de 2 mois de pluie !
Le déficit depuis le début de l'année est de 50% en moins d'eau , la situation des agriculteurs est catastrophique.

La conséquence, ce sont des rivières qui sont au plus bas, et dans certains cas, l'eau ne coule plus, comme le montre cette photo prise la semaine dernière du côté de l'Auron à Bourges et les déchets en tout genre stagnent dans une eau de plus en plus nauséabonde.

LABEL LOGEMENTS ETUDIANTS A BOURGES

Le label étudiant est mis en place, c'est une décision du Bourges Plus.
Il s'agit d'une sorte de classification qui permet de reconnaître la qualité des logements étudiants pour "une meilleure lisibilité sur le marché de la location étudiante".
Ainsi, il faut répondre aux besoins des étudiants et être transparents au niveau du confort et de la qualité de ces logements.
Il y a 4 critères qui vont aider l'étudiant dans son choix. le coût du loyer, les charges, la qualité du logement et la proximité par rapport au lieu d'études.
Ainsi cela permettra de "normaliser" ces logements et d'éviter les "marchands de sommeil", même si Bourges n'est pas Paris.

CENTRE DE TRAITEMENT DE BOURGES

Visite des élus de l'agglo Bourges plus et du développement de l'usine de compostage de Bourges située route des 4 vents.
Très instructif, avec deux conclusions :
- le taux de refus est de 52%, ce qui n'est pas très bon, mais les autres villes ne font pas mieux.
Il faudra dans le futur, et avant 2015 une modification significative des installations avec des tubes BRS pour retrouver les normes de compost actuelles imposées..

LES FACADES DE BOURGES

Bourges de plus en plus belle, avec les façades qui sont réhabilitées comme place Mirepied avec la réfection "à l'ancienne" d'une belle maison, dans ce quartier Saint Sulpice où vécu Jacques Coeur et plus tard, les Chevaliers de la Table Ronde dont Jean de Cucharmoy.

POLITIQUE A BOURGES

L'Europe ne fait pas recette à gauche, pas de leader à cette manifestation traditionnelle du 9 mai dernier.sur l'Europe.

Le temps des commémorations, avec le 8 mai (1945), le 9 mai (1952) et le 10 mai (1981).

Souvenirs des responsables du PS d'aujourd'hui au sujet de l'anniversaire du 10 mai 1981.

Pour Irène Félix :
Le PS, pour mes 18 ans, c'était un parti trop "rangé", et Mitterrand me paraissait si vieux !

Pour Yann Galut :
J'avais 15 ans et j'étais en 3ème au Collège Jean Renoir. À l'époque, j'avais rassemblé deux autres amis pour contrer la campagne des Jeunes Giscardiens qui étaient très actifs pour mettre des autocollants sur les tables du Collège et sur tous les lampadaires alentours.

Pour Yannick Bedin :
J'avais 10 ans le 10 mai 1981 et je me souviens des discussions dans la cour de l'école de Pignoux où j'effectuais mon CM2. Par bribes bien sûr, mais j'ai en mémoire quelques prises de bec entre élèves. Nous reproduisions sans doute les opinions dominantes dans nos familles respectives. La mienne fondait, comme beaucoup, de grands espoirs dans la victoire de la gauche.

Hassen Chebili, le retour :
"De retour de Tunisie, je retrouve Bourges et la France avec beaucoup d'images et de souvenirs, des rencontres riches et sincères avec les Tunisiens. Je n'ai pas visité la même Tunisie que Madame Alliot-Marie, je vous rassure. Descendant de mon confort occidental, je comprends mieux les migrants tunisiens entre la France et l'Italie"

SUR LES PAS DE JACQUES COEUR A BOURGES

Une visite guidée sur les pas de Jacques Coeur (avec OVS) se déroulera le samedi 14 mai 2011. Cela va permettre de parcourir la cité sur tous les lieux où vécu Jacques Coeur et sa famille, avec des explications à caractère historique de Roland Narboux.
Les Amis de Jacques Coeur en costume du XV ème siècle seront présents, et chacun pourra prendre des photos de scènes proches de celles du XV ème siècle.
Rendez-vous à 17 H devant la fresque de l'avenue Jean Jaurès, et c'est gratuit.
Durée 1 h 30.

BOURSES DE BOURGES

24e bourse aux cartes postales, monnaies et autres collections
le 08/05/2011 - 2 € - Pavillon d'Auron - Société Numismatique et Cartophile du Berry.
On notera la présence de Jean Bernard Milliard qui présente un nouveau projet de DVD, avec le canal de Berry.
POUR CEUX QUI ONT RATE DES EPISODES DE LA SEMAINE DERNIERE

LE PRINTEMPS DE BOURGES

Il est terminé le Printemps de Bourges avec comme satisfaction, les spectacles complets et plus de 62 000 places (avec les cartes et invitations) donc, un bilan financier qui devrait s'équilibrer, car s'il y avait beaucoup d'artistes, il n'y avait pas de stars coûteuses....
Les 2 grands spectacles de samedi et dimanche soir (et nuit) qui étaient entre le Phénix et le Palais d'Auron étaient complets, avec beaucoup de groupes et beaucoup de monde.

Et puis des spectacles plus intimistes comme Yaél Naîm ou la découverte de Mélanie Laurent, fiorte de 18 films, elle se lance avec beaucoup de bonheur dans la chanson, et ce premier concert à Bourges fut plutôt réussie et la redécouverte de Florent Marchet bien connu à Lignières et désormais dans tout le pays. Un grand qui monte.

Florent Marchet

Rock and beat party

Premier soulèvement du Phénix avec la chanson "je veux" de Zaz qui enflamme les 6000 spectateurs de ce premier concert de mercredi soir.
Et la fin du Printemps, sur une scène gratuite avec M Pokora, le lundi après midi.

Mélanie Laurent

CONSEIL COMMUNAUTAIRE DE BOURGES

Réunion du Conseil communautaire de Bourges Plus, c'était vendredi soir et pour commencer, une bonne nouvelle, puisque pour le budget et nos impôts, il fut proposé et accepté de reconduire les taux de référence 2010, ce qui signifie que les impôts n'augmenteront pas pour 2011.

Une longue séance, et on peut noter quelques prises de becs entre Alain Tanton, épaulé par Serge Lepeltier face à Yvon Beuchon sur le sujet sensible des ordures ménagères et sur le "avant le GROCOCHOM, ça marchait mieux".

Autre sujet de polémique, mais plus feutrée, avec les remarques de Jean Pierre Saulnier sur l'Aéroport, et l'aviation économique avec lequel il est d'accord pour une délégation de service public et surtout il faut maintenir cet aéroport à Bourges, ce qui ne manquait pas de piquant lorsque l'on sait que depuis plus d'un an, le Conseil général de M Saulnier a supprimé les subventions d'équilibre à l'Aéroport, supporté désormais uniquement pas Bourges plus et la CCI.
Alain Tanton recevra l'Ordre National du Mérite samedi prochain dans les salons de la mairie de Bourges.

PRINTEMPS DE BOURGES : suite et fin.

Une semaine après la fin, le Printemps de Bourges, il ne reste plus beaucoup de traces de l'événement, le Phénix encore en place, mais pour le reste, des souvenirs et de bons souvenirs, comme ce concert avec Mélanie Laurent puis Florent Marchet.
Côté police, une édition plutôt bonne, et comme le déclarait Thierry Poisle, chargé de la sécurité à la Ville, quelques bagarres habituelles, entrant dans la tradition des spectacles de RAP, mais rien de grave.
Pour la police, la commissaire a considéré une situation bonne pour ce type de manifestation, avec toutefois, une inquiétude, mais pas propre au printemps sur l'alcoolisation des jeunes ... et des de plus en plus jeunes.

L'édition 2012 du Printemps de Bourges se déroulera du 24 au 29 avril, c'est à dire, si rien ne change ... entre les deux tours de l'élection présidentielle.
Et si le traditionnel débat d'entre les deux tours se déroulait au Phénix, ça c'est une idée.

Beaucoup de monde dans les rues ... tard dans la nuit.

LE PRINTEMPS DE BOURGES 2011

La 35e édition du Printemps de Bourges, s'est terminée ce lundi 25 avril par des concerts gratuits.
En chiffres, il y a eu 54 600 spectateurs payants et 7 900 invités, journalistes et professionnels.
En 2010, il y avait eu 59 400 billets (avec un Phénix de plus).
Daniel Colling, le directeur du Printemps de Bourges- Daniel Colling est satisfait.

Les moins de 25 ans sont venus en masse aux soirées rap du 21 et à la Rock & Beat Party du 23 (10 000 entrées).
Un budget en diminution (4, 8 millions en 2011 contre 5 millions d'euros en 2010),

Catherine Ringer

dans les bars.

La Fouine

la grande tente transparente entre Phénix et Palais d'Auron pour le samedi et le dimanche soir, 10 000 personnes à chaque fois.

Lundi : et des scènes ouvertes gratuites qui vont clore le Printemps.

www.printemps-bourges.com
Le Printemps commence en fait le 20 avril, dans 2 semaines.
en savoir plus >>>cliquer

LES BONOBOS A BOURGES

Samedi dernier, la grande salle du CGR de Bourges, a fait le plein à l'invitation du maire Serge Lepeltier. C'était la projection du film "Bonobos" en présence d'Alain Tixier réalisateur qui est très connu à Bourges, où il est né le 1er mars 1948 et il vient régulièrement au FIFE.
Un film magnifique, tendre et comportant une belle histoire, avec des qualités d'images comme on en voit rarement.
A l'issue de la projection, de nombreuses questions furent posées à Alain Tixier sur ces vedettes que furent les Bonobos et sur Camille André qui joue parfaitement son rôle.
Rechercher dans Bourges-info un sujet donné :

PAGE 3 : LES BLOGS POLITIQUES DE BOURGES
2011
Le Blog de Serge Lepeltier

Une expo photo à découvrir !
10 mai 2011 Samedi dernier, j’ai inauguré une expo photo qui retrace l’évolution de la Ville de Bourges par le jeu du ‘’avant/après’’.
Cette évolution, ou plutôt cette transformation de notre cité, est due essentiellement au Plan de Renouvellement Urbain (PRU), l’un des plus importants de France.
Pour monter cette exposition, nous avons recueilli les témoignages de 25 propriétaires, locataires, riverains ou usagers, tous représentatifs de la vie berruyère.
Pour être au plus de près de vous, nous avons installé cette exposition dans cinq quartiers différents : Chancellerie, Gare, Gibjoncs, Val d’Auron, Aéroport.
De plus, vous pouvez retrouver la totalité de l’exposition à côté de la Mairie, sur les grilles du Jardin de l’Archevêché, rue des Hémerettes.
Ces témoignages nous montrent à quel point le PRU de Bourges est largement encourageant tant en termes de qualité de vie pour les habitants qu’en termes d’équipements et d’esthétique pour notre ville.
Et je vous invite vraiment à venir découvrir ces photos.
La suite :

http://www.sergelepeltier.fr/

Le Blog d'Irène Félix

Nous fêterons, mardi, les trente ans du 10 mai. Alors, pour une fois, permettez-moi un petit retour en arrière, avec l'envie de vous raconter "mon 10 mai".
J'avais 18 ans et je votais pour la première fois. Ou plus précisément, c'est 15 jours avant que, pour la première fois, j'avais mis un bulletin dans l'urne. Il était au nom d'Huguette Bouchardeau, représentante du PSU, un parti de ce qu'on n'appelait pas encore la "gauche alternative" mais qui avait un peu de cela. Le PS, pour mes 18 ans, c'était un parti trop "rangé", et Mitterrand me paraissait si vieux ! C'était cependant sans hésitation que j'avais voté pour lui au second tour et avec conviction que je partageais la joie de la victoire.
Je n'ai pas vu les fameuses images du 20 h à la télé : j'habitais en banlieue parisienne, les bureaux fermaient à 20 h et, jeune électrice, j'avais été sollicitée pour le dépouillement, dans un bureau de vote assez franchement ancré à droite. Nous n'avions pas commencé le dépouillement que la nouvelle a fait le tour du bureau, semant la consternation chez les uns, une jubilation discrète chez les autres.
Pas question de faire la fête sur place : ce n'était pas vraiment la tendance ! La suite s'est passée à la maison, devant une télé qui était pourtant rarement allumée. Je revois mon père, un homme d'habitude plein de retenue et de pudeur, sortant, rayonnant, cueillir une rose. Ma mère ne tenait plus en place, rêvait d'aller à la Bastille ... ce qu'elle ne fit finalement pas.
Ce sont mes soeurs (19 et 14 ans) qui ont organisé la suite, pour aller quelques jours plus tard au Panthéon. Je préparais des concours et elles avaient prévu d'y aller sans moi, ce que j'ai jugé proche de la haute trahison. Je dois probablement à Mitterrand ma note médiocre à l'oral de géologie qui suivi, vaguement révisé dans le train de banlieue qui nous emmenait à Paris. Nous lui devons aussi une douche mémorable en ce jour de mai, au quartier latin. La foule, chaleureuse et fraternelle, parmi laquelle on ne voyait absolument rien, testait des réflecteurs à miroir multicolores pour capter (sans grand succès) les images au-dessus de la tête des autres. Nous avons fini au-dessus, d'un balcon "ami" (nous n'en étions pas si sûres quand nous gravissions les marches, mais qui ne tente rien ...) où nous avons enfin pu voir quelque chose ... et nous mettre au sec !
Les années Mitterrand ont été pour mon père une conquête : celle de la retraite à 60 ans. Il n'exerçait certes pas un métier que l'on classe parmi les métiers pénibles, mais il avait cumulé plus de 40 ans de cotisations à ses 60 ans et jugeait que c'était largement assez. Avoir vu mes parents, passionnés pourtant de leur travail, s'épanouir à nouveau à cet âge que l'on appelle la retraite, c'est à mon sens une des plus belles conquêtes sociales de la gauche. Elle nous est volée. Je ne renonce pas à ce que les choses soient justement corrigées.
Il nous faut d'autres 10 mai. L'an prochain.
a suite

http://irenefelix.blogspirit.com/

Le Blog de Yann Galut

Pour toute une génération, le 10 mai 1981 restera gravé dans les mémoires.
Le mien marquait l'aboutissement de ma première campagne présidentielle.
J'avais 15 ans et j'étais en 3ème au Collège Jean Renoir. À l'époque, j'avais rassemblé deux autres amis pour contrer la campagne des Jeunes Giscardiens qui étaient très actifs pour mettre des autocollants sur les tables du Collège et sur tous les lampadaires alentours.
Ils se réunissaient dans un Café à côté du monument de la résistance et recevaient le renfort du Collège et du lycée privé qui se trouvent à quelques encablures. J'avais demandé, par l'intermédiaire de mon Père, à avoir des tracts et c'était Bernard Gourdon qui nous les avait obtenus... tous les soirs, nous sortions pour arracher les autocollants giscardiens et écrire sur les affiches adverses "Mitterrand Président"...
Quelques semaines avant le 1er tour ( je ne me rappelle plus la date exacte), j'ai assisté à un grand meeting, Place Séraucourt, à Bourges, en présence de François Mitterrand... j'ai le souvenir qu'étant installé sur une chaise bordant l'allée, il est passé à quelques centimetres de moi dans une cohue indescriptible...
C'est Jean Rousseau qui avait fait le discours d'ouverture et je me rappelle mon désarroi d'avoir dû quitter le meeting après quelques minutes de discours car je devais rentrer impérativement à une certaine heure qui était dépassée...
Puis, le 10 Mai 1981 est arrivé. Toute la journée, nous étions angoissés avec mes parents. Avant 20h, ma mère s'est enfermée dans la cuisine et je suis resté avec mon père seul devant la télé... pour voir à 20h apparaître une image qui sera gravée à jamais dans ma mémoire. Des petits carrés se rejoignant pour former le visage de François Mitterrand !
Entendant nos hurlements de joie ma mère est sortie de la cuisine avec une casserole à la main est venue dans le salon, vers nous qui sautions en l'air... nous a tourné le dos, a ouvert la porte de l'appartement avant de... jeter la casserole dans l'escalier !!!
.la suite

http://www.yann-galut.com/

Le Blog de Yannick Bedin

10 mai : quand la gauche essayait*...
J'avais 10 ans le 10 mai 1981 et je me souviens des discussions dans la cour de l'école de Pignoux où j'effectuais mon CM2. Par bribes bien sûr, mais j'ai en mémoire quelques prises de bec entre élèves. Nous reproduisions sans doute les opinions dominantes dans nos familles respectives. La mienne fondait, comme beaucoup, de grands espoirs dans la victoire de la gauche. Et le 10 mai 1981, fut un grand moment de joie.
Des grandes réformes sociales et politiques, on ne retiendra que celles qui ponctuèrent les trois premières années du mandat de Mitterrand, celles où les ministres communistes siégeaient au gouvernement : retraite à 60 ans, 5ème semaine de congés payés, hausse des salaires, abolition de la peine de mort... La suite est connue. La rigueur, l'austérité et finalement l'application docile des dogmes libéraux, qui de Reagan aux Etats-Unis à Thatcher au Royaume-Uni, posaient les fondements de la politique suivie par les gouvernements européens d'aujourd'hui. En aucune manière, la victoire de la gauche le 10 mai 1981 et l'espoir qu'elle suscita ne résument les quatorze années de présidence Mitterrand qui suivirent. La faute du PS en 1983-84 aura été d'appliquer la purge libérale et de se coucher devant les marchés financiers. Rétrospectivement, on mesure combien nous devons à cette époque les grandes désillusions et le recul idéologique qui s'ensuivirent.
Je n'ai aucune nostalgie des années 80 parce qu'elles sont celles de la contre-révolution libérale. La France n'a pas fait exception et je renvoie au très bon livre de François Cusset : La Décennie.
Je suis de ceux qui à gauche, pensent qu'une autre voie est possible que celle qui consiste à accompagner le capitalisme. Il est urgent de préparer l'alternative en rassemblant la gauche autour d''un projet qui affronte les marchés financiers.
.......................la suite

ttp://www.yannick-bedin.org/
Le Blog de Roland Narboux

En écoutant la radio, en regardant les infos, j'ai été surpris du battage sur le football, sur les quotas, sur les blancs, les métis et les noirs, bref sur des sujets qui pourraient être importants mais qui sont instrumentalisés, ne sommes-nous pas en période électorale ?
Sur le football, je ne suis pas un spécialiste, je suis resté à l'équipe de Saint Etienne, pas celle de Rocheteau, mais avant, la première équipe des Verts, avec je m'en souviens, car mon père m'y emmenait parfois voir des matchs, c'était au stade Geoffroy Guichard dans la tribune Henri Point, et là, les joueurs s'appelaient Rachid Méckloufi, un algérien d'une Algérie alors française, et puis Rysjvers, un petit hollandais, mais aussi au centre de l'attaque Eugène N'Djo Léa de "notre" Afrique noire, et puis les frères Tylinsky qui étaient arrivés de Pologne avec leurs parents , Claude Abbes était dans les buts et puis Peyroche et quelques autres. Une équipe qui jouait au football, sans se focaliser sur la couleur des joueurs, sur leur religion ou sur leur origine.
On était plus simple à l'époque, c'était moins médiatisé, et pour former une équipe, on cherchait à prendre les meilleurs, sans calcul et sans arrière pensée malsaine comme c'est le cas aujourd'hui.
Il faut trouver les meilleurs pour jouer au football où chez nous à Bourges pour le basket de haut niveau.
Les filles de Bourges forment une équipe, et elles viennent d'un peu partout, et lorsqu'une joueuse marque trois points, le Prado explose et cela quelque soit la joueuse, la couleur de sa peau, son pays d'origine ou que sais-je encore.
Sur le même thème, "de mon temps" comme disent les anciens, on pouvait aussi dire ce que l'on voulait : aujourd'hui, en 2011, quoiqu'en disent certaines bonnes âmes, un Coluche ou un Desproges ne pourraient plus dire ce qu'ils disaient sur les noirs, les juifs, les arabes, les homos, ils auraient un procès dans le mois suivant... J'étais d'ailleurs plus outré de certains propos un peu orduriés de Coluche que par ce qu'il disait sur certaines communautés.
Il n'est pas simple de trouver les limites.
a suite :

://rolandnarboux.wordpress.com/

2011
Le Blog de Philippe Bensac

Fin de Ben Laden, une chance historique pour la démocratie arabe
En pleine révolution des peuples arabes opprimés, la fin de Ben Laden constitue une chance historique de voir naître enfin une démocratie pan-arabique et, par conséquent, un moyen de stopper la dérive sécuritaire de notre société européenne.
Ainsi, on assiste peut-être à la troisième ère de la renaissance arabe, la Nahda, qui s'est d'abord traduite par l'unité arabe du VIIe siècle sous la dynastie des Omeyyades, puis la deuxième fois au XIXe siècle sous l'égide d'Hussein ibn Ali (1856-1931) pour assurer la succession de l'Empire ottoman, au nom du nationalisme arabe.
La Nahda insiste sur l'unité de tous les Arabes et exalte la grandeur de l'héritage arabe musulman.
Ce mouvement remporte fréquemment les suffrages des élites, remplaçant peu à peu le sentiment d'appartenance à l'islam, ce qui n'est pas toujours le cas pour le peuple. Ce mouvement est théorisé aussi bien par des chrétiens que par des musulmans, ce qui lui donne une coloration laïque, en tout cas œcuménique et transcendant les religions. Après la Première Guerre mondiale, le sentiment nationaliste arabe est très fort, mais c'est néanmoins la division qui prévaut, division élaborée dans les Accords Sykes-Picot*.
L'année à venir sera déterminante, notamment dans l'accompagnement de l'émancipation des peuples tunisiens et égyptiens et par l'issue des révolutions Libyennes et Syriennes, le retrait progressif et ordonné des troupes occidentales d'Afghanistan, la stabilisation politique Irakienne, le traitement du cas Iranien, et la relance du processus de paix Israëlo-palestinien par la création d'un Etat-cités Palestinien.
Je nourris ainsi l'espoir que le scenario de mon précédent billet n'advienne pas, le fondement d'une guerre de religion/civilisation marqué d'une ligne de front(s) française disparaissant.
la suite :

http://philippebensac.vox.com

2011
Le Blog de Hassen Chebili

La ceinture sociale !
Dans quelle société, vivons-nous ? Le ministre Laurent Wauquiez veut faire une proposition de loi pour serrer la "ceinture sociale" des allocataires du RSA. Il veut instaurer un système obligeant les bénéficiaires du RSA à effectuer cinq heures de travail hebdomadaires, et pire encore, plafonner le cumul des minima sociaux ! Qu'il vienne sur le terrain social se rendre compte plus concrètement de la réalité des personnes dans la situation de chômage et de précarité.
Dans cette proposition qui en cache d'autres notamment en direction des étrangers, pour chasser sur les terres du Front National, le ministre se veut être un Docteur du système social en dénonçant "les dérives de l'Assistanat" comme "le cancer de la société française"... Quel culot, quand un bon nombre de personnalités politiques cumulent des fonctions et des indemnités sur le dos des contribuables. A un an des élections présidentielles, la politique est devenue un self-service électoral. Le menu et les programmes de ces élections s'annoncent populistes et poujadistes. J'espère au moins que la Confédération des Centristes comprendra qu'il est temps de quitter la tempête UMP !

La suite :

http://hassen.chebili.over-blog.com/

http://bourgesinfo.wordpress.com/
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2011	Le Blog de Serge Lepeltier
Une expo photo à découvrir ! 10 mai 2011 Samedi dernier, j’ai inauguré une expo photo qui retrace l’évolution de la Ville de Bourges par le jeu du ‘’avant/après’’. Cette évolution, ou plutôt cette transformation de notre cité, est due essentiellement au Plan de Renouvellement Urbain (PRU), l’un des plus importants de France. Pour monter cette exposition, nous avons recueilli les témoignages de 25 propriétaires, locataires, riverains ou usagers, tous représentatifs de la vie berruyère. Pour être au plus de près de vous, nous avons installé cette exposition dans cinq quartiers différents : Chancellerie, Gare, Gibjoncs, Val d’Auron, Aéroport. De plus, vous pouvez retrouver la totalité de l’exposition à côté de la Mairie, sur les grilles du Jardin de l’Archevêché, rue des Hémerettes. Ces témoignages nous montrent à quel point le PRU de Bourges est largement encourageant tant en termes de qualité de vie pour les habitants qu’en termes d’équipements et d’esthétique pour notre ville. Et je vous invite vraiment à venir découvrir ces photos. La suite :
http://www.sergelepeltier.fr/

	Le Blog d'Irène Félix
Nous fêterons, mardi, les trente ans du 10 mai. Alors, pour une fois, permettez-moi un petit retour en arrière, avec l'envie de vous raconter "mon 10 mai". J'avais 18 ans et je votais pour la première fois. Ou plus précisément, c'est 15 jours avant que, pour la première fois, j'avais mis un bulletin dans l'urne. Il était au nom d'Huguette Bouchardeau, représentante du PSU, un parti de ce qu'on n'appelait pas encore la "gauche alternative" mais qui avait un peu de cela. Le PS, pour mes 18 ans, c'était un parti trop "rangé", et Mitterrand me paraissait si vieux ! C'était cependant sans hésitation que j'avais voté pour lui au second tour et avec conviction que je partageais la joie de la victoire. Je n'ai pas vu les fameuses images du 20 h à la télé : j'habitais en banlieue parisienne, les bureaux fermaient à 20 h et, jeune électrice, j'avais été sollicitée pour le dépouillement, dans un bureau de vote assez franchement ancré à droite. Nous n'avions pas commencé le dépouillement que la nouvelle a fait le tour du bureau, semant la consternation chez les uns, une jubilation discrète chez les autres. Pas question de faire la fête sur place : ce n'était pas vraiment la tendance ! La suite s'est passée à la maison, devant une télé qui était pourtant rarement allumée. Je revois mon père, un homme d'habitude plein de retenue et de pudeur, sortant, rayonnant, cueillir une rose. Ma mère ne tenait plus en place, rêvait d'aller à la Bastille ... ce qu'elle ne fit finalement pas. Ce sont mes soeurs (19 et 14 ans) qui ont organisé la suite, pour aller quelques jours plus tard au Panthéon. Je préparais des concours et elles avaient prévu d'y aller sans moi, ce que j'ai jugé proche de la haute trahison. Je dois probablement à Mitterrand ma note médiocre à l'oral de géologie qui suivi, vaguement révisé dans le train de banlieue qui nous emmenait à Paris. Nous lui devons aussi une douche mémorable en ce jour de mai, au quartier latin. La foule, chaleureuse et fraternelle, parmi laquelle on ne voyait absolument rien, testait des réflecteurs à miroir multicolores pour capter (sans grand succès) les images au-dessus de la tête des autres. Nous avons fini au-dessus, d'un balcon "ami" (nous n'en étions pas si sûres quand nous gravissions les marches, mais qui ne tente rien ...) où nous avons enfin pu voir quelque chose ... et nous mettre au sec ! Les années Mitterrand ont été pour mon père une conquête : celle de la retraite à 60 ans. Il n'exerçait certes pas un métier que l'on classe parmi les métiers pénibles, mais il avait cumulé plus de 40 ans de cotisations à ses 60 ans et jugeait que c'était largement assez. Avoir vu mes parents, passionnés pourtant de leur travail, s'épanouir à nouveau à cet âge que l'on appelle la retraite, c'est à mon sens une des plus belles conquêtes sociales de la gauche. Elle nous est volée. Je ne renonce pas à ce que les choses soient justement corrigées. Il nous faut d'autres 10 mai. L'an prochain. a suite
http://irenefelix.blogspirit.com/

	Le Blog de Yann Galut
Pour toute une génération, le 10 mai 1981 restera gravé dans les mémoires. Le mien marquait l'aboutissement de ma première campagne présidentielle. J'avais 15 ans et j'étais en 3ème au Collège Jean Renoir. À l'époque, j'avais rassemblé deux autres amis pour contrer la campagne des Jeunes Giscardiens qui étaient très actifs pour mettre des autocollants sur les tables du Collège et sur tous les lampadaires alentours. Ils se réunissaient dans un Café à côté du monument de la résistance et recevaient le renfort du Collège et du lycée privé qui se trouvent à quelques encablures. J'avais demandé, par l'intermédiaire de mon Père, à avoir des tracts et c'était Bernard Gourdon qui nous les avait obtenus... tous les soirs, nous sortions pour arracher les autocollants giscardiens et écrire sur les affiches adverses "Mitterrand Président"... Quelques semaines avant le 1er tour ( je ne me rappelle plus la date exacte), j'ai assisté à un grand meeting, Place Séraucourt, à Bourges, en présence de François Mitterrand... j'ai le souvenir qu'étant installé sur une chaise bordant l'allée, il est passé à quelques centimetres de moi dans une cohue indescriptible... C'est Jean Rousseau qui avait fait le discours d'ouverture et je me rappelle mon désarroi d'avoir dû quitter le meeting après quelques minutes de discours car je devais rentrer impérativement à une certaine heure qui était dépassée... Puis, le 10 Mai 1981 est arrivé. Toute la journée, nous étions angoissés avec mes parents. Avant 20h, ma mère s'est enfermée dans la cuisine et je suis resté avec mon père seul devant la télé... pour voir à 20h apparaître une image qui sera gravée à jamais dans ma mémoire. Des petits carrés se rejoignant pour former le visage de François Mitterrand ! Entendant nos hurlements de joie ma mère est sortie de la cuisine avec une casserole à la main est venue dans le salon, vers nous qui sautions en l'air... nous a tourné le dos, a ouvert la porte de l'appartement avant de... jeter la casserole dans l'escalier !!! .la suite
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	Le Blog de Yannick Bedin
10 mai : quand la gauche essayait*... J'avais 10 ans le 10 mai 1981 et je me souviens des discussions dans la cour de l'école de Pignoux où j'effectuais mon CM2. Par bribes bien sûr, mais j'ai en mémoire quelques prises de bec entre élèves. Nous reproduisions sans doute les opinions dominantes dans nos familles respectives. La mienne fondait, comme beaucoup, de grands espoirs dans la victoire de la gauche. Et le 10 mai 1981, fut un grand moment de joie. Des grandes réformes sociales et politiques, on ne retiendra que celles qui ponctuèrent les trois premières années du mandat de Mitterrand, celles où les ministres communistes siégeaient au gouvernement : retraite à 60 ans, 5ème semaine de congés payés, hausse des salaires, abolition de la peine de mort... La suite est connue. La rigueur, l'austérité et finalement l'application docile des dogmes libéraux, qui de Reagan aux Etats-Unis à Thatcher au Royaume-Uni, posaient les fondements de la politique suivie par les gouvernements européens d'aujourd'hui. En aucune manière, la victoire de la gauche le 10 mai 1981 et l'espoir qu'elle suscita ne résument les quatorze années de présidence Mitterrand qui suivirent. La faute du PS en 1983-84 aura été d'appliquer la purge libérale et de se coucher devant les marchés financiers. Rétrospectivement, on mesure combien nous devons à cette époque les grandes désillusions et le recul idéologique qui s'ensuivirent. Je n'ai aucune nostalgie des années 80 parce qu'elles sont celles de la contre-révolution libérale. La France n'a pas fait exception et je renvoie au très bon livre de François Cusset : La Décennie. Je suis de ceux qui à gauche, pensent qu'une autre voie est possible que celle qui consiste à accompagner le capitalisme. Il est urgent de préparer l'alternative en rassemblant la gauche autour d''un projet qui affronte les marchés financiers. .......................la suite
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	Le Blog de Roland Narboux
En écoutant la radio, en regardant les infos, j'ai été surpris du battage sur le football, sur les quotas, sur les blancs, les métis et les noirs, bref sur des sujets qui pourraient être importants mais qui sont instrumentalisés, ne sommes-nous pas en période électorale ? Sur le football, je ne suis pas un spécialiste, je suis resté à l'équipe de Saint Etienne, pas celle de Rocheteau, mais avant, la première équipe des Verts, avec je m'en souviens, car mon père m'y emmenait parfois voir des matchs, c'était au stade Geoffroy Guichard dans la tribune Henri Point, et là, les joueurs s'appelaient Rachid Méckloufi, un algérien d'une Algérie alors française, et puis Rysjvers, un petit hollandais, mais aussi au centre de l'attaque Eugène N'Djo Léa de "notre" Afrique noire, et puis les frères Tylinsky qui étaient arrivés de Pologne avec leurs parents , Claude Abbes était dans les buts et puis Peyroche et quelques autres. Une équipe qui jouait au football, sans se focaliser sur la couleur des joueurs, sur leur religion ou sur leur origine. On était plus simple à l'époque, c'était moins médiatisé, et pour former une équipe, on cherchait à prendre les meilleurs, sans calcul et sans arrière pensée malsaine comme c'est le cas aujourd'hui. Il faut trouver les meilleurs pour jouer au football où chez nous à Bourges pour le basket de haut niveau. Les filles de Bourges forment une équipe, et elles viennent d'un peu partout, et lorsqu'une joueuse marque trois points, le Prado explose et cela quelque soit la joueuse, la couleur de sa peau, son pays d'origine ou que sais-je encore. Sur le même thème, "de mon temps" comme disent les anciens, on pouvait aussi dire ce que l'on voulait : aujourd'hui, en 2011, quoiqu'en disent certaines bonnes âmes, un Coluche ou un Desproges ne pourraient plus dire ce qu'ils disaient sur les noirs, les juifs, les arabes, les homos, ils auraient un procès dans le mois suivant... J'étais d'ailleurs plus outré de certains propos un peu orduriés de Coluche que par ce qu'il disait sur certaines communautés. Il n'est pas simple de trouver les limites. a suite :
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2011	Le Blog de Philippe Bensac
Fin de Ben Laden, une chance historique pour la démocratie arabe En pleine révolution des peuples arabes opprimés, la fin de Ben Laden constitue une chance historique de voir naître enfin une démocratie pan-arabique et, par conséquent, un moyen de stopper la dérive sécuritaire de notre société européenne. Ainsi, on assiste peut-être à la troisième ère de la renaissance arabe, la Nahda, qui s'est d'abord traduite par l'unité arabe du VIIe siècle sous la dynastie des Omeyyades, puis la deuxième fois au XIXe siècle sous l'égide d'Hussein ibn Ali (1856-1931) pour assurer la succession de l'Empire ottoman, au nom du nationalisme arabe. La Nahda insiste sur l'unité de tous les Arabes et exalte la grandeur de l'héritage arabe musulman. Ce mouvement remporte fréquemment les suffrages des élites, remplaçant peu à peu le sentiment d'appartenance à l'islam, ce qui n'est pas toujours le cas pour le peuple. Ce mouvement est théorisé aussi bien par des chrétiens que par des musulmans, ce qui lui donne une coloration laïque, en tout cas œcuménique et transcendant les religions. Après la Première Guerre mondiale, le sentiment nationaliste arabe est très fort, mais c'est néanmoins la division qui prévaut, division élaborée dans les Accords Sykes-Picot*. L'année à venir sera déterminante, notamment dans l'accompagnement de l'émancipation des peuples tunisiens et égyptiens et par l'issue des révolutions Libyennes et Syriennes, le retrait progressif et ordonné des troupes occidentales d'Afghanistan, la stabilisation politique Irakienne, le traitement du cas Iranien, et la relance du processus de paix Israëlo-palestinien par la création d'un Etat-cités Palestinien. Je nourris ainsi l'espoir que le scenario de mon précédent billet n'advienne pas, le fondement d'une guerre de religion/civilisation marqué d'une ligne de front(s) française disparaissant. la suite :
http://philippebensac.vox.com

2011	Le Blog de Hassen Chebili
La ceinture sociale ! Dans quelle société, vivons-nous ? Le ministre Laurent Wauquiez veut faire une proposition de loi pour serrer la "ceinture sociale" des allocataires du RSA. Il veut instaurer un système obligeant les bénéficiaires du RSA à effectuer cinq heures de travail hebdomadaires, et pire encore, plafonner le cumul des minima sociaux ! Qu'il vienne sur le terrain social se rendre compte plus concrètement de la réalité des personnes dans la situation de chômage et de précarité. Dans cette proposition qui en cache d'autres notamment en direction des étrangers, pour chasser sur les terres du Front National, le ministre se veut être un Docteur du système social en dénonçant "les dérives de l'Assistanat" comme "le cancer de la société française"... Quel culot, quand un bon nombre de personnalités politiques cumulent des fonctions et des indemnités sur le dos des contribuables. A un an des élections présidentielles, la politique est devenue un self-service électoral. Le menu et les programmes de ces élections s'annoncent populistes et poujadistes. J'espère au moins que la Confédération des Centristes comprendra qu'il est temps de quitter la tempête UMP ! La suite :
http://hassen.chebili.over-blog.com/