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HEBDO PLUS,

NUITS LUMIERE DE BOURGES

Tous les jeudis, vendredis et samedis
Dès la tombée de la nuit ce sont cette année encore Les Nuits Lumière de Bourges, le départ c'est Rue des Hémerettes.
Et c'est gratuit.

Daniel Colling et Serge Lepeltier

LES POLITIQUES DE BOURGES

La droite a Bourges poursuit les "négociations " pour savoir qui sera la tête de liste et l'orientation va vers un UDI, comme l'est le maire actuel.
Et il y a sur la ligne 2 UDI, AlainTtanton et Pascal Blanc et une UMP, Véronique Fénoll.

Pour l'instant, Alain Tanton disposerait d'une avance due à sa légitimité comme premier adjoint, alors que Pascal Blanc serait "le nouveau, ou le sang neuf".
Irène Félix de plus en plus seule sur les grands sujets qui concernent Bourges, et la prise de distance de Jean Michel Guérineau, vis à vis de la Maison de la Culture est un nouveau signe. M. Guérineau a une véritable vision de la ville, que ce soit sur le sport ou sur la culture, ce que la leader du PS ne semble pas avoir.
Sur le projet de la Maison de la Culture, le silence de Jean Pierre Saulnier est préoccupant, suit-il "sa chef" Irène Félix ou, en vieux briscard de la politique locale, il attend pour voir ? Nul ne le sait encore.
Philippe Gitton, comme a son habitude est montée au front pour défendre la Maison de la Culture, dont, le projet était quelque peu malmené par l'opposition d'Irène Félix.

CONSEIL MUNICIPAL DE BOURGES

Conseil municipal ce lundi, avec a l'ordre du jour des délibérations qui ne sont pas fondamentale., mais cela a permis de faire le point sur les rythmes scolaires de Bourges et sur le livre blanc de la Défense.
- les travaux avenue de Lattre de Tassigny.
- des tarifs au centre nautique.
- une servitude a Manoir Industrie.
- Les tarifs des Centres de loisirs.
- Les tarifs au Conservatoire de Musique et de danse.
- des subventions aux associations de maraîchers.
Nous reviendrons sur ces sujets la semaine prochaine.
POUR CEUX QUI ONT RATE DES EPISODES DE LA SEMAINE DERNIERE
SPECIAL PRINTEMPS DE BOURGES

LA FOULE AU PRINTEMPS DE BOURGES

Le Printemps,de Bourges et un final en fanfare au plan des résultats dans les salles pour les finances qui vont bien.
61200 places délivrées (59200 l'an dernier), mais il y a eu un spectacle de plus dans la grande salle du "W".

Le taux de remplissage a été de 82%, et les grands spectacles ont drainé beaucoup de mode, avec 10 000 entrées le samedi,soir de la rock n béat et le dimanche 9000 au W avec Sexion d'assaut.
Les prix décernés pour,les découvertes (les inouïs) ont permis de retrouver Orelsam, Président du jury, et les vainqueurs ont été Fauve et aussi Nemir, un rappeur et Archipel un groupe de Poitou Charentes.
au total, tout calcul effectué, ce sont pas moins de 500 artistes qui ont participé a ce 37 ieme Printemps.
Des chiffres du festival :
- 2328 professionnels accrédités, 320 journalistes de la presse régionale, 130 de la région Centre,
- ils sont 1000 personnes pendant le festival.

Brèves de Printemps DE BOURGES

Patti Smith a Bourges pour son spectacle a la Cathédrale, a pris un peu de temps pour s'en aller dans les Marais de Bourges et conduite par Denis Julien, elle a parcouru quelques coulants en barque.

La crise, pour Daniel Colling, pour l'instant n'atteint pas encore le spectacle vivant. "on ne se plaint pas trop, surtout pour les gros spectacles".

Le temps fut très contrasté, et l'an dernier, F. Hollande est venu au Printemps, il pleuvait.... Cette année, devenu President, il envoie a Bourges sa ministre de la culture et .... Il pleut.

Le son dans le W devait être au top, ce fut plus mitigé, mais les responsables ont répondu : "Il peut y avoir un problème avec les ingénieurs du son propres à chaque artiste, Bon pour Jamie Collum et mauvais pour Benjamin Biolay qui passait juste après."

Nostalgie
Entre 1/4 d'heure et plus de 1/2 heure pour changer le matériel entre deux chanteurs....
Il est où le temps où Brassens arrivait avec sa guitare et ...une chaise, avec un seul micro, suivi de Pierre Nicolas et sa contre basse.
Nostalgie quand tu nous tiens.
Le Printemps : de l'influence du temps et la foule..... au même endroit, entre vendredi sous la pluie et samedi soir ou il faisait presque beau....

Tina Poulizac, bras droit local de Daniel Colling pour le Printemps de Bourges.

PRINTEMPS DE BOURGES

- M a ouvert c'était du grand art, et pour certains, c'était génial ! Un bon son, un excellent spectacle très pro, le premier pour M d'une tournée de plusieurs mois à travers la France.

"M"

Benjamin Biolay, très a l'aise... Sauf que le spectateur moyen ne comprenait rien a ses paroles. Il aurait été bien meilleur a l'Auditorium..Auteur-compositeur et arrangeur de talent, B. Biolay écrit beaucoup pour les autres mais aussi parfois pour lui, avec le même talent... A revoir dans une autre salle

Benjamin Biolay

Mika : un super show, avec tout, même s'il n' a pas réussit a remplir le W, comme cela aurait du l'être. Mika chantant, dansant, se déhanchant : un chanteur généreux au possible se donnant a fond.

Mika

Patti Smith, comme autrefois, mais selon Françoise Delagrange, grande gardienne de la cathédrale ... ce fut un excellent concert avec une première partie proche du sacré.
C2C, c'est nouveau ou presque, ça vient de sortir, et "c'est gigantesque". Même si les organisateurs avaient pensé faire le plein.

Alex Beaupain : un bon spectacle et a la fois de bonnes paroles, une musique attrayante et de l'humour.... Il monte, il monte Alex.

Et puis samedi soir, The Vaccines, un groupe britannique d'indie rock formé à Londres en 2010. Le premier album du groupe, What Did You Expect from The Vaccines?, Certains se seraient crus à un des grands concerts des années 1970 de hard rock.

Jamie Collum

PdB
- surprise chez Ruquier a la radio mardi dernier, le premier jour du Printemps, avec une question a ses chroniqueurs :
" c'est la 37 ieme édition a Bourges dans Indre de quoi ?" Vous avez bien lu, l'espace d'un instant, Bourges n'était pas dans le Cher mais dans l'Indre.... Et pendant quelques instants nul ne corrigea, cela viendra plus tard.
Il y a comme encore beaucoup de travail a faire pour Bourges et le Cher !

61 200 personnes
C'est le nombre de spectateurs au 37 ° Printemps de Bourges qui a bénéficié de 3 jours de beau temps, et 3 jours de pluie... Ce qui influe sur la participation et surtout sur l'ambiance. Vendredi soir, il faisait 7° ( contre près de 27° la veille) et les allés du Printemps étaient sinistres.... Fort heureusement le Printemps c'est aussi dans les salles et dans les bars.

Benesté .... A BOURGES

Première image du Printemps de Bourges Info avec l'affiche de Bénesté et deux fans

Simplement une vue générale du nouveau chapiteau, le W, du Printemps de Bourges.
!
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PAGE 3 : LES BLOGS POLITIQUES DE BOURGES
2013
Le Blog de Serge Lepeltier

A l'invitation du Docteur Kurt GRIBL, je me suis rendu à Augsbourg pour vivre durant trois jours le quotidien du Maire d'Augsbourg.
Il s'agissait en fait de la deuxième partie de l'échange de maires entre nos deux villes jumelles. En effet, le maire d'Augsbourg était venu en janvier dernier pour me suivre au quotidien dans mes fonctions de premier magistrat.
Pour ce quatrième séjour que j'effectuais à Augsbourg, mon homologue m'avait réservé un programme certes chargé, mais ô combien passionnant.
J'ai pu ainsi assister à la fête du 1er mai, fête typiquement bavaroise avec costume traditionnel, bière et musique locale. J'ai participé également à la cérémonie de départ à la retraite de 78 employés municipaux, moment fort convivial.
Lors de la deuxième journée, l'un des points forts de ma visite a sans doute été la visite de la société Premium Aerotec, membre du consortium EADS, qui fabrique une partie des avions Airbus. Je n'ai pas manqué de faire un parallèle avec Bourges qui a été longtemps un grand centre de la construction aéronautique.
L'un des autres moments forts de mon déplacement a été d'assister à la remise de la plaquette d'honneur du Conseil de l'Europe à la Ville d'Augsbourg, deuxième décoration la plus importante décernée par l'Europe.
Ce fut un moment empreint de solennité et d'émotion. Cette décoration nous rappelle combien il est important de consolider l'amitié franco-allemande dans une période difficile où nous devons être particulièrement vigilants.
Enfin, le Docteur GRIBL m'a fait visiter certains travaux en cours dans sa ville, chantiers particulièrement impressionnants puisqu'ils vont durer jusqu'en 2019 pour un coût total de 270 millions d'euros. Il s'agit en fait du réaménagement complet du centre ville.
Cet échange direct entre maires et original de par sa nature, a renforcé, incontestablement, les liens de notre jumelage.

La suite :

http://www.sergelepeltier.fr/

Le Blog d'Irène Félix

Pour vous, la municipalité a donc mal géré ce dossier ? Le plus marquant est de voir comment on en est arrivé à une proposition qui n'est pas bonne. Et dont tout le monde sait qu'elle n'est pas bonne. Car une bonne proposition est celle qui préserve l'avenir dans l'ensemble des dimensions du projet. Et je reste un peu interdite devant l'actuelle situation. On dispose d'un site, celui de l'actuelle MCB, qui abritait à l'époque l'ancienne maison, l'institut de musique électroacoustique et l'école de musique. Ce n'est donc pas un petit site. C'était même un pôle culturel. Et aujourd'hui, on nous dit qu'il n'y aurait pas la place sur ce site pour faire un seul des trois éléments qui composait ce pôle… Bien entendu, il y a un certain nombre de contraintes. Mais je dis et je redis que ces contraintes étaient connues dès le départ, et notamment que vouloir creuser était périlleux. Je ne peux pas admettre que ceux qui ont des responsabilités d'expertise, que ce soit au niveau de la ville ou de l'État, n'aient pas trouvé le bon compromis entre le projet d'équipement et les contraintes du site. C'est une erreur de jugement manifeste et grave. Il faut dénoncer cette gestion de projet qui n'est pas bonne.
n Le nouveau site proposé n'est donc pas le bon ? Ce nouveau site n'est pas exempt d'un certain nombre de difficultés. Difficultés avancées déjà en 2001 quand on nous disait que le conservatoire de musique ne pouvait y être construit… En plus, au bout de la place Séraucourt, c'est à la fois très prés et très loin. Ce n'est plus le c'ur de la ville. Je crains que l'on n'aboutisse à ce qui s'est passé avec le déplacement des cinémas au Prado. On affaiblit la vie nocturne. Mais surtout, on laisse l'actuel site en complète déshérence et pour longtemps. Et j'en suis navrée.

La suite

http://irenefelix.blogspirit.com/

Le Blog de Pascal Blanc

MAISON DE LA CULTURE DE BOURGES : IRENE FELIX PAS D'ACCORD AVEC AURELIE FILIPPETTI, MINISTRE DE LA CULTURE SOCIALISTE
Inaugurée en 1963, elle est une des premières Maisons de la Culture voulues par André Malraux, alors ministre des Affaires culturelles.
L'établissement manquant de modernité, des projets de rénovation ont été mis en place. Une restructuration en profondeur était prévue. Les travaux prévoyaient un rehaussement de la toiture, un remplacement de la charpente et la démolition de certaines parties. Le but était de moderniser les deux salles de théâtre, mal entretenues, avec une amélioration de l'acoustique notamment.
Le montant des travaux était estimé à 12,7 millions d'euros à l'origine. À force d'exigences successives de l'État pour que la Maison de la Culture reste " scène nationale ", le coût des travaux se chiffrait alors à 19 millions d'euros répartis entre la Ville de Bourges (29,1 %), l'État avec la DRAC (24,1 %), le Département (22 %), le FEDER - Union européenne (12,4 %) et la Région Centre (12,4 %). Ces nouvelles contraintes ont conduit à modifier considérablement le projet d'origine, en particulier en positionnant le " petit théâtre " 4 mètres en dessous du niveau initial. À cette profondeur, des vestiges de thermes gallo-romains, déjà connus et cités dans la littérature, étaient mis à jour.
Après le diagnostic archéologique tout naturellement demandé par la DRAC, des prescriptions de fouilles archéologiques ont été notifiées en août 2013 contrairement à ce qui avait été annoncé quelques mois auparavant. Conséquences : interruption des travaux de démolition en cours, augmentation de la durée du chantier d'au moins 2 ans, surcoûts dus au montant des fouilles, à la sécurisation du chantier, à l'indemnisation des entreprises, à la réévaluation du montant des travaux, etc. Le tout pour un montant global voisin de 6 millions d'Euros. Et bien entendu, personne ne veut prendre en charge cette dépense complémentaire.
Face à cette situation, Serge Lepeltier, Maire de Bourges, a décidé, en accord avec le cabinet de la Ministre de la Culture, Aurélie Filipetti, d'abandonner le projet de réhabilitation de la Maison de la Culture actuelle pour en construire une autre, plus fonctionnelle, à proximité. Le montant estimé est voisin de 24 millions d'Euros.
À l'occasion de sa venue au Printemps de Bourges il y a quelques jours, la Ministre de la Culture a pu visiter en compagnie du Maire Serge Lepeltier et de son adjoint à la Culture et au Patrimoine Philippe Gitton, l'état du chantier et le lieu retenu pour la construction du nouvel édifice. Au vu de ces nouveaux éléments, elle a évidemment confirmé la décision prise quelques semaines auparavant.
Une fois encore, au titre d'un dogmatisme exacerbé, Irène Félix poursuit dans l'idée qu'il faut réhabiliter la Maison de la Culture. Pourtant face à la réalité des choses et à des évidences, le manque de pragmatisme de la candidate socialiste à la Mairie de Bourges est affligeant. En opposition avec le Comité de Pilotage souhaité par l'opposition municipale, réunissant les différents acteurs de la Maison de la Culture (le Directeur et le Président de l'Association des Amis de la Maison de la Culture), le représentant de la DRAC (donc de l'État) et les représentants du Conseil Municipal (de la majorité et de l'opposition) qui s'est prononcé favorablement sur le principe du nouveau projet le 25 avril dernier. En opposition aussi avec la Ministre de la Culture, socialiste elle aussi. On peut être en campagne municipale mais aussi faire preuve de bons sens. Mais Irène Félix n'est pas à son premier coup d'essai. Rappelons qu'il y a 15 ans, elle s'opposait à la création des cinémas CGR dans la zone du Prado en prônant le maintien des salles de cinéma rue Peylvoisin. Demandez au Berruyers de faire machine arrière…
Bien sûr il faut d'ores et déjà penser au devenir de notre MCB. Sa stature, sa situation géographique, ses surfaces peuvent permettre à de nombreux projets de se développer. Nous proposerons aux Berruyers, dans les semaines à venir, de réfléchir à une nouvelle utilisation de ce site remarquable. Mais en tout cas, on ne creusera pas !
Il est louable d'avoir des convictions. Il est dangereux d'avoir des certitudes. Il est intelligent de savoir revenir parfois sur ses positions. Il est stupide de s'attacher à des idéologies conservatrices. Les conservateurs sont des pessimistes. Les progressistes sont des optimistes. Allons de l'avant !

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http://pascalblanc.wordpress.com/

Le Blog de Yann Galut

Dans le cadre du dossier pour le maintien des urgences chirurgicales le soir et le WE à Saint-Amand-Montrond, j'ai conduit une délégation d'élus, le vendredi 26 avril 2013 à l'Agence Régionale de Santé où nous avons été reçu par le Directeur général, Monsieur Philippe Damie. Cette délégation était composée de Thierry Vinçon, Maire de Saint-Amand-Montrond, d'Hubert Robin, Vice-président du conseil général du Cher et de Rémi Pointereau, Président de l'association des maires du Cher. Même si rien n'est décidé à ce jour, le bilan de ces deux heures de réunion est positif et je tenais à vous en rendre compte. En effet, c'est avec une grande attention que nous avons été écoutés et les échanges ont été constructifs.
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http://www.yann-galut.com/

2013 Le Blog de Yannick Bedin

Quelle manif ! Quel beau rassemblement ! J'étais hier à la Bastille, avec près de 400 Berrichons, parmi les 180000 manifestants pour une 6ème République et contre l'austérité.
Un an après l'élection de François Hollande, la gauche du changement avait rendez vous à Paris pour dire son aspiration à une autre politique. Le rassemblement de la gauche pour une politique de gauche, était au cœur des exigences avec un discours très remarqué et très fort d'Éva Joly, ancienne candidate d'Europe écologie à la présidentielle.
Le 5 mai fera date ; ce n'est qu'une étape vers une nouvelle majorité à gauche.

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ttp://www.yannick-bedin.org/
2013 Le Blog de Roland Narboux

Deux thèmes dans ce 6 mai, jour anniversaire de l'élection de François Hollande, le premier c'est bien entendu un bilan d'étapes et la, hormis les militants du PS, ces inconditionnels qui sont de moins en moins nombreux, la grande majorité des français ne suivent plus.
Nul ne sait ce qu'aurait fait Nicolas Sarkozy s'il avait été élu, sans doute beaucoup de présence dans les médias, la guerre au Mali, une meilleure entente avec l'Allemagne, et quelques initiatives en matière économiques, mais qui n'auraient pas changé beaucoup le nombre de chômeurs! Par contre les manifs de rues et les grèves auraient été incessantes.
Avec M Hollande, on n'a pas vu grand chose, et surtout il y a eu une sorte d'escroquerie faite de promesses,intenables et beaucoup voient aujourd'hui qu'ils ont crus au père Noël .... D'où les sondages catastrophiques.
Cela tient aussi a une méconnaissance de nos concitoyens de l'économie.
Ré-industrialiser le pays, ne se fait pas d'un claquement de doigts.
Le second thème est local, c'est la Maison de la Culture,et le positionnement de la candidate a la mairie, Irène Félix. Elle est contre, mais toujours contre, les cinémas CGR, elle était contre, il y a 600 000 entrées par an ! Le Palais des Sports, elle est contre, la Maison.de la Culture elle est contre.
La seule chose que j'ai trouvé, ou elle est pour, c'est le canal de Berry a vélo.... Ou elle fut en tête de ce beau projet. mais c'est un projet qui a 10 ans et rien ne permet d'entrevoir un début de travaux avant 20 ans.... Ne rien faire et ne rien proposer, se mettre en attente, ce n'est pas la méthode Hollande ?

a suivre

blog de roland narboux

2013
Le Blog de Philippe Bensac

LE RAPPORT QUI DERANGE ou quand les fonctionnaires voient "clair"Le rapport secret de l'inspection générale des finances
C'est à François Fillon et Nicolas Sarkozy que l'IGF (inspection générale des finances de Bercy) a livré ce rapport secret juste avant le débarquement de François Hollande et Jean-Marc Ayrault. C'était en mai 2012. Explosif, ce rapport brise tous les tabous.
Non seulement il n'a jamais été publié, mais chaque exemplaire de ce rapport a été marqué en filigrane afin de pouvoir identifier les fuites.
Des fuites, il y en a eu malgré tout. ..
Le rapport secret de l'IGF fut commandé par Monsieur Fillon. Quand Monsieur Ayrault a débarqué à Matignon ce rapport était là, tout en-haut de la pile. Mais le gouvernement socialiste n'a pas publié ce rapport et ne le fera sans doute jamais. On doit ce rapport secret à Jean-Michel Charpin, économiste français, polytechnicien,ancien directeur de l'INSEE et actuellement inspecteur général des finances.
Une partie de ce rapport est publié dans le livre " 60 milliards d'économies " de Agnès Verdier-Molinié, directrice de la " fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques " aux éditions Albin Michel.
Que contient ce fameux rapport ?
Tout commence par ce constat : depuis 40 ans, quand l'État prélève 100 euros sur les ménages et les entreprises, 110 euros sont dépensés.
Résultat : la dette publique atteint 1833.8 milliards fin 2012 soit 90.2 % du PIB (produit intérieur brut). A partir de 100 % du PIB, la dette publique est jugée insoutenable par de nombreux économistes. Aujourd'hui, la France est toute proche de ce seuil fatidique, de ce " no man's land " économique à haut risque.
La solution proposée par l'IGF : réduire drastiquement les dépenses publiques.
Comment ? Émanant des hauts fonctionnaires c'est surprenant. En effet, ils proposent de scier la branche sur laquelle ils sont assis.
Alors que le gouvernement a supprimé le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux, l'IGF propose de ne plus embaucher aucun fonctionnaire au niveau de l'État et ne pas remplacer deux fonctionnaires sur trois qui partent à la retraite. Ça commence très fort et on comprend pourquoi ce rapport dérange autant. L'inspection propose aussi de ramener les primes des agents des services publics au niveau de 2008 et de ralentir la progression des fonctionnaires dans les échelons hiérarchiques.
Elle suggère de supprimer le supplément familial attribué automatiquement dès le premier enfant dans les trois fonctions publiques : l'État, le territoire, l'hôpital. Grosse économie de 1.3 milliards car le montant de ce versement est proportionnel au traitement de l'agent public et avantage donc les hautes rémunérations. L'IGF évoque une baisse de 10% des indemnités des parlementaires et propose de plafonner les rémunérations des personnels de l'État à 13 000 euros par mois ou 160 000 euros par an.
En 5 ans, les traitements des hauts fonctionnaires pour les catégories les plus élevés ont augmenté de 40% passant de 110 00 à 160 000 euros ! Après avoir pris 50 000 euros, les hauts fonctionnaires sifflent la fin du match.
L'inspection prône une baisse de 10% des traitements des agents supérieurs à 125000 euros, là les hauts fonctionnaires sont impactés.
L'IGF préconise de limiter les retours sur économies à 25%. En effet, 65% des économies réalisées par le non-remplacement de un fonctionnaire sur deux ont été redistribués aux agents de l'État par le biais de grosses augmentations afin de faire passer la réforme auprès des syndicats. Une vraie folie !
L'IGF propose de baisser de 2% les aides au logement (APL), les allocations aux adultes handicapés (AHH), les retraites SNCF ou les prestations aux anciens combattants. Économies : 3.2 milliards !
Elle propose enfin de faire passer des chasseurs de dépenses (bureautique, papeterie, transports) dans chaque administration pour réduire les dépenses inutiles.
Une sortie de crise sans hausse des impôts
Au total, toutes ces mesures permettraient de réaliser près de 19 milliards d'économies chaque année !
On le voit bien, une sortie de crise est possible. Ces 19 milliards permettraient au gouvernement d'atteindre facilement l'objectif des 3% de déficit imposés par Bruxelles. Pour rappel, ces 3% correspondent à la règle d'or de Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. Règle d'or décriée par François Hollande mais adoptée dès qu'il était élu président.
Ces 19 milliards permettraient non seulement d'atteindre ces objectifs, mais surtout sans augmentation des impôts et donc sans miner la croissance économique française déjà fragile.
Lancée par la très sérieuse inspection générale des finances de Bercy, ce signal d'alarme pour les finances publiques pourrait être le dernier avertissement. En effet, l'impossibilité pour les gouvernements de droite comme de gauche d'entreprendre de vraies réformes en France est un réel problème.Trop souvent, l'égoïsme de chacun prime sur l'intérêt général du pays, il ne faut pas l'oublier.
Certains hauts fonctionnaires ont compris que l'heure de réformer l'État a sonné. Ils le font savoir car ils savent que la France ne peut plus continuer à dépenser toujours davantage.
C'est la réforme de l'État, de la protection sociale et de l'organisation territoriale qu'il faut engager dès aujourd'hui.
Nous pouvons nous poser d'autres questions : pourquoi François Fillon avait-t-il demandé à l'IGF d'auditer nos finances publiques ?
Si Nicolas Sarkozy avait été réélu président, qu'aurait-il fait de ce rapport ?

la suite :

http://philippebensac.vox.com

2012
Le Blog de Hassen Chebili

lJeudi 11 avril 2013
Adieu Mon "Cher" Commerce !
Depuis le 3 avril 2013, la Commission Départementale d'Aménagement Commercial du Cher (CDAC) a annoncé la mort du projet d'Avaricum, de la zone commerciale "Géant", du Pôle Commercial et Tertiaire de la Chancellerie... Non, non ce n'est un poisson d'avril mais un "poison économique".
La CDAC a donc donné un avis favorable à l'unanimité à l'implantation d'un nouveau parc commercial surnommé de Varye de 16 000 M2 avec 17 boutiques route d'Orléans sur la commune de Saint-Doulchard. Danièle Serre, maire-adjoint chargée de l'artisanat et du commerce à Bourges, a participé à cette commission en votant "pour", façon de renvoyer l'ascenseur à la mairie de Saint-Doulchard pour son vote très favorable pour le projet Avaricum. Maintenant, je sais à quoi "Serre" notre maire-adjoint de Bourges à créer des déserts commerciaux sur Bourges ! Comme les Zones Franches sur Bourges pour les professions médicales, ce futur projet en 2015 va créer des déserts commerciaux ! Avaricum, 9500 M2, risque de ne pas sortir de son archéologie politique et économique, le centre ville de Bourges se transformera en galerie-non marchande version rue d'Auron, le Pôle Commercial de la Chancellerie deviendrait un Point Rencontre Social, et et l'hypermarché Géant actuellement en pleine extension finirait par se transformer en haricot commercial... Les commerçants du centre ville et l'association "Mon Cher Vélo" ont déjà pointé du doigt l'incohérence des projets Avaricum et De Varye. On pourra bien sûr nous parler de Plan de Déplacement Urbain (PDU) ou de Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT)...

http://hassen.chebili.over-blog.com/

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2013	Le Blog de Serge Lepeltier
A l'invitation du Docteur Kurt GRIBL, je me suis rendu à Augsbourg pour vivre durant trois jours le quotidien du Maire d'Augsbourg. Il s'agissait en fait de la deuxième partie de l'échange de maires entre nos deux villes jumelles. En effet, le maire d'Augsbourg était venu en janvier dernier pour me suivre au quotidien dans mes fonctions de premier magistrat. Pour ce quatrième séjour que j'effectuais à Augsbourg, mon homologue m'avait réservé un programme certes chargé, mais ô combien passionnant. J'ai pu ainsi assister à la fête du 1er mai, fête typiquement bavaroise avec costume traditionnel, bière et musique locale. J'ai participé également à la cérémonie de départ à la retraite de 78 employés municipaux, moment fort convivial. Lors de la deuxième journée, l'un des points forts de ma visite a sans doute été la visite de la société Premium Aerotec, membre du consortium EADS, qui fabrique une partie des avions Airbus. Je n'ai pas manqué de faire un parallèle avec Bourges qui a été longtemps un grand centre de la construction aéronautique. L'un des autres moments forts de mon déplacement a été d'assister à la remise de la plaquette d'honneur du Conseil de l'Europe à la Ville d'Augsbourg, deuxième décoration la plus importante décernée par l'Europe. Ce fut un moment empreint de solennité et d'émotion. Cette décoration nous rappelle combien il est important de consolider l'amitié franco-allemande dans une période difficile où nous devons être particulièrement vigilants. Enfin, le Docteur GRIBL m'a fait visiter certains travaux en cours dans sa ville, chantiers particulièrement impressionnants puisqu'ils vont durer jusqu'en 2019 pour un coût total de 270 millions d'euros. Il s'agit en fait du réaménagement complet du centre ville. Cet échange direct entre maires et original de par sa nature, a renforcé, incontestablement, les liens de notre jumelage. La suite :
http://www.sergelepeltier.fr/

	Le Blog d'Irène Félix
Pour vous, la municipalité a donc mal géré ce dossier ? Le plus marquant est de voir comment on en est arrivé à une proposition qui n'est pas bonne. Et dont tout le monde sait qu'elle n'est pas bonne. Car une bonne proposition est celle qui préserve l'avenir dans l'ensemble des dimensions du projet. Et je reste un peu interdite devant l'actuelle situation. On dispose d'un site, celui de l'actuelle MCB, qui abritait à l'époque l'ancienne maison, l'institut de musique électroacoustique et l'école de musique. Ce n'est donc pas un petit site. C'était même un pôle culturel. Et aujourd'hui, on nous dit qu'il n'y aurait pas la place sur ce site pour faire un seul des trois éléments qui composait ce pôle… Bien entendu, il y a un certain nombre de contraintes. Mais je dis et je redis que ces contraintes étaient connues dès le départ, et notamment que vouloir creuser était périlleux. Je ne peux pas admettre que ceux qui ont des responsabilités d'expertise, que ce soit au niveau de la ville ou de l'État, n'aient pas trouvé le bon compromis entre le projet d'équipement et les contraintes du site. C'est une erreur de jugement manifeste et grave. Il faut dénoncer cette gestion de projet qui n'est pas bonne. n Le nouveau site proposé n'est donc pas le bon ? Ce nouveau site n'est pas exempt d'un certain nombre de difficultés. Difficultés avancées déjà en 2001 quand on nous disait que le conservatoire de musique ne pouvait y être construit… En plus, au bout de la place Séraucourt, c'est à la fois très prés et très loin. Ce n'est plus le c'ur de la ville. Je crains que l'on n'aboutisse à ce qui s'est passé avec le déplacement des cinémas au Prado. On affaiblit la vie nocturne. Mais surtout, on laisse l'actuel site en complète déshérence et pour longtemps. Et j'en suis navrée. La suite
http://irenefelix.blogspirit.com/

	Le Blog de Pascal Blanc
MAISON DE LA CULTURE DE BOURGES : IRENE FELIX PAS D'ACCORD AVEC AURELIE FILIPPETTI, MINISTRE DE LA CULTURE SOCIALISTE Inaugurée en 1963, elle est une des premières Maisons de la Culture voulues par André Malraux, alors ministre des Affaires culturelles. L'établissement manquant de modernité, des projets de rénovation ont été mis en place. Une restructuration en profondeur était prévue. Les travaux prévoyaient un rehaussement de la toiture, un remplacement de la charpente et la démolition de certaines parties. Le but était de moderniser les deux salles de théâtre, mal entretenues, avec une amélioration de l'acoustique notamment. Le montant des travaux était estimé à 12,7 millions d'euros à l'origine. À force d'exigences successives de l'État pour que la Maison de la Culture reste " scène nationale ", le coût des travaux se chiffrait alors à 19 millions d'euros répartis entre la Ville de Bourges (29,1 %), l'État avec la DRAC (24,1 %), le Département (22 %), le FEDER - Union européenne (12,4 %) et la Région Centre (12,4 %). Ces nouvelles contraintes ont conduit à modifier considérablement le projet d'origine, en particulier en positionnant le " petit théâtre " 4 mètres en dessous du niveau initial. À cette profondeur, des vestiges de thermes gallo-romains, déjà connus et cités dans la littérature, étaient mis à jour. Après le diagnostic archéologique tout naturellement demandé par la DRAC, des prescriptions de fouilles archéologiques ont été notifiées en août 2013 contrairement à ce qui avait été annoncé quelques mois auparavant. Conséquences : interruption des travaux de démolition en cours, augmentation de la durée du chantier d'au moins 2 ans, surcoûts dus au montant des fouilles, à la sécurisation du chantier, à l'indemnisation des entreprises, à la réévaluation du montant des travaux, etc. Le tout pour un montant global voisin de 6 millions d'Euros. Et bien entendu, personne ne veut prendre en charge cette dépense complémentaire. Face à cette situation, Serge Lepeltier, Maire de Bourges, a décidé, en accord avec le cabinet de la Ministre de la Culture, Aurélie Filipetti, d'abandonner le projet de réhabilitation de la Maison de la Culture actuelle pour en construire une autre, plus fonctionnelle, à proximité. Le montant estimé est voisin de 24 millions d'Euros. À l'occasion de sa venue au Printemps de Bourges il y a quelques jours, la Ministre de la Culture a pu visiter en compagnie du Maire Serge Lepeltier et de son adjoint à la Culture et au Patrimoine Philippe Gitton, l'état du chantier et le lieu retenu pour la construction du nouvel édifice. Au vu de ces nouveaux éléments, elle a évidemment confirmé la décision prise quelques semaines auparavant. Une fois encore, au titre d'un dogmatisme exacerbé, Irène Félix poursuit dans l'idée qu'il faut réhabiliter la Maison de la Culture. Pourtant face à la réalité des choses et à des évidences, le manque de pragmatisme de la candidate socialiste à la Mairie de Bourges est affligeant. En opposition avec le Comité de Pilotage souhaité par l'opposition municipale, réunissant les différents acteurs de la Maison de la Culture (le Directeur et le Président de l'Association des Amis de la Maison de la Culture), le représentant de la DRAC (donc de l'État) et les représentants du Conseil Municipal (de la majorité et de l'opposition) qui s'est prononcé favorablement sur le principe du nouveau projet le 25 avril dernier. En opposition aussi avec la Ministre de la Culture, socialiste elle aussi. On peut être en campagne municipale mais aussi faire preuve de bons sens. Mais Irène Félix n'est pas à son premier coup d'essai. Rappelons qu'il y a 15 ans, elle s'opposait à la création des cinémas CGR dans la zone du Prado en prônant le maintien des salles de cinéma rue Peylvoisin. Demandez au Berruyers de faire machine arrière… Bien sûr il faut d'ores et déjà penser au devenir de notre MCB. Sa stature, sa situation géographique, ses surfaces peuvent permettre à de nombreux projets de se développer. Nous proposerons aux Berruyers, dans les semaines à venir, de réfléchir à une nouvelle utilisation de ce site remarquable. Mais en tout cas, on ne creusera pas ! Il est louable d'avoir des convictions. Il est dangereux d'avoir des certitudes. Il est intelligent de savoir revenir parfois sur ses positions. Il est stupide de s'attacher à des idéologies conservatrices. Les conservateurs sont des pessimistes. Les progressistes sont des optimistes. Allons de l'avant ! La suite
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	Le Blog de Yann Galut
Dans le cadre du dossier pour le maintien des urgences chirurgicales le soir et le WE à Saint-Amand-Montrond, j'ai conduit une délégation d'élus, le vendredi 26 avril 2013 à l'Agence Régionale de Santé où nous avons été reçu par le Directeur général, Monsieur Philippe Damie. Cette délégation était composée de Thierry Vinçon, Maire de Saint-Amand-Montrond, d'Hubert Robin, Vice-président du conseil général du Cher et de Rémi Pointereau, Président de l'association des maires du Cher. Même si rien n'est décidé à ce jour, le bilan de ces deux heures de réunion est positif et je tenais à vous en rendre compte. En effet, c'est avec une grande attention que nous avons été écoutés et les échanges ont été constructifs. la suite
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2013	Le Blog de Roland Narboux
Deux thèmes dans ce 6 mai, jour anniversaire de l'élection de François Hollande, le premier c'est bien entendu un bilan d'étapes et la, hormis les militants du PS, ces inconditionnels qui sont de moins en moins nombreux, la grande majorité des français ne suivent plus. Nul ne sait ce qu'aurait fait Nicolas Sarkozy s'il avait été élu, sans doute beaucoup de présence dans les médias, la guerre au Mali, une meilleure entente avec l'Allemagne, et quelques initiatives en matière économiques, mais qui n'auraient pas changé beaucoup le nombre de chômeurs! Par contre les manifs de rues et les grèves auraient été incessantes. Avec M Hollande, on n'a pas vu grand chose, et surtout il y a eu une sorte d'escroquerie faite de promesses,intenables et beaucoup voient aujourd'hui qu'ils ont crus au père Noël .... D'où les sondages catastrophiques. Cela tient aussi a une méconnaissance de nos concitoyens de l'économie. Ré-industrialiser le pays, ne se fait pas d'un claquement de doigts. Le second thème est local, c'est la Maison de la Culture,et le positionnement de la candidate a la mairie, Irène Félix. Elle est contre, mais toujours contre, les cinémas CGR, elle était contre, il y a 600 000 entrées par an ! Le Palais des Sports, elle est contre, la Maison.de la Culture elle est contre. La seule chose que j'ai trouvé, ou elle est pour, c'est le canal de Berry a vélo.... Ou elle fut en tête de ce beau projet. mais c'est un projet qui a 10 ans et rien ne permet d'entrevoir un début de travaux avant 20 ans.... Ne rien faire et ne rien proposer, se mettre en attente, ce n'est pas la méthode Hollande ? a suivre
blog de roland narboux

2013	Le Blog de Philippe Bensac
LE RAPPORT QUI DERANGE ou quand les fonctionnaires voient "clair"Le rapport secret de l'inspection générale des finances C'est à François Fillon et Nicolas Sarkozy que l'IGF (inspection générale des finances de Bercy) a livré ce rapport secret juste avant le débarquement de François Hollande et Jean-Marc Ayrault. C'était en mai 2012. Explosif, ce rapport brise tous les tabous. Non seulement il n'a jamais été publié, mais chaque exemplaire de ce rapport a été marqué en filigrane afin de pouvoir identifier les fuites. Des fuites, il y en a eu malgré tout. .. Le rapport secret de l'IGF fut commandé par Monsieur Fillon. Quand Monsieur Ayrault a débarqué à Matignon ce rapport était là, tout en-haut de la pile. Mais le gouvernement socialiste n'a pas publié ce rapport et ne le fera sans doute jamais. On doit ce rapport secret à Jean-Michel Charpin, économiste français, polytechnicien,ancien directeur de l'INSEE et actuellement inspecteur général des finances. Une partie de ce rapport est publié dans le livre " 60 milliards d'économies " de Agnès Verdier-Molinié, directrice de la " fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques " aux éditions Albin Michel. Que contient ce fameux rapport ? Tout commence par ce constat : depuis 40 ans, quand l'État prélève 100 euros sur les ménages et les entreprises, 110 euros sont dépensés. Résultat : la dette publique atteint 1833.8 milliards fin 2012 soit 90.2 % du PIB (produit intérieur brut). A partir de 100 % du PIB, la dette publique est jugée insoutenable par de nombreux économistes. Aujourd'hui, la France est toute proche de ce seuil fatidique, de ce " no man's land " économique à haut risque. La solution proposée par l'IGF : réduire drastiquement les dépenses publiques. Comment ? Émanant des hauts fonctionnaires c'est surprenant. En effet, ils proposent de scier la branche sur laquelle ils sont assis. Alors que le gouvernement a supprimé le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux, l'IGF propose de ne plus embaucher aucun fonctionnaire au niveau de l'État et ne pas remplacer deux fonctionnaires sur trois qui partent à la retraite. Ça commence très fort et on comprend pourquoi ce rapport dérange autant. L'inspection propose aussi de ramener les primes des agents des services publics au niveau de 2008 et de ralentir la progression des fonctionnaires dans les échelons hiérarchiques. Elle suggère de supprimer le supplément familial attribué automatiquement dès le premier enfant dans les trois fonctions publiques : l'État, le territoire, l'hôpital. Grosse économie de 1.3 milliards car le montant de ce versement est proportionnel au traitement de l'agent public et avantage donc les hautes rémunérations. L'IGF évoque une baisse de 10% des indemnités des parlementaires et propose de plafonner les rémunérations des personnels de l'État à 13 000 euros par mois ou 160 000 euros par an. En 5 ans, les traitements des hauts fonctionnaires pour les catégories les plus élevés ont augmenté de 40% passant de 110 00 à 160 000 euros ! Après avoir pris 50 000 euros, les hauts fonctionnaires sifflent la fin du match. L'inspection prône une baisse de 10% des traitements des agents supérieurs à 125000 euros, là les hauts fonctionnaires sont impactés. L'IGF préconise de limiter les retours sur économies à 25%. En effet, 65% des économies réalisées par le non-remplacement de un fonctionnaire sur deux ont été redistribués aux agents de l'État par le biais de grosses augmentations afin de faire passer la réforme auprès des syndicats. Une vraie folie ! L'IGF propose de baisser de 2% les aides au logement (APL), les allocations aux adultes handicapés (AHH), les retraites SNCF ou les prestations aux anciens combattants. Économies : 3.2 milliards ! Elle propose enfin de faire passer des chasseurs de dépenses (bureautique, papeterie, transports) dans chaque administration pour réduire les dépenses inutiles. Une sortie de crise sans hausse des impôts Au total, toutes ces mesures permettraient de réaliser près de 19 milliards d'économies chaque année ! On le voit bien, une sortie de crise est possible. Ces 19 milliards permettraient au gouvernement d'atteindre facilement l'objectif des 3% de déficit imposés par Bruxelles. Pour rappel, ces 3% correspondent à la règle d'or de Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. Règle d'or décriée par François Hollande mais adoptée dès qu'il était élu président. Ces 19 milliards permettraient non seulement d'atteindre ces objectifs, mais surtout sans augmentation des impôts et donc sans miner la croissance économique française déjà fragile. Lancée par la très sérieuse inspection générale des finances de Bercy, ce signal d'alarme pour les finances publiques pourrait être le dernier avertissement. En effet, l'impossibilité pour les gouvernements de droite comme de gauche d'entreprendre de vraies réformes en France est un réel problème.Trop souvent, l'égoïsme de chacun prime sur l'intérêt général du pays, il ne faut pas l'oublier. Certains hauts fonctionnaires ont compris que l'heure de réformer l'État a sonné. Ils le font savoir car ils savent que la France ne peut plus continuer à dépenser toujours davantage. C'est la réforme de l'État, de la protection sociale et de l'organisation territoriale qu'il faut engager dès aujourd'hui. Nous pouvons nous poser d'autres questions : pourquoi François Fillon avait-t-il demandé à l'IGF d'auditer nos finances publiques ? Si Nicolas Sarkozy avait été réélu président, qu'aurait-il fait de ce rapport ? la suite :
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2012	Le Blog de Hassen Chebili
lJeudi 11 avril 2013 Adieu Mon "Cher" Commerce ! Depuis le 3 avril 2013, la Commission Départementale d'Aménagement Commercial du Cher (CDAC) a annoncé la mort du projet d'Avaricum, de la zone commerciale "Géant", du Pôle Commercial et Tertiaire de la Chancellerie... Non, non ce n'est un poisson d'avril mais un "poison économique". La CDAC a donc donné un avis favorable à l'unanimité à l'implantation d'un nouveau parc commercial surnommé de Varye de 16 000 M2 avec 17 boutiques route d'Orléans sur la commune de Saint-Doulchard. Danièle Serre, maire-adjoint chargée de l'artisanat et du commerce à Bourges, a participé à cette commission en votant "pour", façon de renvoyer l'ascenseur à la mairie de Saint-Doulchard pour son vote très favorable pour le projet Avaricum. Maintenant, je sais à quoi "Serre" notre maire-adjoint de Bourges à créer des déserts commerciaux sur Bourges ! Comme les Zones Franches sur Bourges pour les professions médicales, ce futur projet en 2015 va créer des déserts commerciaux ! Avaricum, 9500 M2, risque de ne pas sortir de son archéologie politique et économique, le centre ville de Bourges se transformera en galerie-non marchande version rue d'Auron, le Pôle Commercial de la Chancellerie deviendrait un Point Rencontre Social, et et l'hypermarché Géant actuellement en pleine extension finirait par se transformer en haricot commercial... Les commerçants du centre ville et l'association "Mon Cher Vélo" ont déjà pointé du doigt l'incohérence des projets Avaricum et De Varye. On pourra bien sûr nous parler de Plan de Déplacement Urbain (PDU) ou de Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT)...
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