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HEBDO PLUS,

LES PETITES PHRASES DE BOURGES

Philippe Gitton très en verve au dernier Conseil municipal à propos de 2011 qui sera l'année de la chauve souris et de poursuivre sur ce thème : "oh, il y a bien la journée de la femme, alors pourquoi pas la journée de la chauve souris", certains n'ont pas apprécié cet humour .
Pour Véronique Fénoll,adjointe à l'Urbanisme à Bourges, " C'est désormais terminé, on ne construira plus en souterrain à Bourges".
Yannick Bedin a "demandé lors du dernier Conseil municipal : "qu'une cellule anti-stress soit mise en place dans la mairei de Bourges", ceci dans le cadre de la souffrance au travail.

Hassen Chebili surpris par certaines subventions , il écrit ; " Une délibération de subvention va pouvoir accorder une subvention de 4 000 euros au Secours Catholique pour des actions spécifiques d'accompagnement de migrants. Je ne veux pas parler ici du bien fondé de ce travail d'utilité publique mais de sensibiliser tous les élus dits républicains aux associations d'autres confessions religieuses qui viendront un jour formuler des demandes de subventions à la porte de la mairie. Il faudra alors être cohérent et juste vis à vis d'associations musulmanes ! ".

Pour Yannick Bedin, " Avaricum, le serpent de mer. Arrêtons les frais ai-je dit en substance à Mme Fenol qui présentait la délibération fixant les nouveaux contours du projet." et de poursuivre " Les fouilles archéologiques minent le projet initial tout comme les eaux du sous sol".
Philippe Bensac part très tôt , il écrit dans son blog : "Je me présente dans le canton 5 à l'occasion des élections qui se tiendront en mars 2011. Conseiller général, pourquoi ? pour qui ?" .

LES CHAUVES SOURIS A BOURGES

L'année 2011 sera l'année mondiale de la chauve-souris. Le Muséum de Bourges avec Laurent Arthur et Michèle Lemaire, spécialistes européen des chiroptères préparent pour cette année 2011, une exposition pour une durée de 1 an avec un début vers juin 2011.

MERCREDI 5 mai 2010

LE LIVRE SUR LES MARAIS DE BOURGES

Le livre intitulé LES MARAIS DE BOURGES aux éditions CPE de Romorantin, vient de sortir, avec un texte de Roland Narboux, et surtout des photos de Maryline Doctrinal, de Nicolas Cholet et de l'auteur.
Il sera disponible dès la semaine prochaine dans les librairies de la ville, du département et de l'Office de Tourisme.

BOURGES

Samedi 1er mai, c'était la reprise des Nuits lumière de Bourges, un parcours spectacle gratuit.

Les jeudis, vendredis, samedis, "Laissez-vous guider et envoûter
par les Nuits Lumière de Bourges" proclame l'Office de tourisme de Bourges.

Départ rue des Hémerettes, dès la tombée de la nuit.
Les Nuits Lumière de Bourges, c'est à ne pas manquer, cela dure jusqu'en septembre.

ville 1 er Mai et 8 Mai ... et 9 Mai A BOURGES

Le 1 er mai en France et à Bourges n'est plus très populaire, la crise aidant, les syndicats marchant ensemble, mais cela manque de conviction, surtout si le temps n'est pas de la partie.

Le 1 er mai et le 8 mai désespèrent nombre de personnes, car ce sont deux samedis ! "Encore deux jours donnés aux patrons" pouvait-on entendre dans les cortèges et les défilés.
Quant au 9 mai, il est désormais consacré à l'Europe qui en a bien besoin.

contact@Bourges-info.coi

EXPOSITION DES MOF A BOURGES

La lingerie, de quelques états de la parure et du corps
Musée des Meilleurs Ouvriers de France, place Etienne Dolet

C'est ouvert jusqu'au 6 mars 2011
Sauf lundi et dimanche matin
De 10h à 12h et de 14h à 18h

Et c'est très agréable à l'oeil, avec des tenues que portait Camille Claudel.
Et puis des lingeries exécutées par les Meilleurs Ouvriers de France.
POUR CEUX QUI ONT RATE DES EPISODES DE LA SEMAINE DERNIERE

LE TOIT DE LA CATHEDRALE DE BOURGES

Les travaux sur la toiture de la cathédrale de Bourges commencent, et de manière spectaculaire.
En effet, la semaine dernière, pendant 3 jours, ce fut la montée, pièce par pièce d'une toiture de protection, avec une grue géante et fine de près de 76 mètres de hauteur et de 200 tonnes.
Il s'agit de refaire entièrement la toiture avec une première phase d'un peu plus de 1 ans et d'un coût de 1,5 millions d'euros. Mais il ne s'agit que de la première phase, d'autres suivront et les travaux vont s'échelonner sur 5 ans.

A noter par contre que les travaux sur les 5 portails et le portail central du Jugement dernier seront terminés à la fin de l'année 2010.

En savoir plus : cathedrale.htm

SALON DU LIONS CLUB A BOURGES

Inauguration samedi dernier du salon des 3 Lions Clubs de Bourges, avec au Palais d'Auron plusieurs centaines de tableaux et sculptures, un total de 580 oeuvres présentées.
Il y a un invité d'honneur, il s'agit de Jean-Marie Laberthonnière, avec quelques belles aquarelles sur les marais de Bourges.
Les profits de cette manifestation sont prévus pour les chiens guide d'aveugle et en particulier l pour Béatrice Courteboeuf qui recevra son second labrador.
Ce 17e Salon National Arts et Peintures se déroule donc au Palais d'Auron jusqu'au 2 mai.

L'ORDRE DU MERITE A BOURGES

C'était l'Assemblée générale des membres (350) de l'Ordre National du Mérite qui se réunissait samedi 24 avril à la Salle des fêtes de la Chancellerie, sous la présidence de Claude Mousset et en présence du général Barat.
Ils avaient été accueillis par la Amis de Jacques Coeur et les accompagnateurs purent assister à une conférence sur "les 5 énigmes de l'argentier du roi Charles VII ".

FESTIVAL DE CANNES ET BOURGES

Ce fut une certaine surprise, mais le film de Bertrand Tavernier, "La princesse de Montpensier", tourné en partie à Bourges , Meillant et Noirlac vient d'être sélectionner pour Cannes dans la sélection officielle proposée par la France.
C'est une surprise car les films en costumes et ceux sur l'Histoire lointaine sont rarement sur les écrans du Festival de Cannes.

Rappelons aussi que de nombreux figurants de Bourges ont participé à ce film, qui ne devrait sortir dans les salles de Bourges qu'en octobre prochain.
Sur le même sujet, le Palais Jacques Coeur où fut tourné une partie du film proposera une exposition photos dans les semaines à venir.

JEAN CHRISTOPHE RUFIN PUBLIE

Académicien, ambassadeur et écrivain, Jean Christophe Rufin, né à Bourges publie un nouveau roman.
Il s'intitule Kabila et il s'agit d'un récit en prenant un thème d'actualité sur Al Quaida, les otages, le Sahara.

A début du livre, cette phrase d'un proverbe sénégalais :
" Un chien a beau avoir quatre pattes, il ne peut pas suivre deux chemins à la fois".
Rappelons que J.C. Rufin, que l'on dit partant de son ambassade, poste qu'il occupe depuis plusieurs années, est venu à Bourges au lendemain de son entrée à l'académie française.

En savoir plus : Rufin1.htm
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PAGE 3 : LES BLOGS POLITIQUES DE BOURGES
2010
Le Blog de Serge Lepeltier

Le nouveau Conseil Régional est installé.
A la suite des dernières élections régionales, le nouveau Conseil Régional du Centre vient d’être installé.
Lors de cette installation qui a vu l’élection du président et des vice-présidents mais également des différentes commissions, je suis devenu membre de la commission permanente et membre de la commission des finances.
La commission permanente est un organe très important dans le fonctionnement de la Région. L’assemblée régionale peut déléguer certaines décisions à cette commission qui constitue en fait l’échelon de traitement des affaires courantes.
Quant à la commission des finances, elle a pour objet d’élaborer le budget et d’en suivre son évolution tout au long de l’année.
Ces fonctions me permettront d’accompagner au plus près les dossiers régionaux et d’en mesurer l’impact financier.
Avec mes collègues du groupe Union pour la Région Centre, nous assurerons ainsi une opposition non pas systématique mais constructive afin de défendre nos idées, de développer nos projets et de porter nos valeurs.
la suite :

http://www.sergelepeltier.fr/

Le Blog d'Irène Félix

Conseil Municipal de Bourges
Le dossier, ce soir, c'était encore l'urbanisme et principalement Avaricum. J'ai fait un peu "d'archéologie" pour rafraîchir la mémoire de tous. L'histoire remonte début 2001 ("à l'aube du troisième millénaire", ai-je dit en me faisant conteuse). Le 9 février 2001, pendant la campagne électorale, le Maire adresse un courrier aux 220 foyers du quartier s'engageant à ne pas détruire les 220 logements sociaux qui étaient construits là, où il n'y a plus qu'un trou et une immense palissade. Quelques mois plus tard et l'élection passée, changement de discours : dès octobre 2001, des réunions publiques annoncent la fin du quartier social. D'études en présentations, de combats pour obtenir la rénovation des logements sociaux en "expertises" diverses, la démolition est actée et un projet est choisi. Le 26 mars 2004, la Ville crée une Zone d'Aménagement Concerté pour "reloger sur le site ou à proximité immédiate tous les locataires, créer un hôtel, 5000 m² de surfaces commerciales et un parking de 1100 places" et lance une consultation en vue de désigner un aménageur. La gauche, qui vote contre le projet, déplore que le foncier disponible en centre ville serve de substitution aux démolitions programmées plutôt qu'à renforcer la place du logement social dans un quartier plutôt "bourgeois". Elle s'inquiète de l'aliénation (la vente) de l'espace public à un aménageur privé.
Un an et demi plus tard, en octobre 2005, il faut supprimer le projet poiur lequel personne n'a répondu dans les termes prévus (pas de coût pour la ville). La ZAC est supprimée. En décembre, un nouveau projet de ZAC est mis en "concertation" pour être approuvé, toujours par la seule majorité municipale, le 29 mars 2006. Cette fois, il n'y a plus que "au minimum 30 logement sociaux" mais il y a 15000 m² de surface commerciale pour rentabiliser le parking de 1000 places. En cohérence aves nos positions précédentes, nous déplorons la réduction comme peau de chagrin du logement social et mettons en doute la faisabilité du parking sur 3 à 4 étages dans la nappe. De fait, 3 ans après, l'autorisation au titre de la loi sur l'eau n'était toujours pas donnée.
Un engagement de vente intervient un peu plus tard avec la société Urbanisme et commerce, porteuse d'un projet de centre commercial assez séduisant ... sous réserve qu'il se fasse et qu'on soit un peu amnésique sur la question du logement social. Je m'inquiète cependant de l'esplanade privée qui sera close en soirée, proposant, lors des municipales, d'en refaire un espace public. Je propose aussi de renforcer la place du logement social sur le site. Sans lendemain. S'engagent alors les premiers gros travaux, à la charge de la ville : détournement du lit de l'Yèvrette qui traversait la parcelle, reconfiguration des réseaux, premières fouilles. Et là, coup de théâtre : on y trouve des restes de thermes, "d'ampleur européenne". Le Préfet de Région ne donne pas d'autorisation de construire et impose des fouilles complémentaires. La signature de la vente à l'aménageur devait intervenir avant le mois de novembre 2009. Constatant que les clauses suspensives de la vente ne seraient pas remplies à cette échéance (chantier de fouilles en cours et autorisation loi sur l'eau non parvenue), le délai est repoussé d'un an. Le parking sur trois étages est promis à l'abandon. En conséquences, le nombre de places doit être réduit, les surfaces commerciales aussi.
Et c'est ainsi qu'est proposé au Conseil de ce jour une modification du dossier de la ZAC pour acter l'impossibilité de réaliser le projet initial : 320 à 450 places de parking, 9 000 à 11 000 m² de surfaces commerciales et "la possibilité d'avoir des logements sociaux" sans aucune indication de nombre. Concernant les découvertes archéologiques qui étaient il y a peu encore "d'ampleur européenne", il ne s'agirait plus désormais, "sur de très petites surfaces" que "de vestiges attribués à un vaste ensemble thermal". Avant même que la deuxième phase de fouilles ait eu lieu, on s'empresse de dégonfler le dossier pour ne surtout pas avoir à envisager une quelconque mise en valeur des restes archéologiques. Le centre commercial reste d'ampleur significative. Il aura besoin d'habitants à proximité pour compenser la baisse des flux : il serait donc judicieux de renforcer le logement sur le site. Il n'en est pas question.
En fait, le projet doit changer et a changé. Juridiquement, peut-on considérer que l'aménageur choisi pour le projet de 2006 est forcément légitime pour un nouveau projet ? Ne faut-il pas plus substantiellement rebattre les cartes ? Prendre en compte les fouilles et d'abord attendre leur issue ? S'interroger, au moment où s'élabore le Plan de Déplacement Urbain sur la contribution de ce site au plan global ? aux évolutions urbaines ? et d'ailleurs, doit-on, près de 10 ans après, penser l'urbanisation de la même façon ?
Et enfin, qu'est-ce que cela a, déjà, coûté à la ville et aux Berruyers, ce "trou" à tous les sens du terme ?
la suite :

http://irenefelix.blogspirit.com/

Le Blog de Yann Galut

Voilà ce que j'écrivais il y un an dans "Demain sera un autre jour", pp. 83-84-85.
Aujourd’hui, avec la crise internationale, la question revêt une importance particulière. Comment en effet dans le contexte actuel de cette crise pourrait-on se priver de l’apport politique salutaire des revendications altermondialistes ?
Comment éluder l’impact positif que la taxe Tobin aurait pu produire sur l’économie mondiale au cours de ces dix dernières années?
La taxe Tobin, du nom du Prix Nobel américain d’économie James Tobin, qui consiste à taxer (entre 0,5% et 1%) toutes les transactions financières, est aussi une manière de décourager la spéculation financière et de dégager des recettes sur le dos de la mobilité – pour ne pas dire de la volatilité - internationale des capitaux et de la flexibilité des changes. La thèse de Tobin est à rapprocher de la pensée de John Maynard Keynes qui dans son opus sur la Théorie générale de l’emploi de l’intérêt de la monnaie, avançait déjà l’idée d’une taxe sur le capitalisme financier. Avec James Tobin, l’idée a fait son chemin. L’on sait maintenant que la mondialisation financière ne s’est pas imposée aux gouvernements mais qu’elle a été portée par ces derniers pour financer plus facilement leurs dettes. Le continent africain a payé un lourd tribut à cette externalisation de la dette des pays occidentaux, lorsque dans les années 1960 en pleine décolonisation, les États-Unis, la Royaume-Uni, la France, etc. avec la complicité de quelques chefs corrompus patentés, ont consenti des prêts à taux variables aux jeunes États africains constitués sur la voie de l’Indépendance. En quelques années,et sous les coups de boutoir des chocs pétroliers à partir de 1973, les taux d’intérêts se sont envolés asphyxiant un peu plus les jeunes économies africaines,semant la famine et les épidémies chez les populations les plus fragiles.
la suite :

http://www.yann-galut.com/

Le Blog de Yannick Bedin

Quelques dossiers ont donné l'occasion de débats nourris entre l'opposition et Serge Lepeltier. Je suis satisfait que nous ayons pu aborder la question des salaires et des conditions de travail du personnel municipal. Les agents de la ville sont en lutte pour la revalorisation de leur traitement indiciaire. Les négociations avec le maire sont engagées. Ils ont mon soutien le plus complet. Dans nos échanges, par la voix d'André Decourt et la mienne, le mal être au travail a pu être pour la première fois, l'objet d'une explication du maire. La réorganisation des services, qui masquent souvent des réductions d'effectifs et de moyens, est en effet l'occasion de changements de poste mal vécus par les agents concernés. Le maire s'est dit attentif à cette situation.
Avaricum, le serpent de mer. Arrêtons les frais ai-je dit en substance à Mme Fenol qui présentait la délibération fixant les nouveaux contours du projet. Moins de parkings, diminution de la surface commerciale, flou total sur la construction de logements sociaux...le moins que l'on puisse dire c'est que la municipalité ne sait pas où elle va. Les fouilles archéologiques minent le projet initial tout comme les eaux du sous sol. "On ne peut pas arrêter les frais" me répond l'adjointe. Voilà qui n'est pas rassurant. J'ai demandé un premier bilan des fonds engagés et une remise à plat de l'ensemble. J'ai fait part de l'inquiétude des Berruyers à l'heure où le maire engage un nouveau projet pharaonique, le Palais des sports.
Ecole Sembat A. Cette école ne fonctionne plus depuis 2003 mais elle accueille une structure de loisirs pour les enfants et l'accueil avant et après classe. La ville s'en débarrasse pour y construire des logements sociaux. J'ai demandé à ce que le maire garantisse la poursuite de l'accueil des enfants au moins jusqu'à la fin de l'année scolaire. En vain. Je m'étonne toujours du manque de vision du maire en matière d'urbanisme qui ne pense qu'à construire sans réfléchir aux espaces de lien social et de service public nécessaires à la vie d'un quartier. Celui de Sembat, qui se densifie et se renouvelle, est particulièrement mal servi en services publics. Sembat A aurait pu accueillir un pôle de service avec l'accueil, le centre de loisirs et courte échelle (accueil parents-enfants) supprimé il y a peu. Sans compter que l'arrivée de nouvelles familles dans le quartier risque de rendre nécessaire d'ouvrir des classes et qu'il aurait été judicieux de garder en réserve cette école.
la suite : h

ttp://www.yannick-bedin.org/

Le Blog de Roland Narboux

Dans le cadre du projet Avaricum, Irène Félix a fait de l'Histoire à la manière de l'Encyclopédie de Bourges (merci pour la contribution) et il faut se poser plusieurs questions :
- sur le projet commercial il n'y a pas de changement notoire, la surface commerciale vers 10 000 mètres carrés et les 350 places de parking (450 peut être ?) sont conformes à la revalorisation du centre ville, surtout si les enseignes sont attractives... et au rendez-vous.
- Sur les logements et la résidence hôtelière, 20, 30 ou 40 logements sociaux en centre ville, c'est bien quelque soit le chiffre, car le nombre de logements sociaux dans le Centre de Bourges est tel que le contrat est rempli. Les locataires à faible revenu peuvent désormais (Bouillet, Beauvoir, Hôtel Dieu ... etc ) s'ils le veulent habiter en centre ville et ne plus être cantonnés dans le Bourges nord comme ce fut le cas dans les années 1980.
- Quant au parking de 1000 places, prévu depuis l'an 2000, il s'agissait de donner au centre ville d'une manière presque indépendante du centre commercial 500 à 600 places supplémentaires en centre ville afin d'ajouter cela à Séraucourt, Hôtel Dieu et Anatole France et Cujas. Et ce manque pourrait devenir dramatique pour le Bourges de 2030!
Une certaine archéologie peut-elle faire mourir à petit feu uhe ville, c'est semble-t-il aujourd'hui possible, à moins que les Berruyers se convertissent au vélo ou à la marche à pied. Aujourd'hui ils n'en sont pas là, c'est dommage mais c'est la réalité.

http://spaces.msn.com/rolanddebourges/blog

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2010
Le Blog de Philippe Bensac

POURQUOI LE CANTON V ? PARCE QUE J'Y VIS !
il y a 7 heures 1 commentaire Pour ne pas être déçu, ne rien espérer ? Souvent les responsables politiques promettent à distance et ne tiennent pas à proximité. Alors, les citoyens ne se rendent plus aux urnes. Ils n'espèrent plus rien et ne seront donc pas déçus.
Je me présente dans le canton 5 à l'occasion des élections qui se tiendront en mars 2011. Conseiller général, pourquoi ? pour qui ?
Pour redonner l'espoir à toutes celles et tous ceux, qui, légitimement, ne veulent plus être déçus. Je vais ainsi décliner ma campagne en trois temps bien distincts : la prise de contact, le débat, les propositions. Je commence donc par vous rencontrer, électrices et électeurs de cette parcelle de la Ville de Bourges. Non parce que je ne vous connais pas, mais pour me présenter à vous, individuellement.
Je travaille tous les jours dans ce canton où se situe mon cabinet professionnel. Je tiens une permanence d'élu au 205, route de Saint-Michel tous les jeudi en fin d'après midi, je suis présent au marché Saint-Bonnet pratiquement chaque dimanche entre 11h30 et 13h. Mais je veux passer chez vous, faire connaissance de façon approfondie, m'entretenir avec vous et vous poser les bonnes questions.
Dans le même ordre d'idée, je vous propose de me joindre personnellement par téléphone au : 06 98 92 27 46 pour organiser une réunion d'information chez vous avec vos amis, vos voisins, votre famille...
Alors n'hésitez pas, appelez et nous trouverons ensemble la bonne date.
Bien sûr, je vais prendre beaucoup d'autres initiatives pendant ces 10 mois de campagne électorale, notamment à la rentrée prochaine, lorsque d'autres candidat(e)s se détermineront. Mais pour l'heure, c'est entre vous et moi. Alors à bientôt.
la suite :

http://philippebensac.vox.com

2010
Le Blog de Hassen Chebili

Laïcité, je vote ton nom !
Le conseil municipal de Bourges est devenu le rendez-vous mensuel de la politique locale. Après deux années de pratique en tant que conseiller municipal, je me suis habitué à la mécanique des délibérations proposées. On doit bien reconnaître que l'opposition municipale de Bourges est très rarement à la hauteur de ses prétentions politiques. On pourrait se dire qu'un conseil municipal en cache un autre ! Au menu ce vendredi : une liste de délibérations sur des sujets récurrents. J'aurai tout de même une réflexion sur le sujets des versements de subventions à des Associations cultuelles (je n'ai pas dit culturelles mais religieuses). L'extrême gauche représentée par Colette Cordat a coutûme de ne pas voter pour des délibérations concernant des associations religieuses qui mènent des actions dites d'interêt général. Et malgré les ricanements de certains élus concernant le choix de l'extrême gauche, je m'interroge sérieusement pour l'avenir sur ce sujet épineux. Une délibération de subvention va pouvoir accorder une subvention de 4 000 euros au Secours Catholique pour des actions spécifiques d'accompagnement de migrants. Je ne veux pas parler ici du bien fondé de ce travail d'utilité publique mais de sensibiliser tous les élus dits républicains aux associations d'autres confessions religieuses qui viendront un jour formuler des demandes de subventions à la porte de la mairie. Il faudra alors être cohérent et juste vis à vis d'associations musulmanes !
La suite :

http://hassen.chebili.over-blog.com/

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2010	Le Blog de Serge Lepeltier
Le nouveau Conseil Régional est installé. A la suite des dernières élections régionales, le nouveau Conseil Régional du Centre vient d’être installé. Lors de cette installation qui a vu l’élection du président et des vice-présidents mais également des différentes commissions, je suis devenu membre de la commission permanente et membre de la commission des finances. La commission permanente est un organe très important dans le fonctionnement de la Région. L’assemblée régionale peut déléguer certaines décisions à cette commission qui constitue en fait l’échelon de traitement des affaires courantes. Quant à la commission des finances, elle a pour objet d’élaborer le budget et d’en suivre son évolution tout au long de l’année. Ces fonctions me permettront d’accompagner au plus près les dossiers régionaux et d’en mesurer l’impact financier. Avec mes collègues du groupe Union pour la Région Centre, nous assurerons ainsi une opposition non pas systématique mais constructive afin de défendre nos idées, de développer nos projets et de porter nos valeurs. la suite :
http://www.sergelepeltier.fr/

	Le Blog d'Irène Félix
Conseil Municipal de Bourges Le dossier, ce soir, c'était encore l'urbanisme et principalement Avaricum. J'ai fait un peu "d'archéologie" pour rafraîchir la mémoire de tous. L'histoire remonte début 2001 ("à l'aube du troisième millénaire", ai-je dit en me faisant conteuse). Le 9 février 2001, pendant la campagne électorale, le Maire adresse un courrier aux 220 foyers du quartier s'engageant à ne pas détruire les 220 logements sociaux qui étaient construits là, où il n'y a plus qu'un trou et une immense palissade. Quelques mois plus tard et l'élection passée, changement de discours : dès octobre 2001, des réunions publiques annoncent la fin du quartier social. D'études en présentations, de combats pour obtenir la rénovation des logements sociaux en "expertises" diverses, la démolition est actée et un projet est choisi. Le 26 mars 2004, la Ville crée une Zone d'Aménagement Concerté pour "reloger sur le site ou à proximité immédiate tous les locataires, créer un hôtel, 5000 m² de surfaces commerciales et un parking de 1100 places" et lance une consultation en vue de désigner un aménageur. La gauche, qui vote contre le projet, déplore que le foncier disponible en centre ville serve de substitution aux démolitions programmées plutôt qu'à renforcer la place du logement social dans un quartier plutôt "bourgeois". Elle s'inquiète de l'aliénation (la vente) de l'espace public à un aménageur privé. Un an et demi plus tard, en octobre 2005, il faut supprimer le projet poiur lequel personne n'a répondu dans les termes prévus (pas de coût pour la ville). La ZAC est supprimée. En décembre, un nouveau projet de ZAC est mis en "concertation" pour être approuvé, toujours par la seule majorité municipale, le 29 mars 2006. Cette fois, il n'y a plus que "au minimum 30 logement sociaux" mais il y a 15000 m² de surface commerciale pour rentabiliser le parking de 1000 places. En cohérence aves nos positions précédentes, nous déplorons la réduction comme peau de chagrin du logement social et mettons en doute la faisabilité du parking sur 3 à 4 étages dans la nappe. De fait, 3 ans après, l'autorisation au titre de la loi sur l'eau n'était toujours pas donnée. Un engagement de vente intervient un peu plus tard avec la société Urbanisme et commerce, porteuse d'un projet de centre commercial assez séduisant ... sous réserve qu'il se fasse et qu'on soit un peu amnésique sur la question du logement social. Je m'inquiète cependant de l'esplanade privée qui sera close en soirée, proposant, lors des municipales, d'en refaire un espace public. Je propose aussi de renforcer la place du logement social sur le site. Sans lendemain. S'engagent alors les premiers gros travaux, à la charge de la ville : détournement du lit de l'Yèvrette qui traversait la parcelle, reconfiguration des réseaux, premières fouilles. Et là, coup de théâtre : on y trouve des restes de thermes, "d'ampleur européenne". Le Préfet de Région ne donne pas d'autorisation de construire et impose des fouilles complémentaires. La signature de la vente à l'aménageur devait intervenir avant le mois de novembre 2009. Constatant que les clauses suspensives de la vente ne seraient pas remplies à cette échéance (chantier de fouilles en cours et autorisation loi sur l'eau non parvenue), le délai est repoussé d'un an. Le parking sur trois étages est promis à l'abandon. En conséquences, le nombre de places doit être réduit, les surfaces commerciales aussi. Et c'est ainsi qu'est proposé au Conseil de ce jour une modification du dossier de la ZAC pour acter l'impossibilité de réaliser le projet initial : 320 à 450 places de parking, 9 000 à 11 000 m² de surfaces commerciales et "la possibilité d'avoir des logements sociaux" sans aucune indication de nombre. Concernant les découvertes archéologiques qui étaient il y a peu encore "d'ampleur européenne", il ne s'agirait plus désormais, "sur de très petites surfaces" que "de vestiges attribués à un vaste ensemble thermal". Avant même que la deuxième phase de fouilles ait eu lieu, on s'empresse de dégonfler le dossier pour ne surtout pas avoir à envisager une quelconque mise en valeur des restes archéologiques. Le centre commercial reste d'ampleur significative. Il aura besoin d'habitants à proximité pour compenser la baisse des flux : il serait donc judicieux de renforcer le logement sur le site. Il n'en est pas question. En fait, le projet doit changer et a changé. Juridiquement, peut-on considérer que l'aménageur choisi pour le projet de 2006 est forcément légitime pour un nouveau projet ? Ne faut-il pas plus substantiellement rebattre les cartes ? Prendre en compte les fouilles et d'abord attendre leur issue ? S'interroger, au moment où s'élabore le Plan de Déplacement Urbain sur la contribution de ce site au plan global ? aux évolutions urbaines ? et d'ailleurs, doit-on, près de 10 ans après, penser l'urbanisation de la même façon ? Et enfin, qu'est-ce que cela a, déjà, coûté à la ville et aux Berruyers, ce "trou" à tous les sens du terme ? la suite :
http://irenefelix.blogspirit.com/

	Le Blog de Yann Galut
Voilà ce que j'écrivais il y un an dans "Demain sera un autre jour", pp. 83-84-85. Aujourd’hui, avec la crise internationale, la question revêt une importance particulière. Comment en effet dans le contexte actuel de cette crise pourrait-on se priver de l’apport politique salutaire des revendications altermondialistes ? Comment éluder l’impact positif que la taxe Tobin aurait pu produire sur l’économie mondiale au cours de ces dix dernières années? La taxe Tobin, du nom du Prix Nobel américain d’économie James Tobin, qui consiste à taxer (entre 0,5% et 1%) toutes les transactions financières, est aussi une manière de décourager la spéculation financière et de dégager des recettes sur le dos de la mobilité – pour ne pas dire de la volatilité - internationale des capitaux et de la flexibilité des changes. La thèse de Tobin est à rapprocher de la pensée de John Maynard Keynes qui dans son opus sur la Théorie générale de l’emploi de l’intérêt de la monnaie, avançait déjà l’idée d’une taxe sur le capitalisme financier. Avec James Tobin, l’idée a fait son chemin. L’on sait maintenant que la mondialisation financière ne s’est pas imposée aux gouvernements mais qu’elle a été portée par ces derniers pour financer plus facilement leurs dettes. Le continent africain a payé un lourd tribut à cette externalisation de la dette des pays occidentaux, lorsque dans les années 1960 en pleine décolonisation, les États-Unis, la Royaume-Uni, la France, etc. avec la complicité de quelques chefs corrompus patentés, ont consenti des prêts à taux variables aux jeunes États africains constitués sur la voie de l’Indépendance. En quelques années,et sous les coups de boutoir des chocs pétroliers à partir de 1973, les taux d’intérêts se sont envolés asphyxiant un peu plus les jeunes économies africaines,semant la famine et les épidémies chez les populations les plus fragiles. la suite :
http://www.yann-galut.com/

	Le Blog de Yannick Bedin
Quelques dossiers ont donné l'occasion de débats nourris entre l'opposition et Serge Lepeltier. Je suis satisfait que nous ayons pu aborder la question des salaires et des conditions de travail du personnel municipal. Les agents de la ville sont en lutte pour la revalorisation de leur traitement indiciaire. Les négociations avec le maire sont engagées. Ils ont mon soutien le plus complet. Dans nos échanges, par la voix d'André Decourt et la mienne, le mal être au travail a pu être pour la première fois, l'objet d'une explication du maire. La réorganisation des services, qui masquent souvent des réductions d'effectifs et de moyens, est en effet l'occasion de changements de poste mal vécus par les agents concernés. Le maire s'est dit attentif à cette situation. Avaricum, le serpent de mer. Arrêtons les frais ai-je dit en substance à Mme Fenol qui présentait la délibération fixant les nouveaux contours du projet. Moins de parkings, diminution de la surface commerciale, flou total sur la construction de logements sociaux...le moins que l'on puisse dire c'est que la municipalité ne sait pas où elle va. Les fouilles archéologiques minent le projet initial tout comme les eaux du sous sol. "On ne peut pas arrêter les frais" me répond l'adjointe. Voilà qui n'est pas rassurant. J'ai demandé un premier bilan des fonds engagés et une remise à plat de l'ensemble. J'ai fait part de l'inquiétude des Berruyers à l'heure où le maire engage un nouveau projet pharaonique, le Palais des sports. Ecole Sembat A. Cette école ne fonctionne plus depuis 2003 mais elle accueille une structure de loisirs pour les enfants et l'accueil avant et après classe. La ville s'en débarrasse pour y construire des logements sociaux. J'ai demandé à ce que le maire garantisse la poursuite de l'accueil des enfants au moins jusqu'à la fin de l'année scolaire. En vain. Je m'étonne toujours du manque de vision du maire en matière d'urbanisme qui ne pense qu'à construire sans réfléchir aux espaces de lien social et de service public nécessaires à la vie d'un quartier. Celui de Sembat, qui se densifie et se renouvelle, est particulièrement mal servi en services publics. Sembat A aurait pu accueillir un pôle de service avec l'accueil, le centre de loisirs et courte échelle (accueil parents-enfants) supprimé il y a peu. Sans compter que l'arrivée de nouvelles familles dans le quartier risque de rendre nécessaire d'ouvrir des classes et qu'il aurait été judicieux de garder en réserve cette école. la suite : h
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	Le Blog de Roland Narboux
Dans le cadre du projet Avaricum, Irène Félix a fait de l'Histoire à la manière de l'Encyclopédie de Bourges (merci pour la contribution) et il faut se poser plusieurs questions : - sur le projet commercial il n'y a pas de changement notoire, la surface commerciale vers 10 000 mètres carrés et les 350 places de parking (450 peut être ?) sont conformes à la revalorisation du centre ville, surtout si les enseignes sont attractives... et au rendez-vous. - Sur les logements et la résidence hôtelière, 20, 30 ou 40 logements sociaux en centre ville, c'est bien quelque soit le chiffre, car le nombre de logements sociaux dans le Centre de Bourges est tel que le contrat est rempli. Les locataires à faible revenu peuvent désormais (Bouillet, Beauvoir, Hôtel Dieu ... etc ) s'ils le veulent habiter en centre ville et ne plus être cantonnés dans le Bourges nord comme ce fut le cas dans les années 1980. - Quant au parking de 1000 places, prévu depuis l'an 2000, il s'agissait de donner au centre ville d'une manière presque indépendante du centre commercial 500 à 600 places supplémentaires en centre ville afin d'ajouter cela à Séraucourt, Hôtel Dieu et Anatole France et Cujas. Et ce manque pourrait devenir dramatique pour le Bourges de 2030! Une certaine archéologie peut-elle faire mourir à petit feu uhe ville, c'est semble-t-il aujourd'hui possible, à moins que les Berruyers se convertissent au vélo ou à la marche à pied. Aujourd'hui ils n'en sont pas là, c'est dommage mais c'est la réalité.
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2010	Le Blog de Philippe Bensac
POURQUOI LE CANTON V ? PARCE QUE J'Y VIS ! il y a 7 heures 1 commentaire Pour ne pas être déçu, ne rien espérer ? Souvent les responsables politiques promettent à distance et ne tiennent pas à proximité. Alors, les citoyens ne se rendent plus aux urnes. Ils n'espèrent plus rien et ne seront donc pas déçus. Je me présente dans le canton 5 à l'occasion des élections qui se tiendront en mars 2011. Conseiller général, pourquoi ? pour qui ? Pour redonner l'espoir à toutes celles et tous ceux, qui, légitimement, ne veulent plus être déçus. Je vais ainsi décliner ma campagne en trois temps bien distincts : la prise de contact, le débat, les propositions. Je commence donc par vous rencontrer, électrices et électeurs de cette parcelle de la Ville de Bourges. Non parce que je ne vous connais pas, mais pour me présenter à vous, individuellement. Je travaille tous les jours dans ce canton où se situe mon cabinet professionnel. Je tiens une permanence d'élu au 205, route de Saint-Michel tous les jeudi en fin d'après midi, je suis présent au marché Saint-Bonnet pratiquement chaque dimanche entre 11h30 et 13h. Mais je veux passer chez vous, faire connaissance de façon approfondie, m'entretenir avec vous et vous poser les bonnes questions. Dans le même ordre d'idée, je vous propose de me joindre personnellement par téléphone au : 06 98 92 27 46 pour organiser une réunion d'information chez vous avec vos amis, vos voisins, votre famille... Alors n'hésitez pas, appelez et nous trouverons ensemble la bonne date. Bien sûr, je vais prendre beaucoup d'autres initiatives pendant ces 10 mois de campagne électorale, notamment à la rentrée prochaine, lorsque d'autres candidat(e)s se détermineront. Mais pour l'heure, c'est entre vous et moi. Alors à bientôt. la suite :
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2010	Le Blog de Hassen Chebili
Laïcité, je vote ton nom ! Le conseil municipal de Bourges est devenu le rendez-vous mensuel de la politique locale. Après deux années de pratique en tant que conseiller municipal, je me suis habitué à la mécanique des délibérations proposées. On doit bien reconnaître que l'opposition municipale de Bourges est très rarement à la hauteur de ses prétentions politiques. On pourrait se dire qu'un conseil municipal en cache un autre ! Au menu ce vendredi : une liste de délibérations sur des sujets récurrents. J'aurai tout de même une réflexion sur le sujets des versements de subventions à des Associations cultuelles (je n'ai pas dit culturelles mais religieuses). L'extrême gauche représentée par Colette Cordat a coutûme de ne pas voter pour des délibérations concernant des associations religieuses qui mènent des actions dites d'interêt général. Et malgré les ricanements de certains élus concernant le choix de l'extrême gauche, je m'interroge sérieusement pour l'avenir sur ce sujet épineux. Une délibération de subvention va pouvoir accorder une subvention de 4 000 euros au Secours Catholique pour des actions spécifiques d'accompagnement de migrants. Je ne veux pas parler ici du bien fondé de ce travail d'utilité publique mais de sensibiliser tous les élus dits républicains aux associations d'autres confessions religieuses qui viendront un jour formuler des demandes de subventions à la porte de la mairie. Il faudra alors être cohérent et juste vis à vis d'associations musulmanes ! La suite :
http://hassen.chebili.over-blog.com/