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HEBDO PLUS,

LES RYTHMES SCOLAIRES DE BOURGES

La ville de Bourges et son maire Serge Lepeltier ont proposé le 30 mars à l'Inspecteur d'Académie dont le nouveau titre est Directeur Académique des Services de l'Education Nationale la nouvelle organisation de la semaine scolaire à Bourges dès la rentrée 2013 :
- 4 journées (L M J V de 8 h 45 à 11 h 30 et de 13 h 30 à 16 h 30.
- le mercredi de 8 h 45 à 11 h 30
- Un après midi parmi les 4 journées sera organisé avec l'activité scolaire de 13 h 30 à 14 h 45 suivi d'un atelier de 14 h 45 à 16 h 30.(sport et / ou culture)
La balle est désormais à l'Education Nationale.

Timbre 1 er jour au Muséum sur les chauves souris.

Brèves de Printemps DE BOURGES

Patti Smith a Bourges pour son spectacle a la Cathédrale, a pris un peu de temps pour s'en aller dans les Marais de Bourges et conduite par Denis Julien, elle a parcouru quelques coulants en barque.

La crise, pour Daniel Colling, pour l'instant n'atteint pas encore le spectacle vivant. "on ne se plaint pas trop, surtout pour les gros spectacles".

Le temps fut très contrasté, et l'an dernier, F. Hollande est venu au Printemps, il pleuvait.... Cette année, devenu President, il envoie a Bourges sa ministre de la culture et .... Il pleut.

LES POLITIQUES AU PRINTEMPS DE BOURGES

La ministre de la culture Aurélie Philippetti, est venue, mais le maire de Paris, Bertrand Delanoë, a fait faux bond.

Toujours à gauche, Pierre Laurent le patron du PC est venu voir les jeunes et les militants, il était entouré de Nicolas Sansu, Jean Claude Sandrier,François Dumont et Yannick Bedin.
A droite ce fut le calme plat même Nadine Morano , casse cou de la politique n'est pas venue.

Trêve du Printemps de Bourges pour les politiques locaux, qui se sont promené dans les allées du festival avec leur ministre et l'attente la plus importante est la visite de la ministre de la culture Aurélie Philippetti, qui est restée à Bourges vendredi pour la Maison de la Culture pour laquelle le ministère a donné son accord total pour une nouvelle implantation vers Jean Boin et pour voir les travaux de la Cathédrale.

CONSEIL MUNICIPAL DE BOURGES

Conseil municipal ce lundi, avec a l'ordre du jour des délibérations qui ne sont pas fondamentale., mais cela a permis de faire le point sur les rythmes scolaires de Bourges et sur le livre blanc de la Défense.
- les travaux avenue de Lattre de Tassigny.
- des tarifs au centre nautique.
- une servitude a Manoir Industrie.
- Les tarifs des Centres de loisirs.
- Les tarifs au Conservatoire de Musique et de danse.
- des subventions aux associatons de maraîchers.
Nous reviendrons sur ces sujets la semaine prochaine.

LE PRINTEMPS DE BOURGES ... EST TERMINE

Le 37 ieme Printemps de Bourges a commencé avec "M" sous un "W" bien rempli, et une super ambiance et s'est terminé de la même façon avec Sexion d'Assaut.
Des spectacles avec beaucoup de connivence avec le public dans le nouveau chapiteau de 6500 places.

Beaucoup de monde aussi dans les allées du Printemps du mardi soir, et des 2 jours suivants, avec un temps idéal pour la balade, et les stands de kebab et autres chichis étaient déjà pris d'assaut. Un bon démarrage.
Auparavant au Magic Miror, le maire Serge Lepeltier recevait ses invités pour une sorte d'ouverture officielle du festival, puisqu'il y avait le préfet du Cher, le President du Conseil général du Cher, des élus de tous bord et le directeur - fondateur du festival Daniel Colling. Dans les discours assez courts, Serge Lepeltier a souligné que c'était son dernier Printemps comme maire de la ville alors que Daniel Colling lui rendait hommage ainsi qu'a la ville qui a l'a toujours aidé.
POUR CEUX QUI ONT RATE DES EPISODES DE LA SEMAINE DERNIERE

UN EVENEMENT CHAUVES SOURIS A BOURGES

Avec un timbre 1 er jour
"1er jour timbres Chauves-souris" au Muséum de Bourges.c'était du vendredi 19 et samedi 20 avril.
C'est aussi une consécration pour le travail de Michèle Lemaire et Laurent Arthur qui se donnent à ces chiroptères depuis plusieurs décennies.
La Poste et le Cercle Philatélique de Bourges proposèrent à la vente des timbres chauves-souris à l'occasion de leur sortie nationale.
Et le succès fut tel qu'il y eut rupture de stock sur les planches de 4 timbres.
Exposition philatélique consacrée aux chauves-souris.

Benesté .... A BOURGES

is.Première image du Printemps de Bourges Info avec l'affiche de Bénesté et deux fans !

L'OFFICE DE TOURISME AU TOP A BOURGES

Ce lundi 15 avril s'est déroulé à Lahitolle, l'assemblée générale de l'Office de Tourisme, une structure bien subventionnée par la ville de Bourges et qui a pour président Jean Claude Leray et pour directeur Alain Ferrandon, secondé par Emmanuelle Gau.
La saison 2012 fut bonne, avec un accroissement à Bourges du nombre de touristes. L'année 2013 s'annonce plus difficile.

EXPOSITION AU PALAIS JACQUES COEUR DE BOURGES

Une exposition avec l'Ecole des Beaux Arts de Bourges a été présentée la semaine dernière, et ces sont des oeuvres originales, résolument moderne que le visiteur ou le touriste pour voir par une déambulation dans les pièces du palais de monseigneur l'Argentier.
Pour les deux parcours de' "nouveau reflet", c'est un projet de Yoan Allemans avec l'ENSA de Bourges comme partenaire.

Dans son discours d'ouverture, M. Edward de Lumley a signalé la difficulté de faire ce type d'exposition, alors que des visiteurs viennent sur les traces de Jacques Coeur et découvrent de l'art contemporain qui les surprend et parfois, comme cela se passe à Versailles, les indigne, par un mélange des genres.
Jusqu’au dimanche 28 avril
De 10h à 12h15 et de 14h à 18h
"Palémétrèbo" (travaux d’étudiants de l’Ecole Nationale d’Arts)
Palais Jacques-Coeur, rue Jacques-Coeur, une initiative intéressante.
Rechercher dans Bourges-info un sujet donné :

PAGE 3 : LES BLOGS POLITIQUES DE BOURGES
2013
Le Blog de Serge Lepeltier

Le bassin extérieur du centre nautique ouvre cette semaine !
Le centre nautique, appelé désormais Centre Nautique Raymond BOISDÉ (l’ancien maire de Bourges l’avait inauguré en 1968), a été rénové pour des raisons de modernisation et de mise aux normes.
Dans un premier temps, le bassin extérieur sera rendu au public à partir du 02 mai prochain.
Ce bassin en inox, d’une longueur de 50 mètres et comportant huit lignes d’eau sur 1,80 mètre de profondeur, est aux normes pour recevoir des compétitions nationales.
Il est doté d’un système de bâche permettant la conservation de la température de l’eau constante à 28° C, et sera donc utilisable toute l’année.
Dans un deuxième temps, ce sera l’ensemble du bâtiment qui sera ouvert à la fin de l’année (locaux pour associations, vestiaires, sanitaires, douches, infirmerie, locaux techniques).
Ainsi, tous les différents publics, clubs sportifs, scolaires et grand public, pourront être accueillis dans un nouveau centre nautique vraiment remarquable.
Le coût de cet équipement pour la Ville de Bourges est de près de 11 millions TTC, avec le soutien du Conseil Général et du Conseil Régional.
C’est un véritable engagement que nous prenons au quotidien pour les Berruyers et pour la pratique du sport à Bourges.
La suite :

http://www.sergelepeltier.fr/

Le Blog d'Irène Félix

Yann Galut était ce matin à l'Agence Régionale de Santé à Orléans pour défendre l'hôpital de Saint-Amand.
Je veux redire ici que ce combat est un bon combat, tant la proximité est importante pour une prise en charge efficace et humaine de la santé de nos concitoyens. Que tous restent mobilisés.
Le Conseil National du PS avait pour principal point à l'ordre du jour le choix d'une méthode et d'un calendrier pour les élections municipales. En y allant, nous savions pourtant que le plus important ne serait pas cela, mais plutôt de serrer les rangs autour du gouvernement dans la tourmente actuelle. L'intervention de Jean-Marc Ayrault, en début de conseil, permettait de rappeler les avancées des dix derniers mois, trop souvent occultées : imposition équivalente du capital et du travail, emplois d'avenir, banque publique d'investissement, plan pour l'école, ...
L'arrivée d'une délégation d'ouvrier de PSA-Aulnay a changé la tournure du Conseil. Après quelques instants de flottement, la délégation a été invitée à prendre la parole. Elle a été souvent applaudie, dans son combat, par les membres du Conseil puis a été reçue par Harlem Désir.
Les interventions qui ont suivi ont-elles vraiment changé de ton ? Oui, bien sûr, mais pas tant que cela, tant nous savons bien que l'emploi est la principale préoccupation de nos concitoyens et le point sur lequel se cristallise, avec le pouvoir d'achat, toutes les impatiences.

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http://irenefelix.blogspirit.com/

Le Blog de Pascal Blanc

Bourges s'est parée de ses habits de fête, le centre-ville est métamorphosé. Tout est prêt pour le premier festival de la chanson de l'année 2013. Dès mardi résonneront les premières notes. Des centaines de milliers de festivaliers vont déferler dans les rues. Le Printemps est arrivé dans notre ville.
37 Printemps ! Ce rendez-vous musical où se côtoient artistes amateurs et artistes confirmés, festivaliers venus de toute la France et Berruyers, est devenu un rendez-vous incontournable pour notre ville. Pendant 5 jours, les habitudes sont rompues. La vie des Berruyers est rythmée par celle du festival. Les bars de Bourges ne désemplissent pas. Des orchestres, des danseurs, des chanteurs viennent s'y produire. On assiste à un spectacle permanent à chaque coin de la ville. Les prestations sont hétéroclites, variées parfois surprenantes. Inlassablement la foule arpente les rues de la ville et les sites du Printemps. De midi à 4 heures, la ville appartient au Printemps. Les couchages de fortune s'amoncèlent dans la Trouée verte. Ils sont plusieurs milliers à se retrouver là, tous les soirs…ou plutôt, au petit matin !
5 jours, c'est vite passé. 5 jours d'une intensité exceptionnelle.
Et puis le rideau tombe sur la scène du grand spectacle. Étonnement, la métamorphose inverse s'opère extraordinairement vite. En quelques jours, la ville retrouve son calme. Les services de la Ville, exténués par les travaux de préparation, de nettoyage et d'entretien, jettent ce qu'il leur reste d'énergie pour démonter et ranger, remettre en ordre les rues et les espaces publics. Bourges redevient paisible. Un brin de nostalgie vient effleurer les esprits mais vite, il faut penser au 38ème Printemps !
En attendant, je serai présent sur le Printemps : les scènes ouvertes, les bars et les restaurants, les places et les rues, les stands et le W n'auront plus de secret pour moi dimanche soir. Au contact permanent avec la population pendant cette semaine de fête dans la ville, je vais vivre intensément le Printemps de Bourges.
J'aime ma ville. Je suis fier d'être Berruyer. J'aime Bourges pour ce qu'elle est, pour ce qu'elle m'apporte. J'aime ses habitants. J'aime ces moments de folie et de partage. C'est dans tout cela que je trouve l'énergie nécessaire à mon implication journalière pour le bien des Berruyères et des Berruyers. Il me semble que cette ressource est inépuisable. C'est la raison pour laquelle je désire m'investir encore davantage tous les jours. C'est un simple et naturel retour des choses.

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http://pascalblanc.wordpress.com/

Le Blog de Yann Galut

En tant que responsable du groupe de travail Exil fiscal au sein du groupe PS de l'Assemblée nationale j'ai déposé avec plusieurs collègues socialistes il y a 15 jours une proposition de loi assez offensive pour lutter contre l'évasion fiscale. Plusieurs des mesures que nous avions présentées ont été reprises dans le projet de loi présenté ce jour en conseil des ministres. Les avancées sont notables même si il me semble nécessaire de les compléter dans le cadre du travail parlementaire.
Il est important de souligner dans un premier temps qu'à travers ce texte, la lutte contre la fraude fiscale apparait enfin comme une réelle priorité après des années d'atermoiements et de contrefeux au plus haut sommet de l'Etat.
Il faut saluer des mesures extrêmement positives avec notamment la création d' " un office central de lutte contre la fraude et la corruption " et le renfort substantiel en terme de magistrats, d'enquêteurs de police judiciaire et de vérificateurs de l'administration fiscale affectés à cette mission.
Plusieurs de nos propositions reprises dans le texte gouvernemental
Une de nos premières propositions a été reprise visant à instaurer une nouvelle circonstance aggravante avec l'établissement d'un délit de fraude fiscale en bande organisée. Les peines encourues seront ainsi considérablement accrues (7 ans d'emprisonnement et 2 millions d'euros d'amende) et les enquêteurs pourront désormais recourir à la surveillance, l'infiltration…
Nous saluons également la reprise de notre proposition concernant l'alignement des peines prévues pour les personnes morales sur celles applicables aux personnes physiques. La possibilité sera ainsi ouverte de condamner les personnes morales en cas de blanchiment à la peine complémentaire de la confiscation de leur entier patrimoine.
Enfin, notre souhait de permettre l'utilisation des informations d'origine illicite, dès lors qu'elles lui parviennent par l'autorité judiciaire ou par la voie de l'assistance administrative, a été également entendu. La fameuse liste HSBC et ses 3000 noms d'évadés fiscaux français serait désormais exploitable.
Des amendements pour faire sauter le verrou de Bercy
Nous constatons cependant que sur certains points le gouvernement n'est pas allé assez loin notamment en ce qui concerne la saisine de la justice qui continuera de dépendre du fisc.
En effet, nous plaidons pour la suppression du système de la CIF et de la plainte préalable obligatoire du ministre du budget pour les faits de fraude fiscale.
Aujourd'hui, en matière de fraude fiscale, le procureur de la République ne peut pas déclencher d'enquête ; il peut seulement être saisi par l'administration fiscale, par le biais d'une procédure très lourde et verrouillée. Il en résulte une exception à un principe essentiel de la procédure pénale française, le principe d'opportunité des poursuites dévolu au parquet.
L'engagement des poursuites est subordonné à l'existence d'une plainte préalable du ministre du budget, elle-même soumise à l'autorisation de la commission des infractions fiscales, la fameuse CIF. Cette succession de filtres limite drastiquement les poursuites pénales pour fraude fiscale.
C'est pourquoi, je prévois de proposer avec d'autres députés socialistes une série d'amendements au texte gouvernemental pour améliorer ce texte dans cette direction.
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http://www.yann-galut.com/

2013 Le Blog de Yannick Bedin

Un Printemps très politique
Jamais peut-être la politique n'a eu autant de place que cette année sur le Printemps de Bourges, et ce, malgré l'absence de la plupart des dirigeants politiques, qui en l'absence d'élections nationales, n'ont pas cru bon de se venir sur le festival berruyer. A part Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, aucun "chef de parti" n'a fait le déplacement. Pourtant comme l'écrit le Syndicat National des Entreprises Artistiques et Culturelles dans une tribune publiée hier dans le Monde : "Au plan national, la Culture n'est pas une question annexe. Si l'Art est marginalisé, cela ne signifie pas seulement une crise de la politique culturelle, cela constitue une crise de la politique."
Pierre Laurent, que j'ai eu le plaisir d'accompagner dans sa visite au Printemps de Bourges, l'a bien compris.
Il a tenu à découvrir le festival et à rencontrer les acteurs de la vie culturelle à Bourges. Toutes les structures étaient représentées dans la table ronde que j'ai organisée à cette occasion. Je vous renvoie à la tribune de Pierre Laurent publiée dans l'Huma ainsi qu'à notre hebdomadaire 18, qui donnent la mesure de l'engagement majeur des communistes au service de la culture.
La ministre de la culture est venue elle aussi. Exercice difficile de parcourir un événement comme le Printemps de Bourges dans un contexte marqué par des coupes claires dans son budget qui diminue cette année de 4,5%. C'est inédit dans l'histoire de ce ministère ! La politique culturelle risque aussi de pâtir de la baisse des dotations de l'État aux collectivités : il faut savoir que sur 10 milliards dépensés pour la culture, 7 sont assurés par les collectivités et 3 par l'État. La politique d'austérité, dans ce domaine comme dans d'autres, va faire des dégâts si on ne change pas d'orientation.
Mais c'est sur le dossier de la Maison de la culture de Bourges que la ministre était attendue. Jeudi lors de la visite de Pierre Laurent, l'inquiétude était perceptible chez plusieurs de ses interlocuteurs suite à un article du Monde.fr publié le même jour et où il était écrit : "Mais sans doute aussi faudra-t-il encore convaincre de l'intérêt d'une construction ex-nihilo. Depuis deux ans, la Maison de la culture vit en effet "hors les murs" en programmant ses spectacles dans les différentes salles de la ville (l'Auditorium, le théâtre Jacques-Cœur, le Hublot…). Irène Félix imagine bien les choses continuer ainsi. " Fort heureusement, l'article a été remanié le lendemain et l'affirmation d'Irène Félix enlevée. Rétropédalage ou erreur du journaliste ? En tout cas Aurélie Filippetti, ministre de la culture, semble s'engager en faveur du projet de construction d'un nouvel équipement ce dont je me félicite. Car l'enjeu est bien que la Maison de la culture reste scène nationale et qu'elle offre les conditions d'accès aux œuvres du spectacle vivant et du cinéma dans des conditions dignes de notre époque. On sait que le hors les murs ne le permettra pas à terme ; il n'y a pas d'autres choix que de s'engager résolument dans la construction d'un nouvel équipement.
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ttp://www.yannick-bedin.org/
2013 Le Blog de Roland Narboux

"Le mur des cons" m'a beaucoup choqué, c'est un panneau situé dans le local national du Syndicat de la Magistrature.
Venant de potaches, de marginaux, de révolutionnaires, de simples d'esprits comme l'on disait autrefois ..... Cela ne m'aurait pas gêné, surtout dans un domaine privé. Mais ce mur n'a pas été fait par des quidams lambda plus ou moins inspirés, mais par des Magistrats avec un grand M. Des gens respectables que chacun doit respecter, ils sont pour le commun des mortels, la Loi ! Ce sont eux qui vous jugent si vous avez fait une bêtise, petite ou grosse. Et ils se comportent en personnages de la pire espèce.
Notre justice est malade, nous le savons, mais cette fois elle est a la fois perfide et politisée, chacun est effrayée par ces magistrats.
Sur ce mur, des hommes politiques de droite bien entendu, mais certains ont le cuir dur, et cela ne leur fera pas grand chose. Mais il y a deux pères de famille sur ce mur dont l'enfant a été assassiné. Et ce sont des magistrats qui ont osé mettre leur nom et portrait sur ce mur des cons.
Les auteurs de ce mur devrait si de bonnes lois existaient être condamnés.
Nota : j'entends de bonnes âmes de gauche penser que ce n'est pas grave, mais si des photos d'hommes de gauche avaient subi les même sort.....
Vraiment, c'est le mur de la honte, et ce sont des magistrats qui l'on fait ! LAMENTABLE.
a suivre

blog de roland narboux

2013
Le Blog de Philippe Bensac

LE RAPPORT QUI DERANGE ou quand les fonctionnaires voient "clair"Le rapport secret de l'inspection générale des finances
C'est à François Fillon et Nicolas Sarkozy que l'IGF (inspection générale des finances de Bercy) a livré ce rapport secret juste avant le débarquement de François Hollande et Jean-Marc Ayrault. C'était en mai 2012. Explosif, ce rapport brise tous les tabous.
Non seulement il n'a jamais été publié, mais chaque exemplaire de ce rapport a été marqué en filigrane afin de pouvoir identifier les fuites.
Des fuites, il y en a eu malgré tout. ..
Le rapport secret de l'IGF fut commandé par Monsieur Fillon. Quand Monsieur Ayrault a débarqué à Matignon ce rapport était là, tout en-haut de la pile. Mais le gouvernement socialiste n'a pas publié ce rapport et ne le fera sans doute jamais. On doit ce rapport secret à Jean-Michel Charpin, économiste français, polytechnicien,ancien directeur de l'INSEE et actuellement inspecteur général des finances.
Une partie de ce rapport est publié dans le livre " 60 milliards d'économies " de Agnès Verdier-Molinié, directrice de la " fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques " aux éditions Albin Michel.
Que contient ce fameux rapport ?
Tout commence par ce constat : depuis 40 ans, quand l'État prélève 100 euros sur les ménages et les entreprises, 110 euros sont dépensés.
Résultat : la dette publique atteint 1833.8 milliards fin 2012 soit 90.2 % du PIB (produit intérieur brut). A partir de 100 % du PIB, la dette publique est jugée insoutenable par de nombreux économistes. Aujourd'hui, la France est toute proche de ce seuil fatidique, de ce " no man's land " économique à haut risque.
La solution proposée par l'IGF : réduire drastiquement les dépenses publiques.
Comment ? Émanant des hauts fonctionnaires c'est surprenant. En effet, ils proposent de scier la branche sur laquelle ils sont assis.
Alors que le gouvernement a supprimé le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux, l'IGF propose de ne plus embaucher aucun fonctionnaire au niveau de l'État et ne pas remplacer deux fonctionnaires sur trois qui partent à la retraite. Ça commence très fort et on comprend pourquoi ce rapport dérange autant. L'inspection propose aussi de ramener les primes des agents des services publics au niveau de 2008 et de ralentir la progression des fonctionnaires dans les échelons hiérarchiques.
Elle suggère de supprimer le supplément familial attribué automatiquement dès le premier enfant dans les trois fonctions publiques : l'État, le territoire, l'hôpital. Grosse économie de 1.3 milliards car le montant de ce versement est proportionnel au traitement de l'agent public et avantage donc les hautes rémunérations. L'IGF évoque une baisse de 10% des indemnités des parlementaires et propose de plafonner les rémunérations des personnels de l'État à 13 000 euros par mois ou 160 000 euros par an.
En 5 ans, les traitements des hauts fonctionnaires pour les catégories les plus élevés ont augmenté de 40% passant de 110 00 à 160 000 euros ! Après avoir pris 50 000 euros, les hauts fonctionnaires sifflent la fin du match.
L'inspection prône une baisse de 10% des traitements des agents supérieurs à 125000 euros, là les hauts fonctionnaires sont impactés.
L'IGF préconise de limiter les retours sur économies à 25%. En effet, 65% des économies réalisées par le non-remplacement de un fonctionnaire sur deux ont été redistribués aux agents de l'État par le biais de grosses augmentations afin de faire passer la réforme auprès des syndicats. Une vraie folie !
L'IGF propose de baisser de 2% les aides au logement (APL), les allocations aux adultes handicapés (AHH), les retraites SNCF ou les prestations aux anciens combattants. Économies : 3.2 milliards !
Elle propose enfin de faire passer des chasseurs de dépenses (bureautique, papeterie, transports) dans chaque administration pour réduire les dépenses inutiles.
Une sortie de crise sans hausse des impôts
Au total, toutes ces mesures permettraient de réaliser près de 19 milliards d'économies chaque année !
On le voit bien, une sortie de crise est possible. Ces 19 milliards permettraient au gouvernement d'atteindre facilement l'objectif des 3% de déficit imposés par Bruxelles. Pour rappel, ces 3% correspondent à la règle d'or de Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. Règle d'or décriée par François Hollande mais adoptée dès qu'il était élu président.
Ces 19 milliards permettraient non seulement d'atteindre ces objectifs, mais surtout sans augmentation des impôts et donc sans miner la croissance économique française déjà fragile.
Lancée par la très sérieuse inspection générale des finances de Bercy, ce signal d'alarme pour les finances publiques pourrait être le dernier avertissement. En effet, l'impossibilité pour les gouvernements de droite comme de gauche d'entreprendre de vraies réformes en France est un réel problème.Trop souvent, l'égoïsme de chacun prime sur l'intérêt général du pays, il ne faut pas l'oublier.
Certains hauts fonctionnaires ont compris que l'heure de réformer l'État a sonné. Ils le font savoir car ils savent que la France ne peut plus continuer à dépenser toujours davantage.
C'est la réforme de l'État, de la protection sociale et de l'organisation territoriale qu'il faut engager dès aujourd'hui.
Nous pouvons nous poser d'autres questions : pourquoi François Fillon avait-t-il demandé à l'IGF d'auditer nos finances publiques ?
Si Nicolas Sarkozy avait été réélu président, qu'aurait-il fait de ce rapport ?

la suite :

http://philippebensac.vox.com

2012
Le Blog de Hassen Chebili

lJeudi 11 avril 2013
Adieu Mon "Cher" Commerce !
Depuis le 3 avril 2013, la Commission Départementale d'Aménagement Commercial du Cher (CDAC) a annoncé la mort du projet d'Avaricum, de la zone commerciale "Géant", du Pôle Commercial et Tertiaire de la Chancellerie... Non, non ce n'est un poisson d'avril mais un "poison économique".
La CDAC a donc donné un avis favorable à l'unanimité à l'implantation d'un nouveau parc commercial surnommé de Varye de 16 000 M2 avec 17 boutiques route d'Orléans sur la commune de Saint-Doulchard. Danièle Serre, maire-adjoint chargée de l'artisanat et du commerce à Bourges, a participé à cette commission en votant "pour", façon de renvoyer l'ascenseur à la mairie de Saint-Doulchard pour son vote très favorable pour le projet Avaricum. Maintenant, je sais à quoi "Serre" notre maire-adjoint de Bourges à créer des déserts commerciaux sur Bourges ! Comme les Zones Franches sur Bourges pour les professions médicales, ce futur projet en 2015 va créer des déserts commerciaux ! Avaricum, 9500 M2, risque de ne pas sortir de son archéologie politique et économique, le centre ville de Bourges se transformera en galerie-non marchande version rue d'Auron, le Pôle Commercial de la Chancellerie deviendrait un Point Rencontre Social, et et l'hypermarché Géant actuellement en pleine extension finirait par se transformer en haricot commercial... Les commerçants du centre ville et l'association "Mon Cher Vélo" ont déjà pointé du doigt l'incohérence des projets Avaricum et De Varye. On pourra bien sûr nous parler de Plan de Déplacement Urbain (PDU) ou de Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT)...

http://hassen.chebili.over-blog.com/

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2013	Le Blog de Serge Lepeltier
Le bassin extérieur du centre nautique ouvre cette semaine ! Le centre nautique, appelé désormais Centre Nautique Raymond BOISDÉ (l’ancien maire de Bourges l’avait inauguré en 1968), a été rénové pour des raisons de modernisation et de mise aux normes. Dans un premier temps, le bassin extérieur sera rendu au public à partir du 02 mai prochain. Ce bassin en inox, d’une longueur de 50 mètres et comportant huit lignes d’eau sur 1,80 mètre de profondeur, est aux normes pour recevoir des compétitions nationales. Il est doté d’un système de bâche permettant la conservation de la température de l’eau constante à 28° C, et sera donc utilisable toute l’année. Dans un deuxième temps, ce sera l’ensemble du bâtiment qui sera ouvert à la fin de l’année (locaux pour associations, vestiaires, sanitaires, douches, infirmerie, locaux techniques). Ainsi, tous les différents publics, clubs sportifs, scolaires et grand public, pourront être accueillis dans un nouveau centre nautique vraiment remarquable. Le coût de cet équipement pour la Ville de Bourges est de près de 11 millions TTC, avec le soutien du Conseil Général et du Conseil Régional. C’est un véritable engagement que nous prenons au quotidien pour les Berruyers et pour la pratique du sport à Bourges. La suite :
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	Le Blog d'Irène Félix
Yann Galut était ce matin à l'Agence Régionale de Santé à Orléans pour défendre l'hôpital de Saint-Amand. Je veux redire ici que ce combat est un bon combat, tant la proximité est importante pour une prise en charge efficace et humaine de la santé de nos concitoyens. Que tous restent mobilisés. Le Conseil National du PS avait pour principal point à l'ordre du jour le choix d'une méthode et d'un calendrier pour les élections municipales. En y allant, nous savions pourtant que le plus important ne serait pas cela, mais plutôt de serrer les rangs autour du gouvernement dans la tourmente actuelle. L'intervention de Jean-Marc Ayrault, en début de conseil, permettait de rappeler les avancées des dix derniers mois, trop souvent occultées : imposition équivalente du capital et du travail, emplois d'avenir, banque publique d'investissement, plan pour l'école, ... L'arrivée d'une délégation d'ouvrier de PSA-Aulnay a changé la tournure du Conseil. Après quelques instants de flottement, la délégation a été invitée à prendre la parole. Elle a été souvent applaudie, dans son combat, par les membres du Conseil puis a été reçue par Harlem Désir. Les interventions qui ont suivi ont-elles vraiment changé de ton ? Oui, bien sûr, mais pas tant que cela, tant nous savons bien que l'emploi est la principale préoccupation de nos concitoyens et le point sur lequel se cristallise, avec le pouvoir d'achat, toutes les impatiences. La suite
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Bourges s'est parée de ses habits de fête, le centre-ville est métamorphosé. Tout est prêt pour le premier festival de la chanson de l'année 2013. Dès mardi résonneront les premières notes. Des centaines de milliers de festivaliers vont déferler dans les rues. Le Printemps est arrivé dans notre ville. 37 Printemps ! Ce rendez-vous musical où se côtoient artistes amateurs et artistes confirmés, festivaliers venus de toute la France et Berruyers, est devenu un rendez-vous incontournable pour notre ville. Pendant 5 jours, les habitudes sont rompues. La vie des Berruyers est rythmée par celle du festival. Les bars de Bourges ne désemplissent pas. Des orchestres, des danseurs, des chanteurs viennent s'y produire. On assiste à un spectacle permanent à chaque coin de la ville. Les prestations sont hétéroclites, variées parfois surprenantes. Inlassablement la foule arpente les rues de la ville et les sites du Printemps. De midi à 4 heures, la ville appartient au Printemps. Les couchages de fortune s'amoncèlent dans la Trouée verte. Ils sont plusieurs milliers à se retrouver là, tous les soirs…ou plutôt, au petit matin ! 5 jours, c'est vite passé. 5 jours d'une intensité exceptionnelle. Et puis le rideau tombe sur la scène du grand spectacle. Étonnement, la métamorphose inverse s'opère extraordinairement vite. En quelques jours, la ville retrouve son calme. Les services de la Ville, exténués par les travaux de préparation, de nettoyage et d'entretien, jettent ce qu'il leur reste d'énergie pour démonter et ranger, remettre en ordre les rues et les espaces publics. Bourges redevient paisible. Un brin de nostalgie vient effleurer les esprits mais vite, il faut penser au 38ème Printemps ! En attendant, je serai présent sur le Printemps : les scènes ouvertes, les bars et les restaurants, les places et les rues, les stands et le W n'auront plus de secret pour moi dimanche soir. Au contact permanent avec la population pendant cette semaine de fête dans la ville, je vais vivre intensément le Printemps de Bourges. J'aime ma ville. Je suis fier d'être Berruyer. J'aime Bourges pour ce qu'elle est, pour ce qu'elle m'apporte. J'aime ses habitants. J'aime ces moments de folie et de partage. C'est dans tout cela que je trouve l'énergie nécessaire à mon implication journalière pour le bien des Berruyères et des Berruyers. Il me semble que cette ressource est inépuisable. C'est la raison pour laquelle je désire m'investir encore davantage tous les jours. C'est un simple et naturel retour des choses. La suite
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	Le Blog de Yann Galut
En tant que responsable du groupe de travail Exil fiscal au sein du groupe PS de l'Assemblée nationale j'ai déposé avec plusieurs collègues socialistes il y a 15 jours une proposition de loi assez offensive pour lutter contre l'évasion fiscale. Plusieurs des mesures que nous avions présentées ont été reprises dans le projet de loi présenté ce jour en conseil des ministres. Les avancées sont notables même si il me semble nécessaire de les compléter dans le cadre du travail parlementaire. Il est important de souligner dans un premier temps qu'à travers ce texte, la lutte contre la fraude fiscale apparait enfin comme une réelle priorité après des années d'atermoiements et de contrefeux au plus haut sommet de l'Etat. Il faut saluer des mesures extrêmement positives avec notamment la création d' " un office central de lutte contre la fraude et la corruption " et le renfort substantiel en terme de magistrats, d'enquêteurs de police judiciaire et de vérificateurs de l'administration fiscale affectés à cette mission. Plusieurs de nos propositions reprises dans le texte gouvernemental Une de nos premières propositions a été reprise visant à instaurer une nouvelle circonstance aggravante avec l'établissement d'un délit de fraude fiscale en bande organisée. Les peines encourues seront ainsi considérablement accrues (7 ans d'emprisonnement et 2 millions d'euros d'amende) et les enquêteurs pourront désormais recourir à la surveillance, l'infiltration… Nous saluons également la reprise de notre proposition concernant l'alignement des peines prévues pour les personnes morales sur celles applicables aux personnes physiques. La possibilité sera ainsi ouverte de condamner les personnes morales en cas de blanchiment à la peine complémentaire de la confiscation de leur entier patrimoine. Enfin, notre souhait de permettre l'utilisation des informations d'origine illicite, dès lors qu'elles lui parviennent par l'autorité judiciaire ou par la voie de l'assistance administrative, a été également entendu. La fameuse liste HSBC et ses 3000 noms d'évadés fiscaux français serait désormais exploitable. Des amendements pour faire sauter le verrou de Bercy Nous constatons cependant que sur certains points le gouvernement n'est pas allé assez loin notamment en ce qui concerne la saisine de la justice qui continuera de dépendre du fisc. En effet, nous plaidons pour la suppression du système de la CIF et de la plainte préalable obligatoire du ministre du budget pour les faits de fraude fiscale. Aujourd'hui, en matière de fraude fiscale, le procureur de la République ne peut pas déclencher d'enquête ; il peut seulement être saisi par l'administration fiscale, par le biais d'une procédure très lourde et verrouillée. Il en résulte une exception à un principe essentiel de la procédure pénale française, le principe d'opportunité des poursuites dévolu au parquet. L'engagement des poursuites est subordonné à l'existence d'une plainte préalable du ministre du budget, elle-même soumise à l'autorisation de la commission des infractions fiscales, la fameuse CIF. Cette succession de filtres limite drastiquement les poursuites pénales pour fraude fiscale. C'est pourquoi, je prévois de proposer avec d'autres députés socialistes une série d'amendements au texte gouvernemental pour améliorer ce texte dans cette direction. la suite
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2013	Le Blog de Yannick Bedin
Un Printemps très politique Jamais peut-être la politique n'a eu autant de place que cette année sur le Printemps de Bourges, et ce, malgré l'absence de la plupart des dirigeants politiques, qui en l'absence d'élections nationales, n'ont pas cru bon de se venir sur le festival berruyer. A part Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, aucun "chef de parti" n'a fait le déplacement. Pourtant comme l'écrit le Syndicat National des Entreprises Artistiques et Culturelles dans une tribune publiée hier dans le Monde : "Au plan national, la Culture n'est pas une question annexe. Si l'Art est marginalisé, cela ne signifie pas seulement une crise de la politique culturelle, cela constitue une crise de la politique." Pierre Laurent, que j'ai eu le plaisir d'accompagner dans sa visite au Printemps de Bourges, l'a bien compris. Il a tenu à découvrir le festival et à rencontrer les acteurs de la vie culturelle à Bourges. Toutes les structures étaient représentées dans la table ronde que j'ai organisée à cette occasion. Je vous renvoie à la tribune de Pierre Laurent publiée dans l'Huma ainsi qu'à notre hebdomadaire 18, qui donnent la mesure de l'engagement majeur des communistes au service de la culture. La ministre de la culture est venue elle aussi. Exercice difficile de parcourir un événement comme le Printemps de Bourges dans un contexte marqué par des coupes claires dans son budget qui diminue cette année de 4,5%. C'est inédit dans l'histoire de ce ministère ! La politique culturelle risque aussi de pâtir de la baisse des dotations de l'État aux collectivités : il faut savoir que sur 10 milliards dépensés pour la culture, 7 sont assurés par les collectivités et 3 par l'État. La politique d'austérité, dans ce domaine comme dans d'autres, va faire des dégâts si on ne change pas d'orientation. Mais c'est sur le dossier de la Maison de la culture de Bourges que la ministre était attendue. Jeudi lors de la visite de Pierre Laurent, l'inquiétude était perceptible chez plusieurs de ses interlocuteurs suite à un article du Monde.fr publié le même jour et où il était écrit : "Mais sans doute aussi faudra-t-il encore convaincre de l'intérêt d'une construction ex-nihilo. Depuis deux ans, la Maison de la culture vit en effet "hors les murs" en programmant ses spectacles dans les différentes salles de la ville (l'Auditorium, le théâtre Jacques-Cœur, le Hublot…). Irène Félix imagine bien les choses continuer ainsi. " Fort heureusement, l'article a été remanié le lendemain et l'affirmation d'Irène Félix enlevée. Rétropédalage ou erreur du journaliste ? En tout cas Aurélie Filippetti, ministre de la culture, semble s'engager en faveur du projet de construction d'un nouvel équipement ce dont je me félicite. Car l'enjeu est bien que la Maison de la culture reste scène nationale et qu'elle offre les conditions d'accès aux œuvres du spectacle vivant et du cinéma dans des conditions dignes de notre époque. On sait que le hors les murs ne le permettra pas à terme ; il n'y a pas d'autres choix que de s'engager résolument dans la construction d'un nouvel équipement. La suite
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2013	Le Blog de Roland Narboux
"Le mur des cons" m'a beaucoup choqué, c'est un panneau situé dans le local national du Syndicat de la Magistrature. Venant de potaches, de marginaux, de révolutionnaires, de simples d'esprits comme l'on disait autrefois ..... Cela ne m'aurait pas gêné, surtout dans un domaine privé. Mais ce mur n'a pas été fait par des quidams lambda plus ou moins inspirés, mais par des Magistrats avec un grand M. Des gens respectables que chacun doit respecter, ils sont pour le commun des mortels, la Loi ! Ce sont eux qui vous jugent si vous avez fait une bêtise, petite ou grosse. Et ils se comportent en personnages de la pire espèce. Notre justice est malade, nous le savons, mais cette fois elle est a la fois perfide et politisée, chacun est effrayée par ces magistrats. Sur ce mur, des hommes politiques de droite bien entendu, mais certains ont le cuir dur, et cela ne leur fera pas grand chose. Mais il y a deux pères de famille sur ce mur dont l'enfant a été assassiné. Et ce sont des magistrats qui ont osé mettre leur nom et portrait sur ce mur des cons. Les auteurs de ce mur devrait si de bonnes lois existaient être condamnés. Nota : j'entends de bonnes âmes de gauche penser que ce n'est pas grave, mais si des photos d'hommes de gauche avaient subi les même sort..... Vraiment, c'est le mur de la honte, et ce sont des magistrats qui l'on fait ! LAMENTABLE. a suivre
blog de roland narboux

2013	Le Blog de Philippe Bensac
LE RAPPORT QUI DERANGE ou quand les fonctionnaires voient "clair"Le rapport secret de l'inspection générale des finances C'est à François Fillon et Nicolas Sarkozy que l'IGF (inspection générale des finances de Bercy) a livré ce rapport secret juste avant le débarquement de François Hollande et Jean-Marc Ayrault. C'était en mai 2012. Explosif, ce rapport brise tous les tabous. Non seulement il n'a jamais été publié, mais chaque exemplaire de ce rapport a été marqué en filigrane afin de pouvoir identifier les fuites. Des fuites, il y en a eu malgré tout. .. Le rapport secret de l'IGF fut commandé par Monsieur Fillon. Quand Monsieur Ayrault a débarqué à Matignon ce rapport était là, tout en-haut de la pile. Mais le gouvernement socialiste n'a pas publié ce rapport et ne le fera sans doute jamais. On doit ce rapport secret à Jean-Michel Charpin, économiste français, polytechnicien,ancien directeur de l'INSEE et actuellement inspecteur général des finances. Une partie de ce rapport est publié dans le livre " 60 milliards d'économies " de Agnès Verdier-Molinié, directrice de la " fondation pour la recherche sur les administrations et les politiques publiques " aux éditions Albin Michel. Que contient ce fameux rapport ? Tout commence par ce constat : depuis 40 ans, quand l'État prélève 100 euros sur les ménages et les entreprises, 110 euros sont dépensés. Résultat : la dette publique atteint 1833.8 milliards fin 2012 soit 90.2 % du PIB (produit intérieur brut). A partir de 100 % du PIB, la dette publique est jugée insoutenable par de nombreux économistes. Aujourd'hui, la France est toute proche de ce seuil fatidique, de ce " no man's land " économique à haut risque. La solution proposée par l'IGF : réduire drastiquement les dépenses publiques. Comment ? Émanant des hauts fonctionnaires c'est surprenant. En effet, ils proposent de scier la branche sur laquelle ils sont assis. Alors que le gouvernement a supprimé le non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux, l'IGF propose de ne plus embaucher aucun fonctionnaire au niveau de l'État et ne pas remplacer deux fonctionnaires sur trois qui partent à la retraite. Ça commence très fort et on comprend pourquoi ce rapport dérange autant. L'inspection propose aussi de ramener les primes des agents des services publics au niveau de 2008 et de ralentir la progression des fonctionnaires dans les échelons hiérarchiques. Elle suggère de supprimer le supplément familial attribué automatiquement dès le premier enfant dans les trois fonctions publiques : l'État, le territoire, l'hôpital. Grosse économie de 1.3 milliards car le montant de ce versement est proportionnel au traitement de l'agent public et avantage donc les hautes rémunérations. L'IGF évoque une baisse de 10% des indemnités des parlementaires et propose de plafonner les rémunérations des personnels de l'État à 13 000 euros par mois ou 160 000 euros par an. En 5 ans, les traitements des hauts fonctionnaires pour les catégories les plus élevés ont augmenté de 40% passant de 110 00 à 160 000 euros ! Après avoir pris 50 000 euros, les hauts fonctionnaires sifflent la fin du match. L'inspection prône une baisse de 10% des traitements des agents supérieurs à 125000 euros, là les hauts fonctionnaires sont impactés. L'IGF préconise de limiter les retours sur économies à 25%. En effet, 65% des économies réalisées par le non-remplacement de un fonctionnaire sur deux ont été redistribués aux agents de l'État par le biais de grosses augmentations afin de faire passer la réforme auprès des syndicats. Une vraie folie ! L'IGF propose de baisser de 2% les aides au logement (APL), les allocations aux adultes handicapés (AHH), les retraites SNCF ou les prestations aux anciens combattants. Économies : 3.2 milliards ! Elle propose enfin de faire passer des chasseurs de dépenses (bureautique, papeterie, transports) dans chaque administration pour réduire les dépenses inutiles. Une sortie de crise sans hausse des impôts Au total, toutes ces mesures permettraient de réaliser près de 19 milliards d'économies chaque année ! On le voit bien, une sortie de crise est possible. Ces 19 milliards permettraient au gouvernement d'atteindre facilement l'objectif des 3% de déficit imposés par Bruxelles. Pour rappel, ces 3% correspondent à la règle d'or de Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. Règle d'or décriée par François Hollande mais adoptée dès qu'il était élu président. Ces 19 milliards permettraient non seulement d'atteindre ces objectifs, mais surtout sans augmentation des impôts et donc sans miner la croissance économique française déjà fragile. Lancée par la très sérieuse inspection générale des finances de Bercy, ce signal d'alarme pour les finances publiques pourrait être le dernier avertissement. En effet, l'impossibilité pour les gouvernements de droite comme de gauche d'entreprendre de vraies réformes en France est un réel problème.Trop souvent, l'égoïsme de chacun prime sur l'intérêt général du pays, il ne faut pas l'oublier. Certains hauts fonctionnaires ont compris que l'heure de réformer l'État a sonné. Ils le font savoir car ils savent que la France ne peut plus continuer à dépenser toujours davantage. C'est la réforme de l'État, de la protection sociale et de l'organisation territoriale qu'il faut engager dès aujourd'hui. Nous pouvons nous poser d'autres questions : pourquoi François Fillon avait-t-il demandé à l'IGF d'auditer nos finances publiques ? Si Nicolas Sarkozy avait été réélu président, qu'aurait-il fait de ce rapport ? la suite :
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2012	Le Blog de Hassen Chebili
lJeudi 11 avril 2013 Adieu Mon "Cher" Commerce ! Depuis le 3 avril 2013, la Commission Départementale d'Aménagement Commercial du Cher (CDAC) a annoncé la mort du projet d'Avaricum, de la zone commerciale "Géant", du Pôle Commercial et Tertiaire de la Chancellerie... Non, non ce n'est un poisson d'avril mais un "poison économique". La CDAC a donc donné un avis favorable à l'unanimité à l'implantation d'un nouveau parc commercial surnommé de Varye de 16 000 M2 avec 17 boutiques route d'Orléans sur la commune de Saint-Doulchard. Danièle Serre, maire-adjoint chargée de l'artisanat et du commerce à Bourges, a participé à cette commission en votant "pour", façon de renvoyer l'ascenseur à la mairie de Saint-Doulchard pour son vote très favorable pour le projet Avaricum. Maintenant, je sais à quoi "Serre" notre maire-adjoint de Bourges à créer des déserts commerciaux sur Bourges ! Comme les Zones Franches sur Bourges pour les professions médicales, ce futur projet en 2015 va créer des déserts commerciaux ! Avaricum, 9500 M2, risque de ne pas sortir de son archéologie politique et économique, le centre ville de Bourges se transformera en galerie-non marchande version rue d'Auron, le Pôle Commercial de la Chancellerie deviendrait un Point Rencontre Social, et et l'hypermarché Géant actuellement en pleine extension finirait par se transformer en haricot commercial... Les commerçants du centre ville et l'association "Mon Cher Vélo" ont déjà pointé du doigt l'incohérence des projets Avaricum et De Varye. On pourra bien sûr nous parler de Plan de Déplacement Urbain (PDU) ou de Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT)...
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