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HEBDO PLUS,

LES INFOS DE BOURGES EN BREF

Enfin il pleut, sans doute pas assez, mais c'est un bon début....
Il manque de l'eau dans les nappes phéatiques, mais les pluies de la semaine doivent pouvoir garder l'eau des nos rivières, Yèvre et Auron.

Ce sont les giboulées de mars.

Serge Lepeltier est toujours à fond sur le TGV, alors que personne ne l'évoque dans la campagne électorale, nationale ou locale, il écrit "Ce futur TGV est véritablement une chance pour les villes, les départements et les régions qu’il traversera.
C’est pourquoi nous sommes toujours mobilisés et très attentifs sur le devenir de cette future LGV. "
Yann Galut ne fait pas dans la dentelle, il écrit : "Au vu de ces propositions qui se résument à une récitation incantatoire de leçon, je me demande ce qui peut encore pousser Nicolas Sarkozy à se présenter devant les français...
Une chose est sûre il est temps de changer de Président."
Philippe Bensac, toujours candidat aux législatives, entre deux écrits sur son concurrent écrit sur le futur : "L'INSA Centre Val de Loire va ainsi restructurer l'enseignement supérieur de la région Centre et développer les formations en ingénierie de la région. Cela devrait permettre d'offrir davantage d'opportunités aux jeunes qui souhaitent intégrer une grande école. Il s'agit également d'une réponse aux besoins des entreprises du territoire."

"RECTICEL" A BOURGES

Recticel implante une usine sur Bourges : 50 emplois à la clef !
Présent dans 27 pays avec plus de 120 sites dont 50 usines (4 en France), le groupe Recticel est leader européen pour différentes applications de polyuréthanne (mousse souple, literie, automobile, isolation).
La société belge Recticel a choisi d’implanter une usine sur Bourges et a lancé la construction de bâtiments d’une superficie de 32 108 m2 (dont 9000 m2 d’ateliers) sur le site du parc d’activités de la Voie Romaine.

L’usine de Bourges sera dédiée à la production de panneaux d’isolation thermique destinés au secteur du bâtiment pour le marché français. Le site comptera trois ans après son démarrage 52 salariés, avec dès 2012 l’embauche de 21 personnes.

POLITIQUE A BOURGES

- Localement, ce Mardi 10 avril 2012 à 19 H , l'UMP au grand complet reçoit Monsieur Xavier BERTRAND , Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé. C'est à la Salle des Fêtes « Le MOUTET », Rue Joseph-Aristide Auxenfants
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Et vendredi 13 avril 2012 à 19 H, ce sera Madame Roselyne BACHELOT-NARQUIN, Ministre des Solidarités et de la Cohésion Sociale, à la Salle des Fêtes d'AUBIGNY-SUR-NERE
Politique et la dernière ligne droite pour les Présidentielles, et la venue de candidats a Bourges ne semble pas trop d'actualité, même si M. Jean Luc MELENCHON est venu dans un fief largement acquis dans le Cher a Vierzon.
Ils étaient 6000 à l'écouter.

Les horaires modifiées à nouveau pour les prochaines élections, on revient à la case départ : les bureaux de vote dans les 4 élections seront fermés à 18 H.
Donc horaire : 8 h - 18 h.

Elections présidentielles, et c'est parti, en tout cas pour les services de la ville qui ont installé, les panneaux électoraux, devant les bureaux de vote, et il y a 10 panneaux puisqu'il y a 10 candidats..... Un peu moins qu'aux élections précédentes : 12 en 2007 et 16 en 2002.

CANDIDATS AUX ELECTIONS LEGISLATIVES A BOURGES ... ET DANS LE CHER.

Elections législatives et les différents partis politiques communiquent les noms de leurs candidats :
- 1 ére circonscription Bourges /Sancerre / Aubigny
Député sortant : Yves Fromion UMP
Pour 2012 :
Yves Fromion UMP .
Céline Bezoui PS
Yannick Bedin FdG
David Dallois Divers Droite
Philippe Bensac Divers Droite
Daniele Avon FN
Philippe Redois EELV/

- 2 iéme circonscription Bourges / Vierzon
Députe sortent : M Jean Claude Sandrier Parti communiste
Pour 2012 :

Nicolas Sansu FdG
Agnès Sinsoulier-Bigot PS
François Scheid FN,
Maria Crespel UMP
Bernadette Guille Parti radical
Marie-Jo Lechelon EELV

- 3 ième circonscription Bourges / Saint Amand
députe sortant : Louis Cosyns UMP
Pour 2012 :
Louis Cosyns UMP
Yann Galut PS
Nadine Méchin FdG
Erwan Le Mintier FN,
Jorge Roig EELV/
POUR CEUX QUI ONT RATE DES EPISODES DE LA SEMAINE DERNIERE

PRINTEMPS DE BOURGES : demandez le programme !

Printemps de Bourges a terminé de dévoiler son affiche, avec la soirée du 23 février pour l'affiche et le programme dans sa totalité.

Plus de 200 artistes confirmés et Découvertes
présents du 24 au 29 avril 2012

Giedré, Nadéah, Brigitte, Bénabar
Revolver, Izia, Dionysos, Shaka Ponk
Sallie Ford & The Sound Outside, Arthur H
Selah Sue, Charlie Winston.

Fràncois and the Atlas Mountains, Dominique A, Camille
Guizmo, Youssoupha, 1995, Orelsan...

The Black Seeds, General Elektriks, Hollie Cook, Zebda, Tinariwen, Nneka, Tarrus Riley, Groundation, Ky-Mani Marley,
Danakil.
The Pack A.D., Skip The Use, Dope D.O.D, Yuksek, Who Made Who, The Rapture, Huoratron, C2C, Gesaffelstein,
Surkin, Don Rimini, Birdy Nam Nam, Erol Alkan... la suite :

http://www.printemps-bourges.com/

SECHERESSE A BOURGES ?

La sécheresse à Bourges et dans le Cher se précise, les nappes phréatiques sont au plus bas, une réunion s'est tenue dans le cadre du SAGE le 3 avril pour définir les première mesures à prendre.
On note une situation sensiblement identique à l'an dernier à la même saison, un peu plus bas tout de même pour les nappes phréatiques, et pour les rivières elles ont bien résisté, mais commencent à baisser depuis plusieurs jours.

La presse nationale a donne le chiffre de 65% de déficit pour le Berry.
Sur du moyen terme, les professionnels dans l'agriculture sont très très inquiets, car les derniers modèles ne sont pas optimistes.
Quelques chiffres sur les précipitations à Bourges en février :

- en 2009 = 26 mm de précipitation
- en 2010 = 60,6 mm
- en 2011 = 33,6 mm
- en 2012 = 8,8 mm

En mars, ce ne sont pas les 10 mm de pluie qui changeront quoique ce soit.
Il faudrait qu'il pleuve beaucoup dans les jours à venir en avril et mai....

RENCONTRE JACQUES COEUR / JEAN CHRISTOPHE RUFIN DEUX NATIFS DE BOURGES

Nouvel ouvrage de Jean Christophe Rufin, de l'Académie française, et né à Bourges, cette fois sur ... un personnage bien connu à Bourges puisqu'il s'agit d'un roman sur Jacques Coeur.
Roman qui utilise quelques données historiques, et puis des hypothèse sur cette vie ... de roman, et en 500 pages, J.C.Rufin fait vivre l'Argentier du roi Charles VII dans Le grand Coeur.
Un grand roman historique, très libre et d'une belle écriture qui commence à Chio et nous entraîne dans tout le royaume du petit roi de Bourges.
On retrouvera Macée son épouse, mais aussi Agnès Sorel et les berrichons que sont Jean de Village et Guillaume de Varye.
A la fin du livre, un seul constat : la vie de Jacques Coeur est bien un roman : quelle vie !

SEMAINE DU DEVELOPPEMENT DURABLE A BOURGES

La semaine du développement durable, vient de commencer, c'était samedi dernier avec le village des associations environnementales et ça se poursuit avec une conférence et des visites d'installations.

Jeudi 5 avril 2012 au Muséum d’Histoire Naturelle a 20h, entrée libre.
Sabrina KOJA, de l’espace Info Energie animera la conférence « les économies d’énergie dans le logement, retours d’expérience ». Elle sera accompagnée de deux Berruyers ayant réalisé des travaux. Ils partageront leurs expériences.

Mercredi 4 avril, de 14h à 15h30 : serres municipales, chemin Tortiot
Jeudi 5 avril, de 10h à 11h30 : l’appartement éco-logis, rue Paul Gauchery
Vendredi 6 avril, de 10h à 11h30 : serres municipales, chemin Tortiot
Vendredi 6 avril, de 10h à 11h30 : l’appartement éco-logis, rue Paul Gauchery

La semaine du développement durable, c'est du 1 er au 7 avril, et ça a commencé avec le jardin des organisations environnementales, sur l'Espace Victor Hugo, une nouveauté pour cette 10 ième édition.

Présentation de la semaine
Rechercher dans Bourges-info un sujet donné :

PAGE 3 : LES BLOGS POLITIQUES DE BOURGES
2012
Le Blog de Serge Lepeltier

TGV : le combat continue.
Le débat public sur la ligne à grande vitesse Paris-Orléans-Clermont-Ferrand-Lyon (LGV POCL) s’est terminé fin janvier et la Commission Nationale du Débat Public a dressé son bilan fin mars. Reste à Réseau Ferré de France (RFF) de se positionner sur ce projet à la fin du mois de juin.
Je rappelle que ce projet est fondé sur deux piliers indissociables : proposer un itinéraire alternatif à l’actuelle ligne à grande vitesse Paris-Lyon et desservir par la grande vitesse le ‘’Grande Centre’’ de la France.
Ce futur TGV est véritablement une chance pour les villes, les départements et les régions qu’il traversera.
C’est pourquoi nous sommes toujours mobilisés et très attentifs sur le devenir de cette future LGV.
C’est ainsi que l’association TGV Grand Centre, dont est membre la Ville de Bourges, a été reçue par Monsieur Mathieu CHABANEL, Conseiller aux Transports du Premier Ministre, pour faire le point sur le projet POCL.
Celui-ci nous a confirmé que le nouveau Schéma National des Infrastructures de Transport sera certainement soumis au parlement au deuxième semestre 2012 et présentera une nouvelle hiérarchisation des projets.
Le projet POCL a de ce fait de grandes chances de remonter dans les projets à réaliser avant 2020, grâce au principe de fongibilité et à la réussite du débat public.
Il a par ailleurs réaffirmé sa volonté d’appuyer la demande d’inscription du POCL, comme projet prioritaire, au Réseau Central Européen auprès de la Commission Européenne des Transports afin de pouvoir bénéficier des fonds européens.
Enfin, il a constaté dans le bilan du débat public que l’aménagement du territoire et le consensus dégagé par les collectivités autour du scénario OUEST, permettant un financement du plus grand nombre, étaient des éléments qui pèseront donc dans les discussions interministérielles avec RFF.
Cela est d’autant plus important que Monsieur CHABANEL a été nommé depuis aujourd’hui Directeur Général Adjoint de RFF et qu’il pourra ainsi étudier le dossier en toute connaissance.
La suite :

http://www.sergelepeltier.fr/

Le Blog d'Irène Félix

Cela ne suffisait pas que l'école soit abîmée, que les services publics aient déserté le milieu rural, que la Police et la justice soient en très grande difficulté de fonctionnement, que les hôpitaux ferment : Sarkozy prévoit désormais de s'attaquer aux services publics locaux, ceux dont les communes, les départements et les régions ont la charge. Il faudrait, eux aussi, qu'ils renoncent à remplacer les départs en retraite. Cela veut dire : privatiser les cantines scolaires ; ou la distribution de l'eau ; ou fermer des centres aérés ; diminuer le personnel dans les écoles ; réduire les services de protection maternelle et infantile ; ou encore diminuer l'entretien et la sécurité sur les routes, ...
Les cartes, déjà publiées sur ce blog, illustrent, pour ceux qui douteraient une partie des dégâts faits au cours de la dernière mandature par la droite. servicespublicsCher.pdf
Moins de services publics locaux, c'est moins de vie locale. C'est aussi une nouvelle insulte inacceptable aux fonctionnaires.
La suite

http://irenefelix.blogspirit.com/

Le Blog de Pascal Blanc

Longtemps, trop longtemps le sport de haut niveau est resté essentiellement la chasse gardée de la gente masculine. Bien sûr, ici et là quelques sportives de renom ont fait parlé d'elles. Pour ma génération je pense à Colette Besson en athlétisme, championne olympique en 1968 ou à Marielle Goitschel championne du monde de ski en 1968. Plus tard, Marie-Jo Perrec et Perrine Pelen les rejoignirent. Plus près de nous, Laure Manaudou nous a fait rêver il y a quelques années. Quant à Janie Longo, elle est toujours là !
Ces derniers temps, on ressent un regain d'intérêt pour " nos petites françaises ", en particulier dans les sports collectifs. En hand-ball, l'équipe de France féminine a imité très rapidement son homologue masculin en remportant le titre de championne du monde en 2003. En football, en terminant quatrième de coupe du monde 2011, " nos filles " ont porté haut les couleurs de la France. Même en rugby, quand on connaît la virilité toute particulière de ce sport, les Françaises ont terminé 4ème de la dernière coupe du monde.
Enfin le basket. Le Berruyer que je suis, particulièrement chauvin, ne peut que s'attarder sur cette discipline. Le Bourges Basket, notre Bourges Basket, s'est illustré particulièrement sur la scène nationale et sur la scène internationale depuis plusieurs années. En fait Bourges est connue maintenant par son Printemps et par son équipe de basket ! Les Berruyers y sont très attachés et une véritable communion se fait entre la population et son équipe. Beaucoup de nos joueuses constituent l'ossature de l'équipe de France championne d'Europe en 2009.
Tous ces résultats montrent bien que le sport de compétition n'est pas réservé aux seuls hommes. Je suis convaincu que le sport au féminin doit être davantage aidé, autant sur le plan national voire internationale, qu'à des niveaux moindres. J'ai la conviction que le sport en général a tout intérêt à promouvoir le sport féminin. Les valeurs spécifiques que défendent les femmes et leur capacité toute particulière à endurer la souffrance font d'elles plus que l'égal de l'homme.
Machistes, abstenez-vous ! Promoteur du sport, engagez-vous sur cette voie ! A l'heure où chacun prône la parité dans tous les domaines, il est temps de valoriser à sa juste valeur le sport au féminin.

La suite

http://pascalblanc.wordpress.com/

Le Blog de Yann Galut

Je m'attendais à du lourd. Car Nicolas Sarkozy avait jusque-là montré bien peu d'empressement à présenter un programme. Comme beaucoup de français, je m'attendais donc à un nouveau coup médiatique.
Hier, le candidat sortant a présenté à la presse ses 32 "propositions" pour la France : la longue litanie de ses incantations confinent au néant. Pour une raison simple : Nicolas Sarkozy n'a qu'un programme : son bilan !
Il aura hésité de longs mois à annoncer sa candidature.
Il aura mis de longues semaines à présenter un programme.
La conclusion après la présentation de son "programme" hier c'est que la candidature de Nicolas Sarkozy n'est absolument pas à la hauteur des enjeux qui attendent les français demain. Outre le décalage entre ses velléités de "France forte" et les mesures avancées, son programme est affligeant de régression.
On nous promettait la République qui agit, on nous propose en fait la République qui s'agite.
Le candidat Sarkozy ne dit en effet rien sur le pouvoir d'achat, rien sur l'emploi, rien sur la relance économique du pays, rien sur les difficultés rencontrées par le monde industriel, rien sur l'innovation, rien sur l'éducation, rien sur l'avenir, rien sur la France.
Une seule nouvelle mesure en trente longues minutes de conférence de presse : avancer le versement des retraites d'une semaine. Annonce faite maintes fois et toujours repoussée. Les retraités s'en souviennent, cela devait leur être octroyé en compensation de la réforme en … 2010. Après avoir réduit son programme pour la jeunesse à un site internet, il propose pour améliorer les conditions de vie des retraités une mesure déjà prévue, jamais mise en œuvre. Et une conception de la démocratie qui se réduit à un référendum pour demander aux Français de se prononcer sur la répartition des compétences entre deux ordres de juridiction !
Mais malheureusement son projet ce n'est pas seulement une absence de projet. C'est la poursuite de son bilan en pire.
Son projet, c'est le repli et l'austérité à perpétuité en France et en Europe : casse des services publics, attaques contre les collectivités locales et remise en cause des politiques qu'elles mènent (transport, culture, sport, cohésion sociale, logement…), gel de notre participation au budget européen, règle d'or, traité d'austérité.
Son projet, c'est la destruction du modèle social Français. C'est de casser le contrat de travail en organisant une course au " moins-disant social ". En 2007, il proposait de " travailler plus pour gagner plus ". 5 ans et 1 millions de demandeurs d'emplois supplémentaires plus tard, il propose de " travailler moins pour gagner moins ". Son projet, c'est d'abandonner la santé des Français, l'assurance maladie apparaissant comme la grande sacrifiée de son projet. Comment expliquer les 70 milliards d'économies de dépenses qu'il annonce sinon par une casse de l'hôpital et l'augmentation des déremboursements ?
Son projet, c'est le matraquage fiscal des classes moyennes avec l'augmentation de la TVA en contrepartie de la baisse de cotisation sociale des entreprises. Avec surtout plus de 20 milliards d'impôts cachés, qu'il se garde bien d'expliquer aux Français. Et des dépenses nouvelles sous-évaluées : 9,5 milliards selon lui, alors que touts les instituts indépendants en évaluent le montant à plus de 20 milliards. Qui va payer, demande-t-il ? Il ne répond pas : en vérité, ce sont les mêmes qui règlent la facture depuis 2007.
Son projet, c'est la méfiance généralisée, comme s'il était possible de réformer et de redresser le pays en affichant son mépris pour les partenaires sociaux, les collectivités territoriales et l'Europe. Plus que jamais, c'est le pouvoir d'un seul, appuyé par un clan, qu'il propose. C'est l'inverse de ce que doit être une démocratie politique et sociale vivante.
C'est là la limite essentielle à la politique "bling-bling" faite de surenchère verbale et médiatique sur tous les sujets et dont nous connaissons le triste bilan aujourd'hui : 1 millions de chômeurs en plus, 700 milliards de dette publique supplémentaire, des centaines de milliers d'emplois détruits, un service public exsangue incapable de porter la solidarité nationale dans nos campagnes...
Au vu de ces propositions qui se résument à une récitation incantatoire de leçon, je me demande ce qui peut encore pousser Nicolas Sarkozy à se présenter devant les français...
Une chose est sûre il est temps de changer de Président.
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http://www.yann-galut.com/

2012 Le Blog de Yannick Bedin

Le gros poisson d'avril de l'UMP
" Les bénéfices de l'action de Nicolas Sarkozy pour le Cher ". A la lecture du titre du billet de l'UMP du Cher j'ai cru à un poisson d'avril....
Dans un inventaire qui mélange tout, du saupoudrage clientéliste aux visites de Nicolas Sarkozy dans le département, qui sent la note de service préparée par les services de l'Elysée à l'usage des militants de l'UMP, la droite veut nous faire croire à son action bénéfique pour le Cher et ses habitants.
Rien sur les suppressions de postes dans l'éducation nationale, la santé, la police ou la gendarmerie, c'est à dire dans l'ensemble des services publics. Au nom de la Révision générale des politiques publiques, que l'on pourrait qualifier de régression, tous les secteurs utiles à la population ont été touchés. Les fermetures de classes à Bourges comme dans le Cher, de trésoreries ou de bureaux de postes de plein exercice illustrent concrètement le sens des politiques menées dans nos quartiers ou nos campagnes.
Rien non plus sur la situation sociale où les bénéfices de la politiques de la droite sont nuls et où son action a été plutôt catastrophique : franchises médicales, précarité croissante, pouvoir d'achat qui diminue... De cela, l'UMP ne dit mot et encore moins sur la responsabilité de ses parlementaires, M.Fromion en tête !
Plus que de l'humour, il faut voir dans le titre du site des soldats perdus du sarkozysme, une simple provocation cynique !

ttp://www.yannick-bedin.org/
2012 Le Blog de Roland Narboux

Elections présidentielles,Les élections présidentielles, puis législatives passées, le réveil sera difficile chez les militants quelque soit le résultat.
Quelle marge de manoeuvres dans les choix a faire ? Pas grand chose, malheureusement... Car c'est l'emploi qui est l'essentiel, et nul ne donne la moindre des solutions.
Car la croissance dont beaucoup parlent, elle ne se décrète pas, c'est un des grands mystère de notre époque, elle arrive quant on ne l'attend pas et on ne sais jamais pourquoi elle est là, ni quant elle repart, en dehors des grandes crises dues à une guerre ou à de grands événements planétaires.
Dans le même domaine, la campagne s'enlise au niveau des idées, après la viande Hallal, c'est le permis de conduire qui fait l'actualité.... Il y a une dette de 100 milliards d'euros, des millions de chômeurs, et on va traiter le permis de conduire !
De Gaulle traitait l'international, le nucléaire, la force de frappe, et l'association capital travail, et une certaine vision de la France, avec "Concorde" ou " France" dont les anciens étaient fiers.... le reste, c'était "l'intendance" et il disait "l'intendance suivra".
la suite :

aller au blog de Roland Narboux

2012
Le Blog de Philippe Bensac

S'IL N'Y A CRISE QUE LORSQU'IL Y A PROSPERITE... FAUT-IL ABANDONNER L'IDEE DE PROSPERITE ?
" Les symptômes qui précèdent les crises sont les signes d'une grande prospérité ; nous signalerons les entreprises et les spéculations de tous genres ; la hausse des prix de tous les produits, des terres, des maisons ; la demande des ouvriers, la hausse des salaires, la baisse de l'intérêt, la crédulité du public, qui, à la vue d'un premier succès, ne met plus rien en doute ; le goût du jeu en présence d'une hausse continue s'empare des imaginations avec le désir de devenir riche en peu de temps, comme dans une loterie. Un luxe croissant entraîne des dépenses excessives, basées non sur des revenus, mais sur l'estimation nominale du capital d'après les cours cotés. Les crises ne paraissent que chez les peuples dont le commerce est très développé. Là où il n'y a pas de division du travail, pas de commerce extérieur, le commerce intérieur est plus sûr ; plus le crédit est petit, moins on doit les redouter. "
Ces lignes sont empruntées à l'ouvrage de Clément Juglar, Des crises commerciales et de leur retour périodique en France, en Angleterre et aux Etats-Unis (1862). Elles résonnent d'une étonnante actualité.
C'est l'économiste et sociologue Schumpeter qui, proposant une classification des cycles économiques en trois types - courts, moyens, longs -, suggéra de donner au cycle moyen le nom de Juglar.
Je pose donc cette question aux apôtres d'une société sans crise : S'IL N'Y A CRISE QUE LORSQU'IL Y A PROSPERITE... FAUT-IL ABANDONNER L'IDEE DE PROSPERITE ?
FAUT-IL ALORS RETROUVER UNE ECONOMIE AUTARCIQUE, DES PRATIQUES AUTOGESTIONNAIRES ET L'ACHAT COMPTANT PUISQUE TOUT CE QUI EXIGERAIT L'EMPRUNT SERAIT SUSPECT ?..
Tout bien considéré, je préfère qu'il y ait des cycles, alternant prospérité et crise, croissance et récession, mais à condition qu'à chaque fois un palier supérieur de développement social soit franchi.
la suite :

http://philippebensac.vox.com

2012
Le Blog de Hassen Chebili

vide
a suite :

http://hassen.chebili.over-blog.com/

http://bourgesinfo.wordpress.com/
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2012	Le Blog de Serge Lepeltier
TGV : le combat continue. Le débat public sur la ligne à grande vitesse Paris-Orléans-Clermont-Ferrand-Lyon (LGV POCL) s’est terminé fin janvier et la Commission Nationale du Débat Public a dressé son bilan fin mars. Reste à Réseau Ferré de France (RFF) de se positionner sur ce projet à la fin du mois de juin. Je rappelle que ce projet est fondé sur deux piliers indissociables : proposer un itinéraire alternatif à l’actuelle ligne à grande vitesse Paris-Lyon et desservir par la grande vitesse le ‘’Grande Centre’’ de la France. Ce futur TGV est véritablement une chance pour les villes, les départements et les régions qu’il traversera. C’est pourquoi nous sommes toujours mobilisés et très attentifs sur le devenir de cette future LGV. C’est ainsi que l’association TGV Grand Centre, dont est membre la Ville de Bourges, a été reçue par Monsieur Mathieu CHABANEL, Conseiller aux Transports du Premier Ministre, pour faire le point sur le projet POCL. Celui-ci nous a confirmé que le nouveau Schéma National des Infrastructures de Transport sera certainement soumis au parlement au deuxième semestre 2012 et présentera une nouvelle hiérarchisation des projets. Le projet POCL a de ce fait de grandes chances de remonter dans les projets à réaliser avant 2020, grâce au principe de fongibilité et à la réussite du débat public. Il a par ailleurs réaffirmé sa volonté d’appuyer la demande d’inscription du POCL, comme projet prioritaire, au Réseau Central Européen auprès de la Commission Européenne des Transports afin de pouvoir bénéficier des fonds européens. Enfin, il a constaté dans le bilan du débat public que l’aménagement du territoire et le consensus dégagé par les collectivités autour du scénario OUEST, permettant un financement du plus grand nombre, étaient des éléments qui pèseront donc dans les discussions interministérielles avec RFF. Cela est d’autant plus important que Monsieur CHABANEL a été nommé depuis aujourd’hui Directeur Général Adjoint de RFF et qu’il pourra ainsi étudier le dossier en toute connaissance. La suite :
http://www.sergelepeltier.fr/

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Cela ne suffisait pas que l'école soit abîmée, que les services publics aient déserté le milieu rural, que la Police et la justice soient en très grande difficulté de fonctionnement, que les hôpitaux ferment : Sarkozy prévoit désormais de s'attaquer aux services publics locaux, ceux dont les communes, les départements et les régions ont la charge. Il faudrait, eux aussi, qu'ils renoncent à remplacer les départs en retraite. Cela veut dire : privatiser les cantines scolaires ; ou la distribution de l'eau ; ou fermer des centres aérés ; diminuer le personnel dans les écoles ; réduire les services de protection maternelle et infantile ; ou encore diminuer l'entretien et la sécurité sur les routes, ... Les cartes, déjà publiées sur ce blog, illustrent, pour ceux qui douteraient une partie des dégâts faits au cours de la dernière mandature par la droite. servicespublicsCher.pdf Moins de services publics locaux, c'est moins de vie locale. C'est aussi une nouvelle insulte inacceptable aux fonctionnaires. La suite
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	Le Blog de Pascal Blanc
Longtemps, trop longtemps le sport de haut niveau est resté essentiellement la chasse gardée de la gente masculine. Bien sûr, ici et là quelques sportives de renom ont fait parlé d'elles. Pour ma génération je pense à Colette Besson en athlétisme, championne olympique en 1968 ou à Marielle Goitschel championne du monde de ski en 1968. Plus tard, Marie-Jo Perrec et Perrine Pelen les rejoignirent. Plus près de nous, Laure Manaudou nous a fait rêver il y a quelques années. Quant à Janie Longo, elle est toujours là ! Ces derniers temps, on ressent un regain d'intérêt pour " nos petites françaises ", en particulier dans les sports collectifs. En hand-ball, l'équipe de France féminine a imité très rapidement son homologue masculin en remportant le titre de championne du monde en 2003. En football, en terminant quatrième de coupe du monde 2011, " nos filles " ont porté haut les couleurs de la France. Même en rugby, quand on connaît la virilité toute particulière de ce sport, les Françaises ont terminé 4ème de la dernière coupe du monde. Enfin le basket. Le Berruyer que je suis, particulièrement chauvin, ne peut que s'attarder sur cette discipline. Le Bourges Basket, notre Bourges Basket, s'est illustré particulièrement sur la scène nationale et sur la scène internationale depuis plusieurs années. En fait Bourges est connue maintenant par son Printemps et par son équipe de basket ! Les Berruyers y sont très attachés et une véritable communion se fait entre la population et son équipe. Beaucoup de nos joueuses constituent l'ossature de l'équipe de France championne d'Europe en 2009. Tous ces résultats montrent bien que le sport de compétition n'est pas réservé aux seuls hommes. Je suis convaincu que le sport au féminin doit être davantage aidé, autant sur le plan national voire internationale, qu'à des niveaux moindres. J'ai la conviction que le sport en général a tout intérêt à promouvoir le sport féminin. Les valeurs spécifiques que défendent les femmes et leur capacité toute particulière à endurer la souffrance font d'elles plus que l'égal de l'homme. Machistes, abstenez-vous ! Promoteur du sport, engagez-vous sur cette voie ! A l'heure où chacun prône la parité dans tous les domaines, il est temps de valoriser à sa juste valeur le sport au féminin. La suite
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	Le Blog de Yann Galut
Je m'attendais à du lourd. Car Nicolas Sarkozy avait jusque-là montré bien peu d'empressement à présenter un programme. Comme beaucoup de français, je m'attendais donc à un nouveau coup médiatique. Hier, le candidat sortant a présenté à la presse ses 32 "propositions" pour la France : la longue litanie de ses incantations confinent au néant. Pour une raison simple : Nicolas Sarkozy n'a qu'un programme : son bilan ! Il aura hésité de longs mois à annoncer sa candidature. Il aura mis de longues semaines à présenter un programme. La conclusion après la présentation de son "programme" hier c'est que la candidature de Nicolas Sarkozy n'est absolument pas à la hauteur des enjeux qui attendent les français demain. Outre le décalage entre ses velléités de "France forte" et les mesures avancées, son programme est affligeant de régression. On nous promettait la République qui agit, on nous propose en fait la République qui s'agite. Le candidat Sarkozy ne dit en effet rien sur le pouvoir d'achat, rien sur l'emploi, rien sur la relance économique du pays, rien sur les difficultés rencontrées par le monde industriel, rien sur l'innovation, rien sur l'éducation, rien sur l'avenir, rien sur la France. Une seule nouvelle mesure en trente longues minutes de conférence de presse : avancer le versement des retraites d'une semaine. Annonce faite maintes fois et toujours repoussée. Les retraités s'en souviennent, cela devait leur être octroyé en compensation de la réforme en … 2010. Après avoir réduit son programme pour la jeunesse à un site internet, il propose pour améliorer les conditions de vie des retraités une mesure déjà prévue, jamais mise en œuvre. Et une conception de la démocratie qui se réduit à un référendum pour demander aux Français de se prononcer sur la répartition des compétences entre deux ordres de juridiction ! Mais malheureusement son projet ce n'est pas seulement une absence de projet. C'est la poursuite de son bilan en pire. Son projet, c'est le repli et l'austérité à perpétuité en France et en Europe : casse des services publics, attaques contre les collectivités locales et remise en cause des politiques qu'elles mènent (transport, culture, sport, cohésion sociale, logement…), gel de notre participation au budget européen, règle d'or, traité d'austérité. Son projet, c'est la destruction du modèle social Français. C'est de casser le contrat de travail en organisant une course au " moins-disant social ". En 2007, il proposait de " travailler plus pour gagner plus ". 5 ans et 1 millions de demandeurs d'emplois supplémentaires plus tard, il propose de " travailler moins pour gagner moins ". Son projet, c'est d'abandonner la santé des Français, l'assurance maladie apparaissant comme la grande sacrifiée de son projet. Comment expliquer les 70 milliards d'économies de dépenses qu'il annonce sinon par une casse de l'hôpital et l'augmentation des déremboursements ? Son projet, c'est le matraquage fiscal des classes moyennes avec l'augmentation de la TVA en contrepartie de la baisse de cotisation sociale des entreprises. Avec surtout plus de 20 milliards d'impôts cachés, qu'il se garde bien d'expliquer aux Français. Et des dépenses nouvelles sous-évaluées : 9,5 milliards selon lui, alors que touts les instituts indépendants en évaluent le montant à plus de 20 milliards. Qui va payer, demande-t-il ? Il ne répond pas : en vérité, ce sont les mêmes qui règlent la facture depuis 2007. Son projet, c'est la méfiance généralisée, comme s'il était possible de réformer et de redresser le pays en affichant son mépris pour les partenaires sociaux, les collectivités territoriales et l'Europe. Plus que jamais, c'est le pouvoir d'un seul, appuyé par un clan, qu'il propose. C'est l'inverse de ce que doit être une démocratie politique et sociale vivante. C'est là la limite essentielle à la politique "bling-bling" faite de surenchère verbale et médiatique sur tous les sujets et dont nous connaissons le triste bilan aujourd'hui : 1 millions de chômeurs en plus, 700 milliards de dette publique supplémentaire, des centaines de milliers d'emplois détruits, un service public exsangue incapable de porter la solidarité nationale dans nos campagnes... Au vu de ces propositions qui se résument à une récitation incantatoire de leçon, je me demande ce qui peut encore pousser Nicolas Sarkozy à se présenter devant les français... Une chose est sûre il est temps de changer de Président. la suite
http://www.yann-galut.com/

2012	Le Blog de Yannick Bedin
Le gros poisson d'avril de l'UMP " Les bénéfices de l'action de Nicolas Sarkozy pour le Cher ". A la lecture du titre du billet de l'UMP du Cher j'ai cru à un poisson d'avril.... Dans un inventaire qui mélange tout, du saupoudrage clientéliste aux visites de Nicolas Sarkozy dans le département, qui sent la note de service préparée par les services de l'Elysée à l'usage des militants de l'UMP, la droite veut nous faire croire à son action bénéfique pour le Cher et ses habitants. Rien sur les suppressions de postes dans l'éducation nationale, la santé, la police ou la gendarmerie, c'est à dire dans l'ensemble des services publics. Au nom de la Révision générale des politiques publiques, que l'on pourrait qualifier de régression, tous les secteurs utiles à la population ont été touchés. Les fermetures de classes à Bourges comme dans le Cher, de trésoreries ou de bureaux de postes de plein exercice illustrent concrètement le sens des politiques menées dans nos quartiers ou nos campagnes. Rien non plus sur la situation sociale où les bénéfices de la politiques de la droite sont nuls et où son action a été plutôt catastrophique : franchises médicales, précarité croissante, pouvoir d'achat qui diminue... De cela, l'UMP ne dit mot et encore moins sur la responsabilité de ses parlementaires, M.Fromion en tête ! Plus que de l'humour, il faut voir dans le titre du site des soldats perdus du sarkozysme, une simple provocation cynique !
ttp://www.yannick-bedin.org/

2012	Le Blog de Roland Narboux
Elections présidentielles,Les élections présidentielles, puis législatives passées, le réveil sera difficile chez les militants quelque soit le résultat. Quelle marge de manoeuvres dans les choix a faire ? Pas grand chose, malheureusement... Car c'est l'emploi qui est l'essentiel, et nul ne donne la moindre des solutions. Car la croissance dont beaucoup parlent, elle ne se décrète pas, c'est un des grands mystère de notre époque, elle arrive quant on ne l'attend pas et on ne sais jamais pourquoi elle est là, ni quant elle repart, en dehors des grandes crises dues à une guerre ou à de grands événements planétaires. Dans le même domaine, la campagne s'enlise au niveau des idées, après la viande Hallal, c'est le permis de conduire qui fait l'actualité.... Il y a une dette de 100 milliards d'euros, des millions de chômeurs, et on va traiter le permis de conduire ! De Gaulle traitait l'international, le nucléaire, la force de frappe, et l'association capital travail, et une certaine vision de la France, avec "Concorde" ou " France" dont les anciens étaient fiers.... le reste, c'était "l'intendance" et il disait "l'intendance suivra". la suite :
aller au blog de Roland Narboux

2012	Le Blog de Philippe Bensac
S'IL N'Y A CRISE QUE LORSQU'IL Y A PROSPERITE... FAUT-IL ABANDONNER L'IDEE DE PROSPERITE ? " Les symptômes qui précèdent les crises sont les signes d'une grande prospérité ; nous signalerons les entreprises et les spéculations de tous genres ; la hausse des prix de tous les produits, des terres, des maisons ; la demande des ouvriers, la hausse des salaires, la baisse de l'intérêt, la crédulité du public, qui, à la vue d'un premier succès, ne met plus rien en doute ; le goût du jeu en présence d'une hausse continue s'empare des imaginations avec le désir de devenir riche en peu de temps, comme dans une loterie. Un luxe croissant entraîne des dépenses excessives, basées non sur des revenus, mais sur l'estimation nominale du capital d'après les cours cotés. Les crises ne paraissent que chez les peuples dont le commerce est très développé. Là où il n'y a pas de division du travail, pas de commerce extérieur, le commerce intérieur est plus sûr ; plus le crédit est petit, moins on doit les redouter. " Ces lignes sont empruntées à l'ouvrage de Clément Juglar, Des crises commerciales et de leur retour périodique en France, en Angleterre et aux Etats-Unis (1862). Elles résonnent d'une étonnante actualité. C'est l'économiste et sociologue Schumpeter qui, proposant une classification des cycles économiques en trois types - courts, moyens, longs -, suggéra de donner au cycle moyen le nom de Juglar. Je pose donc cette question aux apôtres d'une société sans crise : S'IL N'Y A CRISE QUE LORSQU'IL Y A PROSPERITE... FAUT-IL ABANDONNER L'IDEE DE PROSPERITE ? FAUT-IL ALORS RETROUVER UNE ECONOMIE AUTARCIQUE, DES PRATIQUES AUTOGESTIONNAIRES ET L'ACHAT COMPTANT PUISQUE TOUT CE QUI EXIGERAIT L'EMPRUNT SERAIT SUSPECT ?.. Tout bien considéré, je préfère qu'il y ait des cycles, alternant prospérité et crise, croissance et récession, mais à condition qu'à chaque fois un palier supérieur de développement social soit franchi. la suite :
http://philippebensac.vox.com

2012	Le Blog de Hassen Chebili
vide a suite :
http://hassen.chebili.over-blog.com/